Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

13 de setembre de 2015
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Isi Leibler fa balanç del Roix ha Xanà 5776

Avui, arreu del món les comunitats jueves celebren la festa del Cap d’any segons el seu calendari, Roix ha Xanà (Rosh Ha Shaná, en castellà), una diada de joia en la turmentada epopeia del poble hebreu.

Els catalans amics d’Israel ens sumem a la passió per la vida i la llibertat que caracteritza aqueixa nació admirable i renaixent  enmig de les adversitats malgrat els propòsits genocides dels diversos totalitarismes que malden per exterminar-los.

Un bon balanç del que ha estat el darrer anys des del punt de vista jueu és aqueix article d’Isi Leibler, un destacat intel·lectual sionista  nascut a Antwerp (Flandes, 1934), publicat originalment en anglès al Jerusalem Post d’avui i traduït al francès pel bloc francòfon malaassot.com:

L’année écoulée, comme celles qui l’ont précédé, sera de nouveau considéré par beaucoup comme une annus horribilis.

 Elle a en effet été une année amère sur de nombreux fronts. Israël est une oasis entourée par une mer de sauvagerie qui rappelle l’âge des ténèbres, avec les barbares islamiques filmant allègrement la décapitation d’otages, le meurtre de centaines de milliers de civils et créant des millions de réfugiés qui sont maintenant demandeurs d’asile en Europe.

 La relation avec l’administration Obama a continué à se détériorer et malgré l’opposition de la majorité des Américains et les deux chambres du Congrès, l’administration a consommé un accord habilitant les terroristes iraniens, et léguant un héritage qui aura un impact à l’échelle mondiale sur la prochaine génération. Avec les Iraniens réitérant catégoriquement que la destruction d’Israël reste l’un de leurs principaux objectifs, ce qui a notamment des connotations négatives pour nous.

Mis à part les Etats-Unis où Israël jouit d’un fort soutien du public, notre réputation mondiale a continué à s’éroder, en particulier en Europe, où ils sont maintenant prêts à annoncer de nouvelles mesures pour pour faire pression sur nous pour d’autres concessions unilatérales aux Palestiniens. Ce, à un moment où il y a le chaos dans la région et avec un niveau d’incitation contre Israël de l’Autorité palestinienne pratiquement indiscernable de celle du Hamas ouvertement génocidaire.

 Un règlement de paix authentique avec les Palestiniens n’est même pas à l’horizon et ne sera pas atteint avant qu’il y ait des leaders qui soient véritablement attachés à la paix et à la coexistence. Alors que nous devons continuer, à titre provisoire, de construire des ponts avec le peuple palestinien en améliorant leur qualité de vie, nous devons aussi résister aux efforts internationaux pour faire pression sur Israël pour faire de nouvelles concessions unilatérales qui permettront aux Palestiniens radicaux de s’engager à mettre fin à la souveraineté juive plutôt de parvenir à l’indépendance.

 Le tsunami antisémite mondiale fait toujours rage et l’Europe s’est de plus en plus transformée en un cimetière pour les juifs.L’opinion publique en Europe, le continent baigné du sang des Juifs de la Shoah, considère l’Etat juif comme la plus grande menace pour la paix mondiale plus que l’Iran, la Syrie ou même la Corée du Nord et voit les Israéliens comme des génocidaires, leur comportement envers les Palestiniens comparé à celui des nazis envers les Juifs.

 Les actes de terreur contre les Juifs par les djihadistes de retour des champs de la mort syriens créent un climat de peur au sein même des communautés juives européennes plus grandes. Les Juifs français ont été averti par un sondeur américain qui, en plus d’éviter les éléments qui permettraient de les identifier en tant que Juifs, ils devraient également éviter de ne jamais employer le terme «sioniste» en raison de l’hostilité qu’elle génère. Il n’est pas surprenant que beaucoup de Juifs européens ne voient pas d’avenir pour eux-mêmes dans les pays qui les considèrent comme des parias à moins qu’ils ne rejoignent les chœurs de la diabolisation anti-israélienne et ou ont l’intention d’émigrer.

Après l’introspection – la Techouva – et un examen critique de la dernière année en vue de nous améliorer, nous devons également devenir sensible à un certain nombre de domaines cruciaux qui, si ils sont ignorés, peuvent finalement nous causer un tort incommensurable.

Nous avons besoin d’abord et avant tout de cultiver un plus grand sentiment d’unité et de  concorde civile. Pour y parvenir, nous devons réformer notre système politique dysfonctionnel – qui ne se produira que si il y a un gouvernement d’union. Bien que les deux, Premier ministre Benjamin Netanyahu et le chef de l’opposition Isaac Herzog,  se sont dits favorables à une telle réforme, elle reste contrecarrée par les ailes radicales de leurs partis respectifs.

Nous devons également prendre des mesures pour inverser la tribalisation qui polarise la société, par le renforcement de l’identité sioniste, juive et démocratique de l’Etat et d’imposer des programmes de base obligatoire dans toutes les filières d’enseignement, y compris les secteurs ultra-orthodoxes et israélo-arabes.

Il doit aussi y avoir un effort concerté pour créer des conditions favorisant les haredim à devenir des segments productifs de la société, d’accélérer leur intégration dans la force du travail et de partager les fardeaux de la citoyenneté, y compris le projet.

De même, l’État doit cesser de fournir des salaires aux rabbins antisionistes qui rejettent des prières pour le bien-être de l’État ou de l’agitation contre le projet. Le Grand Rabbinat ne doit pas être autorisé à disqualifier les nouveaux Bet Din indépendants comprenant des rabbins orthodoxes qui cherchent à faciliter les processus de conversion et de mariage.

Davantage d’efforts doivent également être faits pour intégrer le secteur arabe israélien en améliorant leur statut social et économique, mais adoptant simultanément une approche plus sévère contre les éléments radicaux qui cherchent à saper l’état ou à fournir un soutien à nos ennemis.

Enfin, comme nous pourrions être sur le bord d’une nouvelle vague d’alya, il est crucial que nous investissions d’importants efforts pour assurer l’intégration harmonieuse des immigrants en provenance de pays européens riches et stimuler un climat, ce qui encouragerait les Juifs face à l’oppression à venir à la maison-Israël plutôt que de migrer vers d’autres communautés de la diaspora.

Pour certains, les menaces externes et les problèmes internes auxquels nous sommes confrontés sont considérés comme un fond déprimant de Rosh Hashana. Mais à vrai dire, le Tout-Puissant doit veiller sur nous, parce que, malgré nos divisions internes et externes en cours défis, décennie après décennie, nous semblons bénis pour prospérer et grandir de force en force. Les sondages montrent que, malgré les contraintes, nous, Israéliens sommes parmi les nations les plus heureuses du monde.

Alors que nous célébrons Rosh Hashana dans un monde turbulent, ceux qui, comme moi, qui croient que notre survie est due à une présence divine, doivent rendre grâce au Tout-Puissant que malgré l’énorme haine qui nous entoure et contrairement à tous les précédents et la raison historique, nous avons jamais été aussi puissant que nous sommes aujourd’hui.

On ne devrait pas être blasé du fait que que l’armée israélienne a la capacité de dissuader une attaque de tous nos adversaires réunis. Même notre plus grand ennemi, l’Iran, est conscient des conséquences aussi devrait chercher à mettre en œuvre ses menaces.

Il y a aussi des raisons de croire que, indépendamment de qui sera le prochain président des États-Unis, nous allons profiter d’une amélioration majeure dans notre relation. Les USA sont une démocratie et à la fois l’opinion publique et le Congrès nous appuyent aujourd’hui plus que jamais. En effet le combat de Netanyahu sur l’Iran est de nature à encourager toutes les parties à compenser Israël. Il faudra sans doute aussi inhiber Barack Obama au cours de sa durée résiduelle du mandat et d’avancer avec précaution avant de chercher à mettre en oeuvre ses menaces d’abandonner Israël à l’ONU pour qu’Israël rejette les efforts d’accepter les indéfendables lignes d’armistice de 1949 en tant que frontières futures dans un règlement de paix.

En outre, nous renforçons les relations économiques et politiques avec l’Asie – en particulier l’Inde, le Japon et la Chine – ainsi que d’explorer tranquillement une collaboration limitée contre l’Iran et ses satellites dans les pays arabes sunnites modérés.

Nous ne devons jamais tenir pour acquis que notre génération a la chance d’avoir un Etat juif. Il nécessite peu d’imagination pour visualiser à quelles conditions horribles nous fairions face enl’absence de l’Etat, qui a donné le droit et le pouvoiraux Juifs pour la première fois depuis notre dispersion.Tout Juif est assuré d’un havre de paix dans leur patrie juive et nous espérons que beaucoup d’autres vont faire leur aliya dans les années à venir. Nous prions pour que de plus en plus se fasse un désir de vivre dans leur patrie juive plutôt que fuir la persécution et la discrimination.

Ainsi, malgré les défis féroces auxquels nous sommes confrontés, nous devons regarder vers l’avenir avec optimisme.Sans nuire à la nécessité de rester vigilant et fort, nous devrions rejeter les prophètes de malheur. Nous devons continuer à nous rappeler la réalité que nous sommes en effet la génération la plus bénie des Juifs depuis notre exil il y a 2.000 ans. Bien que nous cherchons l’amitié et le soutien d’autres nations, nous sommes fortifiés dans la connaissance que nous déterminons aujourd’hui indépendamment de notre propre avenir.

Post Scriptum, 20 de setembre del 2017.

Avui és cap d’any jueu 5778, una data per a la reflexió sobre el moment històric d’Israel. Entre les moltes opinions reprodueixo aqueixa del veterà militant sionista Isi Leibler reproduïda ahir pel blocaire Malaassot: “Faire face à une année difficille“.

Post Scriptum, 17 de juliol del 2018.

Isi Leibler va publicar el proppassat 12 d’aqueix mes al seu bloc personal l’article “Balancing Dangers and opportunities” que ha estat traduït al francès pel blocaire Malaasot amb el títol: “Équilibrer les dangers et les opportunités“:

La vitesse du changement – positive et négative – dans cette région au cours des deux derniers mois a été stupéfiante.

Du côté négatif, l’escalade continue de l’antisémitisme, en particulier en Europe (et au Royaume-Uni qui pourrait élire un Premier ministre antisémite), affecte négativement la qualité de vie de la plupart des Juifs. Les enfants et les adolescents sont particulièrement exposés à la haine féroce et flagrante des Juifs qu’ils rencontrent à l’école et sur le campus.

En dépit du fait que la plupart des gouvernements européens ne cachent pas leur mépris pour Israël, leurs politiques étrangères et leurs votes aux Nations Unies soulignent l’absence de tout minimum de morale ou d’éthique.

Rien ne l’illustre mieux que la réaction de la plupart du monde (à l’exception des États-Unis et de l’Australie) aux mesures prises par Israël pour défendre ses frontières contre les incursions de terroristes du Hamas et les attaques à la roquette. Décrire les efforts d’Israël pour se défendre comme disproportionnés – décrire des foules incitées à pénétrer en Israël (employant souvent des enfants comme boucliers humains) et chercher à assassiner sans discernement des «manifestants pacifiques» – ne peut être qualifié d’obscène, d’autant plus que sur le dossier public. Aucun pays au monde n’aurait réagi avec la retenue affichée par Israël.

Le comportement de l’Autorité palestinienne s’est détérioré de pire en pire, Mahmoud Abbas et ses acolytes étant descendus à des niveaux d’antisémitisme qui auraient fait la fierté des Nazis.

En plus de ces facteurs négatifs, nous avons des sections importantes de la communauté juive américaine, en particulier des mouvements réformistes et conservateurs, dont la haine enragée de leur président les a conduit à se distancer – ou même à condamner – Israël. En fait, les sondages ont montré que 42% des Juifs américains s’opposaient même à ce que l’ambassade américaine soit transférée à Jérusalem.

La cérémonie de remise des diplômes du Hebrew Union College du mouvement réformateur, qui a invité Michael Chabon, un des vainqueurs du prix Pulitzer, s’est concentrée sur deux sujets: l’extermination d’Israël, qu’il accusait d’avoir commise. Il a exhorté son auditoire à promouvoir les mariages mixtes plutôt que l’union entre Juifs.

Ces tendances sont également reflétées au niveau politique juif plus large où la Ligue anti-diffamation, l’organe apolitique autrefois respecté dont le mandat était de combattre l’antisémitisme, cherche aujourd’hui agressivement à calomnier le président américain Donald Trump et critique souvent Israël.

Le Parti démocrate s’est radicalisé avec l’émergence d’agitateurs anti-israéliens, le sénateur Bernie Sanders, dont l’influence ne cesse de croître. La défaite électorale primaire de Rep. Joe Crowley, le président du caucus démocrate et un ferme partisan de l’État juif, a été un coup important pour les forces pro-Israël. Les électeurs juifs n’ont pas été dissuadés de soutenir son adversaire, la candidate relativement peu connue, Alexandrie Ocasio-Cortez, 28 ans, qui n’a pas caché le fait qu’elle est hostile à Israël. Elle est affiliée aux Démocrates Socialistes d’Amérique, qui l’ont soutenue et qui soutiennent le mouvement anti-israélien de boycottage, de désinvestissement et de sanctions.

La situation des Juifs sur les campus universitaires s’est aggravée et de nombreux agitateurs anti-juifs et pro-BDS sont dirigés par des Juifs marginaux, souvent en collaboration avec des Arabes radicaux et des extrémistes d’extrême gauche.

Le résumé ci-dessus est cauchemardesque. Mais dans cette obscurité, il y a aussi la lumière du soleil.

Israël n’a jamais eu autant de succès qu’aujourd’hui.

Bien que les Israéliens soient exaspérés par la corruption et les multiples allégations contre les Netanyahus, les sondages montrent que des élections devaient avoir lieu maintenant, Benjamin Netanyahu serait réélu à la tête d’un gouvernement de coalition fort. Le soutien à son parti du Likoud a atteint des sommets qu’aucun parti n’a vu depuis des décennies.

Malgré les débats internes frénétiques, le peuple d’Israël est aujourd’hui plus uni que jamais depuis le gouffre massif créé par l’adoption des Accords d’Oslo. La plupart reconnaissent que sous la direction palestinienne actuelle, une politique à deux États créerait un État terroriste et fournirait un tremplin potentiel contre Israël pour l’Iran. Il existe un désir irrésistible de ne pas être un occupant (même si la plupart des Palestiniens vivent sous leur propre autonomie), mais la plupart des Israéliens sont d’accord sur le fait que la séparation doit répondre à la condition primordiale de sécurité garantie.

Dans l’ensemble de la population américaine, le soutien à Israël est plus fort qu’il ne l’a jamais été, les chrétiens évangéliques soutenant avec enthousiasme Israël.

Pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, l’administration de Trump a clairement indiqué qu’Israël et les États-Unis sont de véritables alliés qui peuvent compter sur le soutien de l’autre à tous les niveaux. La décision de relocaliser l’ambassade des États-Unis à Jérusalem revêtait une énorme importance symbolique, comme l’a si bien critiqué l’ambassadeur Nikki Haley qui fustige les hypocrites de l’ONU qui utilisent cruellement les deux poids deux mesures contre Israël. En outre, contrairement à son prédécesseur, Barack Obama, Donald Trump ne qualifie pas le leader antisémite d’AP, Abbas, de modéré. Il a précisé qu’une institution qui donne plus de 4 millions de dollars par an de ses subventions d’aide à l’étranger pour financer, verser des allocations et encourager les terroristes ne peut être considérée comme un partenaire pour la paix.

Le plan de paix Trump qui sera bientôt annoncé échouera probablement parce que le conflit ne concerne pas l’immobilier. Le problème fondamental est que l’Autorité palestinienne et le Hamas sont absolument déterminés à mettre un terme à la souveraineté juive dans la région.

Dans ce contexte, la décision des États-Unis de rétablir les sanctions contre l’Iran – que Trump considérait comme un État à seuil nucléaire – était extrêmement positive. Il pourrait, avec le temps, entraîner un changement de régime à mesure que l’économie iranienne pourrait imploser.

Les relations de Netanyahu avec le président russe Vladimir Poutine, un ancien officier du KGB, sont extraordinaires. Basé sur ses expériences d’enfance, Poutine a un penchant pour les Juifs. Considérant la longue histoire de l’antisémitisme soviétique et russe, ses relations chaleureuses avec Netanyahu et Israël sont remarquables et sans précédent.

Sans la coordination russe, Tsahal n’aurait pas pu détruire efficacement les principales cibles iraniennes en Syrie. Poutine a également soutenu la demande d’Israël que les Iraniens gardent leur distance de la frontière israélienne.

En outre, Israël a développé une relation importante avec l’Inde et est fortement engagé dans le commerce avec la Chine. Netanyahu a également établi des relations avec de nombreux pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud-Est. Alors que les Européens de l’Ouest affichent toujours des préjugés et sont de plus en plus sensibles aux pressions exercées par leurs circonscriptions musulmanes largement étendues, les relations avec les pays d’Europe de l’Est se renforcent.

Bien qu’il y ait peu de publicité, Israël entretient désormais des liaisons non officielles avec les Saoudiens et les États du Golfe et aurait échangé des renseignements.

C’est un renversement vraiment incroyable de l’Israël isolé d’il y a dix ans.
Israël est une superpuissance mini-militaire, dissuadant avec succès les Iraniens et leurs substituts de se lancer dans une guerre dans laquelle ils pourraient être vaincus par les prouesses militaires d’Israël.

Israël est aussi une puissance économique avec des innovations étonnamment constantes dans les domaines de la haute technologie et de la médecine qui attirent des entrepreneurs du monde entier.

En outre, Israël est un chef de file mondial du recyclage de l’eau, surmontant avec succès ses propres conditions de sécheresse et apportant son aide à d’autres pays. Et enfin, Israël a découvert le gaz et deviendra un exportateur d’énergie qui renforcera ses liens mondiaux.

Ces facteurs positifs ont plus que compensé les éléments négatifs mentionnés ci-dessus. Il n’est donc pas surprenant que, malgré leurs grognements incessants, les Israéliens soient un peuple très heureux et fier.

Nous devrions regarder Israël aujourd’hui et, sans devenir complaisants, nous remémorer notre position d’il y a seulement 10 ans, et remercier nos dirigeants et le Tout-Puissant pour nos réalisations.

Post Scriptum, 8 de setembre del 2018.

Isi Leibler va publicar abans d’ahir a l’Algemeiner aqueix article fent un balanç esperançador en vistes del nou any 5779, que en versió francesa divulgat el blocaire Malaassot.

  1. Avui diumenge les notícies de TV3 del migdia s’ha fet ressó d’aquesta celebració.

    Han dit, però, que els soldats israelians han forçat la mesquita d’Al Aqsa, a Jerusalem. Pel que s’ha dit a la crònica periodística de TV, dins de la mesquita només hi havia un grup de palestins que s’havia atrinxerat, i han rebut als soldats amb pedres i “focs d’artifici” [textual!]. No han dit, però, si els focs d’artifici eren per celebrar l’any nou jueu. De capaços de dir-ho, sens dubte que els periodistes de TV3 ho són… Estan preparats per això i més.

    Atentament

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