Julien Green, un mestre hedònic i ascètic.
Del seu darrer dietari Le grand large du soir (Flammarion,2006).
«Mon écriture est irregulière: des jours oú elle a l’air de glisser, de vouloir s’échapper. J’ai beucoup de stylos, car j’ai renoncé aux porte-plumes, et chacun a son caractère. À peine remplis, certains se vident, ils ont l’air de le faire exprès; d’autres m’aident. c’est étrange, cette indicipline de l’objet. Mais le stylo est-il un objet? Il prolonge la main, c’est le stylet de l’inconscient dans mon cas. Sans doute a-t-il son indépendance à lui, ou le croit-il. Eh bien, non, il obéira à mon démon interieur qui lui dicte ce qu’il doit trancrire. Un point, c’est tout.»
He escrit tot l’horabaixa, he mirat un parell de blogs, de plaguetes amigues, he re-re-cor-dat París mentre llegia mestre Julien, tan jove, tan ecce puer!
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