Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

27 de gener de 2016
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Dia Internacional en record de les víctimes de l’Holocaust 2016

Avui, arreu del món lliure, hom commemora el Dia Internacional de record de les víctimes de l‘Holocaust perpetrat pels nazis i els règims col·laboracionistes (en lloc destacat el del general Franco), també en terres catalanes, ja que milers de compatriotes nostres foren exterminats en aqueix genocidi a escala europea contra el poble jueu, principalment.

Enguany, la diada té una connotació especial envoltada de mals averanys: la judeofòbia rebrota a Europa amb una força inusitada des de la fi la de la Segona Guerra Mundial per l’acció combinada de neonazis, islamistes i anticapitalistes prenent com a detonant l’existència mateixa de l’Estat d’Israel. Els nazis d’Al·là maten jueus a França a l’ensems que hi creix l’antisionisme en nom de la causa palestina sense que els dirigents polítics i els intel·lectuals encertin a identificar i combatre el nou totalitarisme que amença les societats obertes. Les esquerres europees haurien de reflexionar sobre l’article de Bassam Tawil; Palestinians: nous sommes les nouveaux nazis“, publicat pel Gatestone Institute el 1 d’octubre de l’any passat.

Occident claudica davant Iran i repudia Israel, (com s’ha vist arran de l’acord de Viena entre el G5+1 i la teocràcia iraniana sobre el control del desenvolupament de l’energia atòmica), i el estats  europeus acullen l’aiatol·là Rohani per fer negocis sense parar compte en el caràcter genocida d’aqueix règim. Avui mateix, el líder suprem Khamenei difon un vídeo negant l’holocaust i fa uns dies ha tornat a convocar el concurs anual de caricatures ridiculitzant la persecució del poble jueu per part dels nazis.

Al Regne d’Espanya la banalització del nazisme és una pràctica habitual emprada impunement contra el poble català que en fou precisament víctima, alhora que a Catalunya hi campa un progressisme abstracte capaç d’autoidentificar-se com a antifeixista i alhora atiar l’odi contra els jueus, com va passar fa uns mesos arran de la commemoració de la Nit dels Vidre Trencats.

Post Scriptum, 29 de gener del 2016.

Amanda Borschel-Dan publicà ahir a l’edició francesa de The Times of Israel un article de duia per títol “Le rapport 2015 sur l’antisémitisme dépeint un bien triste tableau” on analitza la puixança de l’islamisme, les fronteres boiroses entre antisemitisme i antisionisme i el retorn de l’extrema dreta com a causes de l’alarment augment de la judeofòbia a Europa.

Post Scriptum, 3 de febrer del 2019.

Veient com prosperen impunement les campanyes BDS contra Israel trobo encertat aqueix breu apunt signat per Daniel Seaman aparegut al blog Philosémitisme el propassat 28 de genber titulat “La Journée internationale de commémoration de l’Holocaust est une farce”:

Quand les Irlandais, les Allemands, les Hollandais, les Britanniques, les Français, les Scandinaves, les Hollandais et les Américains de gauche peuvent envisager de boycotter ou de marquer les produits israéliens sur la base de l’application sélective des normes internationales, appliquées uniquement à l’État juif, ils n’ont alors tiré aucun enseignement de l’Holocauste.

Les Européens, qui pendant des générations ont calomnié les Juifs et nous ont persécutés, font toujours la même chose, seulement maintenant, en se cachant derrière leurs procurations arabes. Les pogroms d’aujourd’hui ne sont pas des scène de masses incitées à brandir des fourches et des torches, mais le domaine d’universitaires instruits, de politiciens cyniques et de militants sociaux, agitant un sens déplacé de la justice et armés d’une justification morale bidon.

Les dirigeants de l’UE reçoivent le chef de l’OLP et l’exaltent sans jamais condamner sa rhétorique antisémite. L’argent qu’ils envoient à l’AP sert à diaboliser les Juifs, à encourager la haine et à financer les responsables du meurtre des Juifs.

Les politiciens libéraux américains ignorent la vile rhétorique de haine des Juifs des figures progressistes les plus en vue et, ce faisant, l’approuvent. Leur participation aux commémorations de l’Holocauste est une pure hypocrisie de leur part à tous.

Les commémorations sont agréables, mais seul l’État d’Israël assurera la sécurité de nos enfants. Nos enfants ne sont plus sans défense. Il n’est plus ” étiqueté ” et ne dépend plus de la miséricorde des Européens sans âme et des progressistes moralisateurs des États-Unis.

Un Etat d’Israël fort, indépendant et tourné vers la victoire est le seul moyen de garantir que “Never Again” n’est pas seulement un hashtag vide utilisé par des hypocrites prétentieux.

Post Scriptum, 27 de gener del 2020.

Michael Laitman va publicar ahir al seu bloc del The Times of Israel aqueix breu però punyent article: “75 ans de la Libération d’Auschwitz”:

Janvier 1945, l’Armée Rouge arrive en Pologne et pénètre dans le camp d’Auschwitz. En plein hiver, les soldats découvrent avec horreur et consternation les chambres à gaz, les fours crématoires, les charniers où des corps sont entassés et des survivants squelettiques abasourdis, parfois heureux mais qui tout de même, ont du mal à croire que leur enfer est terminé.

La libération du camp révèle les atrocités commises au nom de la “Solution finale”. Des sentiments de dégoût, de honte, d’indignation, de culpabilité et de vengeance s’emparent du monde qui découvre enfin en images, l’inimaginable.

Cette semaine, en Israël et en Pologne, le monde commémore et se souvient de la Shoah perpétrée en Europe.

Que voulons-nous commémorer?

6 millions de victimes ont péri et 80 ans après, l’antisémitisme existe toujours, et ce malgré des documentaires, films, témoignages, recherches, livres, voyages en Pologne, création du Mémorial de la Shoah et bien d’autres initiatives. Il semblerait que toutes les démarches entreprises n’aient pas abouti aux résultats espérés: La fin de la haine du juif. N’avons-nous pas trahi les victimes de la Shoah en n’ayant pas trouvé la cause du problème afin de le résoudre ?

Rien n’y fait

En effet, la réalité est toute autre pour beaucoup de gens, ces derniers ne veulent plus que l’on leur rappelle la Shoah, non pas par honte mais plutôt par indifférence, ou exaspération. Face aux problèmes quotidiens (grèves, sécurité, salaires, pouvoir d’achat, conditions de travail etc) d’un monde qui devient de plus en plus dur, le sentiment exprimé par un nombre grandissant est que le juifs ne sont pas les seuls à avoir souffert ni à souffrir et que les commémorations n’y changeront rien.

A quoi voulons-nous que demain ressemble?

Les faits sont là: La France connaît depuis plus de 15 ans une recrudescence d’actes antisémites et plus ils sont dénoncés, plus la violence augmente. Les USA quant à eux se sont réveillés brutalement fin décembre, avec une flambée sans précédent et jusque-là impensable d’actes antisémites.

La communauté juive française vit dans la peur, l’anxiété et si par le passé une partie envisageait de quitter la France pour les Etats-Unis ou le Canada, désormais pour beaucoup il semblerait que partir en Israël résoudrait la question de l’antisémitisme.

Pourtant fuir ne résoudra pas la haine

L’antisémitisme est semblable à une maladie chronique dont souffre toute l’humanité. Pour la soigner, il convient d’en connaître la véritable raison ainsi nous pourrons trouver son antidote.

Lorsque nous observons la nature, nous voyons qu’il existe deux forces, une positive et une négative. L’une ne peut pas exister sans l’autre, elles sont inséparables, ce qu’il convient de faire est de trouver un équilibre entre elles (c’est le principe de l’homéostasie) sinon, ces forces explosent.

Nous pouvons appliquer ce principe à toute chose de la vie; l’amour/la haine, les juifs/ les nations du monde. Néanmoins notre première réaction quand nous voyons deux opposés est que l’un disparaisse car nous ne savons pas gérer les deux ensembles.

Comment pouvons-nous créer une passerelle entre deux opposés afin que tous les deux coexistent avec leurs différences et différends ? Ils ne peuvent plus s’ignorer car nous vivons à l’ère de la mondialisation où nous sommes tous connectés. il semblerait donc que nous devons apprendre à vivre ensemble comme un seul homme dans un seul coeur.

La solution à l’antisémitisme doit se trouver à une échelle mondiale, par une concertation générale. Elle doit d’abord commencer par la communauté juive elle-même afin qu’elle recherche et examine attentivement quelles sont ses racines, son identité. Par cela, elle pourra comprendre les véritables raisons de l’antisémitisme qui ont pris différentes formes au cours de l’histoire et ainsi y apporter une véritable solution qui permettra à tous de vivre en paix et nous pourrons enfin dire avec certitude “plus jamais”.

Post Scriptum, 27 de gener del 2024.

Jeremy Sharon, avui a The Times of Israel:  “La décision de la Haye implique qu’Israël est maintenant accusé de génocide. Il y a des réserves et notamment l’absence d’une ordonnance de cessez-le-feu. Mais le jugement de la CIJ dynamise les appels internationaux aux sanctions commerciales et au boycott des armes contre Israël”.

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