Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

27 de novembre de 2023
0 comentaris

Michaël Darmon: La conquête de l’islamo-wokisme

Michaël Darmon és editorialista d’I24News, i aqueixa és la seva punyent anàlisi d’ahir sobre la simbiosi entre wokisme i islamisme amb el propòsit comú d’abatre les societats obertes  assenyalant Israel com el compendi de tots els mals que atribueixen a la civilització occidental. Aqueixa aliança suposa també una nova etapa en la mil·lenària història de l’antisemitisme. Un apunt precedent de Lorenzo Vidino ja assenyalava aqueixa tendència dissortadament confirmada arran de la massacre jihadista del 7 d’octubre proppassat contra Israel.

“Les massacres du Hamas perpétrés le 7 octobre en Israël sécrètent 50 nuances de silences au sein de la société française et européenne : indifférent, embarrassé, attristé… Il en est un des plus cruels : celui des ONG féministes face aux Israéliennes qui témoignent de leur viol par les terroristes du Hamas. Le médiaTimes of Israël le dénonce ainsi: “En dépit des preuves des brutalités sexuelles commises le 7 octobre, la plupart des organisations féministes ne prennent pas la parole si ce n’est pour critiquer Israël”. Terrible constat. Un de plus qui prouve à quel point le pogrom du Hamas cristallise un changement d’époque.

Tandis que le Hamas subit de lourdes pertes au niveau de son appareil militaire sur le terrain dans la bande de Gaza, l’organisation terroriste a d’ores et déjà remporté une indéniable victoire idéologique avec l’essor d’un courant nouveau et fétide autour de la constestation des valeurs occidentales : l’islamo-wokisme. Ainsi, les victimes israéliennes des viols par les terroristes se retrouvent elles du mauvais côté car elles sont tout d’abord appréhendées comme appartenant au camps des pays oppresseurs, blancs et patriarcaux avec en tête les États-Unis et leurs alliés dont Israël. Pas de chances pour ces femmes victimes , les voilà renvoyées à leur origines qui va déterminer le taux de solicitude des organisations féministes , en l’occurrence très faible.

Essentialiser, discriminer, trier entre les bonnes et les mauvaises victimes : c’est le fondement de l’idéologie woke – du mot anglais éveil, vigilance, – devenu le nouvel ordre moral et l’arme intellectuelle d’une dictature où chacun est renvoyé à ses origines. Le wokisme mène une guerre permanente contre l’universalisme et l’humanisme, des valeurs désignées comme des armes d’oppression détenues par un monde blanc et par essence raciste. C’est la planète des identités blessées et humiliées qui ont décidé de réécrire l’histoire du monde à l’aune des humiliations à venger. L’offense est permanente et partout : dans la littérature dont il faut réécrire les classiques (l’exemple du livre d’Agatha Christie “Les dix petits nègres” devenu “Ils étaient dix” est fameux), dans les travaux académiques qu’il convient de contrôler pour vérifier la bonne pensance.

Le wokisme est devenu une terre d’accueil pour les indigénistes qui réécrivent l’histoire des états racistes par définition. Depuis le 7 octobre, ils ont ouvert en grand leur porte aux antisionistes avec un mot d’ordre: ni sensibilité, ni solidarité avec les sévices subis par les Israéliens. Au regard de ce que les populations indigènes ont enduré durant des siècles, il n’est pas question pour eux de s’émouvoir pour les Israéliens et les Juifs, complices des oppresseurs. C’est la raison pour laquelle les campus américains se sont embrasés depuis le 7 octobre: les premiers soldats du wokisme ont forgés leurs armes dans les universités américaines, sous la férule de professeurs et d’intellectuels nourri au grain du progressisme. Ces zélotes identitaires fournissent des bataillons d’électeurs aux partis de gauche qui ont abandonné la défense de l’ouvrier pour celle des communautés discriminées. En France, LFI et son cartel électoral la Nupes à récupéré cette matrice.

Aujourd’hui, ces militants de la discrimination sont les parrains de l’islamo-wokisme et confèrent au proto-etat terroriste Hamas un statut de représentant des opprimés, symbole de la résistance contre toutes les oppressions. Les ONG féministes ont emboîté le pas et leur naufrage moral ne devra pas être passé sous silence. Dans cette lâcheté générale, l’organisation Womens Forum fait figure d’exception puisqu’elle consacre une partie de ses travaux au viol comme arme de guerre lors de sa réunion à Paris fin novembre.

L’islamo-wokisme avance masqué, en adepte de la Takya, la technique de dissimulation des islamistes. Cette idéologie se niche dans les interstices du langage et mène un combat au corps à corps avec les mots. Ainsi, dans la presse écrite comme audiovisuelle, on peut faire le constat que, progressivement, l’expression “attaque du Hamas” remplace “les massacres du Hamas”. Un lent et subreptice travail d’effacement de l’émotion vis à vis de la tragédie fait son œuvre. La déclaration du premier ministre irlandais se félicitant du retour de la jeune Émily Hand, que l’on croyait morte mais qui a été libérée par le Hamas le 25 novembre, est édifiante. Le communiqué parle de l’enfant “qui a été perdue” et qui a été finalement “retrouvée” . Pas une seule évocation de la prise d’otages, ni bien évidemment du Hamas. Après sa défaite militaire, Daesh a continué d’injecter son venin de haine dans une partie de la planète, mais en cachette.

L’islamo-wokisme, paré des atours militants et alter mondialistes s’exprime, lui, au grand jour. Et pour éradiquer cette nouvelle dictature née dans cette deuxième décennie du XXIe siècle, la seule force militaire sera impuissante.”

Post Scriptum, 22 de desembre del 2023.

Contradint l’article precedent  publica avui a Le Figaro aqueix parer: “Comment le 7 octobre a tué le wokisme“. Le soutien aux tueries du Hamas dans les grandes universités occidentales a montré au grand jour les contradictions d’un mouvement déjà en perte de vitesse.

« Le pic du wokisme est-il derrière nous ou devant  nous ? », se demandait l’éditorialiste conservateur du New York Times Ross Douthat en septembre dernier, quelques jours avant les attaques du Hamas. En France, le jeune essayiste Pierre Valentin dans son livre Comprendre la révolution woke (Gallimard) paru au même moment se demandait : « Il ne s’agit pas de savoir si l’idéologie woke s’autodétruira, mais bien quand. » Il semble que ce temps soit venu.

Le 7 octobre et la répercussion qu’il a eu dans les milieux universitaires a été sans aucun doute un tournant. En effet, on a assisté à un déchaînement paroxystique qui, par ses outrances mêmes, a sonné le glas d’un mouvement condamné à la marginalisation par sa radicalité et à l’implosion par son incohérence. Les manifestations qui ont suivi les attaques du Hamas dans les écoles les plus prestigieuses du monde occidental, où on a vu des étudiants appeler à l’intifada, arborer des deltaplanes sur leurs t-shirts pour glorifier les terroristes, ou des professeurs affirmer que « les colons ne sont pas des civils », ont fait éclater au grand jour la radicalité insensée du postcolonialisme, qui justifiait l’horreur du terrorisme au nom d’un supposé « droit à la résistance ». Mais aussi les contradictions internes du wokisme. Ainsi, on a vu des responsables d’université (Harvard, Penn et MIT) justifier par le « contexte » l’appel aux meurtres de Juifs sur leurs campus. Campus où des professeurs et des étudiants avaient, au fil des années précédentes, été censurés pour des propos anodins sur la binarité des sexes. The Babylon Bee, le Gorafi américain, a parfaitement résumé l’affaire en un titre satirique : « Des étudiants quittent une conférence sur les micro-agressions pour rejoindre la manifestation « À mort les Juifs ». »

Deuxième insoutenable contradiction : le grand silence des néoféministes sur les viols commis par le Hamas le 7 octobre, qui a achevé de décrédibiliser un mouvement incapable de nommer les violences patriarcales lorsqu’elles sont le fait des « racisés ». Un postcolonialisme qui justifie la violence et un néoféminisme qui excuse des viols : les paradoxes de l’intersectionnalité ont sauté aux yeux. Cette incohérence en a dessillé certains en France également, et a conduit à la marginalisation de nos wokes à nous, à savoir La France insoumise. Comme l’a reconnu le diplomate Gérard Araud, le 7 octobre : « Je considérais que l’expression d’“islamo-gauchiste” n’était qu’une exagération partisane. Après les réactions aux événements de Gaza, je commence à douter. »

Le 7 octobre n’a fait qu’achever un processus de décomposition qui était en route depuis plusieurs mois. D’autres signes avant-coureurs laissaient apercevoir la déroute du wokisme. Mais le 7 octobre n’a fait qu’achever un processus de décomposition qui était en route depuis plusieurs mois. D’autres signes avant-coureurs laissaient apercevoir la déroute du wokisme. Un exemple criant était celui du naufrage du Centre de recherche antiraciste ouvert à Boston par Ibrahim X Kendi, l’auteur du best-seller Comment être un antiraciste. Ce centre, financé notamment par un don de plusieurs millions de Jack Dorsey, cofondateur de Twitter, a fini trois ans plus tard par licencier la quasi-totalité de son personnel suite à des malversations financières.

Sur le plan judiciaire, le coup fatal porté à la discrimination positive en juillet dernier par un arrêt de la Cour suprême américaine est un tournant historique qui va à l’encontre du régime diversitaire. Dans le champ économique, l’effet Bud Light, du nom de la bière américaine ayant perdu un tiers de son chiffre d’affaires après avoir choisi une influenceuse transgenre dans une de ses publicités, a sonné le glas de l’alliance entre les grandes multinationales et l’idéologie du genre ou de la race. Go woke, go broke : le wokisme ne paie plus. C’est l’aveu du nouveau directeur de Disney qui a affirmé, après plusieurs échecs retentissants de dessins animés woke, qu’il ne fallait plus faire des films « à message » mais se contenter de divertir les gens. Pour la même raison (naufrage commercial), la célèbre marque de lingerie Victoria Secret a annoncé en octobre dernier renoncer à sa ligne « inclusive » qui comportait notamment des mannequins obèses.

Le wokisme n’effraie plus. En février dernier Hogwarts Legacy, le jeu sur Harry Potter a été attaqué par une poignée d’activistes trans vouant une haine irrémédiable à l’auteur d’Harry Potter, JK Rowling. Résultat : le jeu s’est vendu 256 % de plus que prévu. Pour le sociologue de Columbia Musa al-Gharbi « le grand réveil » (« the great awakening ») aura duré dix ans de 2011 à 2021, commençant par le mouvement Occupy Wall Street, se renforçant par les mouvements anti-Trump sous la présidence de ce dernier et culminant avec les manifestations ayant suivi le meurtre de George Floyd. Le printemps 2020, après la sortie du confinement planétaire qui a sans doute eu des effets psychiques très lourds sur la jeunesse occidentale a correspondu à l’acmé hystérique du wokisme. Depuis, c’est le grand reflux.

Alors bien sûr tout phénomène de récession se traduit par un risque de radicalisation. À mesure que l’extrême gauche se retranche sur le champ universitaire, elle se radicalise et hystérise ses positions. Dans les universités américaines les organisations Diversity, Equity and Inclusion (DEI) , dont le nombre a explosé après l’élection de Trump, restent le nerf de la guerre d’un wokisme structurel. Depuis le 7 octobre, de nombreuses personnalités conservatrices, mais aussi libérales demandent désormais publiquement la suppression des DEI. Plusieurs États conservateurs l’abolissent progressivement. Le wokisme a grandi et prospéré sur le terreau fertile de l’inculture. Comme l’a magistralement montré Allan Bloom dans L’âme désarmée dès 1987, l’enseignement du relativisme culturel dans les lieux mêmes de la recherche de la vérité ne pouvait que mal finir.

Mais le vrai problème est peut-être ailleurs. Suite aux manifestations woke sur les campus après le 7 octobre, le Pr Ron Hassner a posé à des étudiants qui étaient à 80 % d’accord avec le slogan anti-Israël « From river to the sea » (« de la rivière à la mer ») la question suivante : « From Which River to Which Sea ? » (« de quelle rivière à quelle mer ? »). Moins de la moitié d’entre eux savaient nommer la rivière et la mer en question ; et quand on leur mettait sous les yeux une carte montrant qu’Israël disparaîtrait complètement si leur slogan devenait réalité, ils étaient 75 % à changer d’avis.

En France, nous avons en général dix ans de retard sur l’Amérique. Nous avons désormais le choix entre passer par la phase désastreuse d’une destruction de l’université par l’« académo-militantisme » (Nathalie Heinich) et de la méritocratie par la discrimination positive, ou gagner une décennie en conservant notre modèle.

Post Scriptum, 10 de març del 2024.

Tribune Juive publica avui aqueix article breu però contundent de Michaël Darmon: “8 mars 2024, journée des infâmes“, comentant la manifestació de París: Le slogan le plus hallucinant de cette marche fut sans conteste celui inscrit sur une pancarte : “la Palestine est une cause féministe”

Cette journée fera date. L’onde de choc du 7 octobre 2023 s’est propagée jusqu’au 8 mars 2024, révélant au sein de la marche des féministes de Paris l’émergence d’un hamastan. On avait déjà vu comment les membres du collectif “No Silence” avaient été brutalement écartés, en novembre 2023, de la marche en faveur du droit des femmes. Le long silence gêné des associations féministes françaises face aux viols et mutilations subis par les Israéliennes lors des massacres dans le sud d’Israël a été battu en brèche par le travail déterminé et douloureux des collectifs israéliens, aidés par des organisations internationales, notamment le “Women’s Forum” en France.

Opportunément, l’ONU, organisation totalement discréditée tant sa mansuétude à l’égard du Hamas est un fait établi, a publié son rapport sur les crimes sexuels commis lors des massacres en Israël, mais en faisant bien remarquer qu’il avait été impossible de recueillir des témoignages directs : pour cause, les victimes sont mortes ou en captivité. En matière de perversité, la créativité est sans bornes.

Effectivement, à Paris, le silence a été rompu, remplacé désormais par les vociférations antisémites et haineuses d’une partie des activistes féministes noyautées par des militantes pro-Hamas. Tandis que les militantes féministes juives avaient accepté tous les principes de la manifestation du 8 mars de Paris, alors qu’elles avaient fait attention à ne prendre aucun drapeau israélien avec elles, elles ont été prises à partie, molestées, insultées par des groupuscules de femmes islamo-wokistes avant d’être exfiltrées par la police qui a assuré leur protection. Bien évidemment, les féministes palestiniennes brandissaient, elles, des drapeaux de la Palestine sans que jamais personne ne leur en fasse la remarque. On imagine ce que les membres de “No Silence” auraient eu à subir si elles étaient venues avec le drapeau bleu et blanc.

Le slogan le plus hallucinant de cette marche fut sans conteste celui inscrit sur une pancarte : “La Palestine est une cause féministe”. Une telle falsification de la réalité laisse sans voix. Le Hamas, qui exerce sa tutelle totalitaire sur les populations palestiniennes, est un mouvement patriarcal, homophobe et raciste. Il faudrait interroger les femmes palestiniennes vivant sous le joug de l’islamisme pour savoir de quelle manière exactement la cause palestinienne est traversée par le féminisme. Combien de fois faudra-t-il rappeler que ces organisations féministes, tellement soucieuses des droits bafoués des femmes, tellement vigilantes lorsqu’il s’agit de dénoncer les violences sexistes et sexuelles parfois longtemps enfouies dans leur mémoire, n’adressent jamais un reproche aux organisations islamistes, premiers ennemis des libertés des femmes ?

Outre-Manche, le Premier ministre Rishi Sunak s’inquiète tardivement, mais à raison, de l’”extrémisme” – c’est son terme – qui sévit en Grande-Bretagne et notamment à Londres, nouvelle capitale de “l’antisemitic-fashion week-end”. Le vieux continent est malade de la peste antisémite. Et comme la haine des juifs n’est pas le problème des juifs, il faut s’attendre à l’installation d’un minuit européen.

Post Scriptum, 2 d’abril del 2024.

Avui, a Tribune Juive, Michaël Darmon: “Pourquoi l’islamisme est un entrisme : le cas d’école du lycée Maurice Ravel. Rien n’y fait : des professeurs, des universitaires, des journalistes sont destinataires de fatwa numériques, leur adresses dévoilées et leurs vies ciblées dès lors qu’ils déplaisent

Les islamistes peuvent pointer sur la carte de France un nouveau champ de bataille sur lequel ils ont infligé une sévère défaite à la République française : le collège Maurice Ravel à Paris. Cette même capitale française qui se pavoise et se barricade pour fêter l’esprit olympique, hommage au dialogue pacifique entre les peuples. Tandis que la cérémonie d’ouverture sur la Seine requiert toutes les attentions des autorités policières qui craignent une attaque terroriste, une autre scène, celle de l’école, du savoir, de la vie intellectuelle, subit l’offensive terroriste d’une entreprise autrement plus insidieuse : l’entrisme, la capacité de ronger de l’intérieur des institutions ouvertes aux dangers d’une guerre du silence. Point de communiqué plastronnant pour revendiquer ces actes. Les faits parlent d’eux-mêmes. Un proviseur a demandé à une jeune fille d’enlever son voile en entrant dans son établissement, le collège Maurice Ravel. Immédiatement, une campagne d’anathèmes, de menaces de mort, de protestations organisées par des commandos spécialisés en opérations de victimisation désigne à la vindicte ce responsable d’établissement unanimement décrit comme un pédagogue passionné et attentionné. Ce dernier, terrorisé, n’a d’autre choix que de démissionner pour des raisons de sécurité. Hypocrisie de l’Education nationale qui prend acte de cette retraite anticipée “pour convenance personnelle”. “Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde”, écrivait l’écrivain Albert Camus.

Nommons les faits et regardons-les en face, tels qu’ils sont résumés par l’avocat Richard Malka : “L’islamisme terrorise la république alors que c’est la république qui devrait terroriser l’islamisme”, déplore-t-il sur les ondes de la radio RTL. L’avocat, qui est à la défense de la laïcité ce que Robert Badinter fut contre la peine de mort, c’est à dire un combattant infatigable, vient, lors de chaque attaque similaire, établir sur les antennes le constat d’impuissance des dirigeants français à endiguer cette vague. Tels des policiers se rendant sur une scène de crime, la ministre de l’Education nationale, le Premier ministre se rendent sur place, dans les lycées et les collèges, pour procéder aux analyses de ces meurtres en série contre le savoir, la liberté, le propos contradictoire. Devant les médias, ils fustigent sans surprise des faits inacceptables. Rien n’y fait : des professeurs, des universitaires, des artistes, des journalistes toujours plus nombreux sont les destinataires de fatwa numériques, leur adresses dévoilées et leurs vies ciblées dès lors qu’ils déplaisent. Cela se passe en France, pays des droits de l’homme mais où les agents islamistes imposent leur droit, charriant son lot de malheurs. Ils imposent leur loi à une République française qui reste impuissante, paralysée par une incapacité de ses dirigeants à lire l’époque, à choisir leurs combats “existentiels”, pour reprendre un mot officiel. Des dirigeants qui s’agitent en s’inquiétant avec force bruit et gesticulations du retour du danger du terrorisme islamiste après l’attentat à Moscou, fin mars. Parce que ce danger ne s’est pas réveillé depuis le 7 octobre 2023 dans le sud d’Israël peut-être ?

D’où cette question posée pour la énième fois, alors qu’un enseignant français a décidé de quitter son poste pour préserver sa vie : sur quel théâtre d’opération se joue l’existence de la société française ? À Kiev ou au collège Maurice Ravel ?

Deixa un comentari

L'adreça electrònica no es publicarà. Els camps necessaris estan marcats amb *

Aquest lloc està protegit per reCAPTCHA i s’apliquen la política de privadesa i les condicions del servei de Google.

Us ha agradat aquest article? Compartiu-lo!