Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

9 d'abril de 2015
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De les primaveres àrabs a la primavera iraniana ?

Fa quatre anys als mitjans de comunicació occidentals es va posar en circulació el terme “primaveres àrabs” per designar el sotrac que va commoure un seguit de règims dictatorials des de Tunísia al Ièmen, com si es tractés d’un revival del Maig del 68.

Llevat de Tunísia on ha triomfat un règim constitucional democràtic sostingut per partits laics i islamistes, i Egipte on el cop d’estat militar comandat pel general Al-Sissi ha restablert un ordre polític predemocràtic, la  resta d’estats on va  florir la revolta primaveral han caigut en el caos, com Líbia, o en la guerra multidimensional com Síria.

Al conjunt del món àrab els partidaris d’introduir reformes democràtiques són nuclis reduïts d’intel·lectuals sense suport social suficient per imposar els seus objectius en uns països on l’islam és percebut com un ordre tancat inamovible i incompatible amb la separació de poders pròpia dels estats occidentals.

L’Iran ja va viure l’any 2009 una veritable revolta democràtica arran d’unes eleccions fraudulentes, com totes en aqueix règim teocràtic establert l’any 1979. Des d’allavòrens els aiatol·làs han promogut el seu model totalitari en el terreny ideològic envers el conjunt del món musulmà disputant el lideratge a l’Aràbia Saudí.

Obama manté un estratègia confusa respecte de l‘expansionisme xiïta  iranià que emergeix com a potència regional des del Líban fins a Iraq, aspirant a liderar el mon Islàmic esdevenint l’únic estat musulmà capaç d’enfrontar-se a Israel. Per això aspira a obtenir l’armament atòmic, un objectiu que no queda descartat després del preacord de Lausana i que fa més que probable l‘enfrontament directe amb l’estat hebreu. El mític general israelià Moshe Dayan deia que mentre Israel tingués per enemics els àrabs se’n podia sortir, però els iranians són enemics més perillosos car provenen d’una cultura mil·lenària i una voluntat supremacista ancestral.

Post Scriptum, 28 de juny del 2016.

Alain Vivien, ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, co-fondateur du Comité Français pour un Iran démocratique, publicà el proppassat 24 d’aqueix mes a Le Monde aqueix acurat anàlisi “La question iranienne” sobre les veleïtats reformistes del règim integrista iranià a Le Monde.

Beaucoup ont misé sur une modération du régime après l’accession d’Hassan Rohani à la présidence en Iran, oubliant qu’un régime théocratique est par essence difficilement réformable. Mais en Occident on a voulu y croire. Les délégations politiques et économiques se sont succédé en Iran pour sonder le terrain avec, comme gage de bonne volonté, le désir de renouer des relations interrompues par les sanctions internationales. La société civile a pour sa part espéré en Iran le début de la fin de cette dérive totalitaire qui l’étouffe depuis plus de trois décennies.

Ces espoirs peinent à se concrétiser. La communauté internationale est plus que jamais perplexe face à l’instabilité politique qui règne en Iran. Depuis la conclusion de l’accord de juillet, la politique de Téhéran ne cesse de surprendre par son caractère erratique. Le récent accès de tensions au sein des différentes composantes du régime peut servir d’indicateur pour appréhender les contours de la crise iranienne. Ali Khamenei, le Guide suprême à vie, ne parvient plus à maintenir la cohésion du système. L’un de ses principaux contradicteurs, Mehdi Karoubi, un vétéran du régime placé en résidence surveillée – vient de publier une lettre ouverte, (rapportée par la BBC), confirmant la fracture visible au sein du cercle des dirigeants. Khamenei y est désigné comme « un personnage égocentrique, ambitieux et avide de pouvoir qui pense que les sorts des nations musulmanes et des pays de la région sont entre ses mains ; un personnage qui pour ses intérêts politiques commet des sacrilèges et ne respecte aucune limite. » Une virulence de ton inédite en République islamique à l’égard du Guide, qui témoigne du déficit de crédibilité grandissant de celui qui détermine, au final, la politique intérieure et extérieure du régime.

Cette faiblesse se manifeste aussi dans des décisions incohérentes du Guide. Elles déroutent notamment les milieux d’affaires qui avaient misé sur la perspective d’une modération du régime. Mettant en garde contre « l’infiltration étrangère » et le danger de « dénaturer la République islamique », le Guide a tenu des propos particulièrement durs le 30 mars dernier, au lendemain des essais controversés de tirs de missiles de longue portée (1400 km) par les gardiens de la révolution (pasdaran) : « Les ennemis de la révolution (islamique) utilisent le dialogue, le commerce, les menaces militaires et tout autre moyen contre nos intérêts. Ceux qui affirment que l’avenir est dans les négociations, et non pas dans les missiles, sont soit ignorants, soit des traîtres (…) Notre économie doit être celle de l’économie de résistance. » L’« économie de résistance » dans le jargon des mollahs signifie la continuité de la politique de crispation et de fermeture face à un monde perçu comme « ennemi ». L’observateur étranger est à la fois médusé par la violence de ton du numéro un iranien, et inquiet quant à la perspective des relations avec un pays dont les dirigeants n’ont que trop déçu par le passé.

Un dilemme mortel paralyse aujourd’hui le régime : doit-il s’enfermer encore sur lui-même dans l’espoir de préserver l’idéologie politico-religieuse et le pouvoir des mollahs ; ou doit-il s’ouvrir au reste du monde et rendre à l’Iran la place éminente qui devrait être la sienne dans le concert des nations ? Mais s’ouvrir signifierait renoncer au « principe de la suprématie du Guide suprême » et à l’emprise des pasdaran sur la société et l’économie iranienne. Une telle perspective serait un aveu de faiblesse que le régime cherche à tout prix à éviter. Il sait que la population, désenchantée, n’attend que la première occasion pour exprimer sa colère, comme elle l’a fait en 2009.

La confiance des entrepreneurs européens pour le marché iranien est également entamée par le contexte économique particulier au pays. Les pasdaran, qui à la fois servent d’armée et de police du régime, contrôlent de nombreux secteurs économiques notamment dans le commerce international et l’énergie. La mainmise des pasdaran et des institutions liées au Guide suprême sur l’économie, dont ils contrôlent plus de la moitié de l’activité (plus de 50 % du PIB du pays, estimé à 400 milliards de dollars, selon Reuters), est un handicap majeur pour le développement du pays. Elle conduit d’une part à la dilapidation des ressources (dans la mésaventure nucléaire, le soutien aux mouvements islamistes et terroristes, l’intervention armée dans le conflit syrien, etc.). D’autre part elle sape la confiance des investisseurs qui ne souhaitent pas faire affaire avec des entités qui, malgré la levée partielle des sanctions, restent classées parmi les organisations terroristes listées par l’ONU ainsi que par les États-Unis.

Le Comité français pour un Iran démocratique, que nous avons fondé en 2007 avec François Colcombet et Jean-Pierre Michel, estime que dans la conjoncture actuelle, l’Occident ne peut pas se contenter de la seule conclusion d’un accord nucléaire. Or la politique tant interne qu’externe du régime est caractérisée par une crispation grandissante, et sur tous les fronts. Ni la répression, ni les exécutions n’ont eu de trêve en Iran. Les militantes féministes sont emprisonnées, de même que les syndicalistes, les intellectuels de gauche, les Moudjahidines du peuple, et même certains représentants des minorités religieuses et ethniques. Les condamnations à mort et les exécutions atteignent des niveaux records et inédits depuis la nouvelle présidence. Est-ce à dire que Rohani lui-même ne peut rien contre la « Justice » du Guide suprême ?

Par ailleurs, le régime reste tout aussi intransigeant dans sa politique d’ingérence au Yémen, en Irak, en Syrie, au Liban et ailleurs. Il faut exiger de l’Iran le respect de ses engagements internationaux et qu’un terme soit mis à une stratégie impérialiste néfaste pour la région et notamment pour la Syrie. Il faut pour l’Iran accepter le moratoire proposé par les O.N.G. sur la peine de mort. La communauté internationale ne doit pas baisser la garde sur les fondamentaux. Elle peut et doit prendre des mesures concrètes pour aider les démocrates iraniens qui œuvrent pour un changement démocratique dans leur pays.

Post Scriptum, 3 de gener del 2018.

Le Figaro dedicà ahir un article panoràmic a la revolta que ha esclatat fa sis dies a l’Iran contra el règim dels aiatol·là és ben diferent de la precedent del 2009 (arran del frau electoral), aqueixa és d’arrel econòmica i social, com assenyalen els Mojahidins del Poble i pot esdevenir una primavera iraniana segons l’article editorial d’Issa Goraieb a L’Orient-Le Jour de Beirut avui mateix.

Post Scriptum, 6 de gener del 2020.

Al proppassat novembre va esclatar una nova revolta a l’Iran contra l’augment dels preus de la betzina, però realment contra la mateixa dictadura que ha costat la vida a més d’un miler de manifestatnts i l’empresonament de molts altres enmig del silenci del món occidental. Fa quatre dies, els EUA van liquidar en una operació militar excepcionalment precisa, el cap de la Força Al Qods, el general Soleimani, responsable de l’expansionisme iranià a l’Orient Mitjà i de la repressió a l’interior dels pobles que hi són sotmesos. Els kurds, sunnites i demòcrates iraniens se n’han alegrat d’aqueixa acció sel·lectiva que ha escapçat el nucli estratègic del règim xiïta i dóna noves esperances a la resistència interior que lluita contra la teocràcia islamista a l’Iraq, a Síria i al mateix Iran.

Els mitjans de comunicació europeus han tractat el president Trump com un foll que posa en perill la pau del món per haver ordenat l’execució d’un enemic declarat que ha atacat durant anys els pobles veïns, Israel i els EUA. Hom hauria de saber que són milers els iranians que fugen cada any del règim genocida, molts dels quals miren d’arribar a una Europa que els rebutja i a sobre encara tracta d’entendre’s amb la dictadura i fer-hi negocis. Un d’aqueixos refugiats s’ha suïcidat ahir a l’illa grega de Lesbos, segons informa avui Le Figaro.

Post Scriptum, 12 de desembre del 2021.

Mordechai Kedar va publicar el proppassat 28 de novembre aqueix article al portal Nuit d’Orient, “La Grande Rébellion : L’Iran est-il en Train de s’Effondrer ?

La référence israélienne et occidentale à l’Iran se concentre sur trois questions principales :

– Le projet nucléaire militaire et les fusées iraniennes ;

– l’expansion de la présence iranienne (directe et indirecte) dans les États arabes, principalement en Syrie, au Liban et au Yémen ;

– et le régime des Ayatollahs.

Occasionnellement, il y a une allusion à la situation économique iranienne et à sa crise pandémique COVID-19. Rarement, les éléments politiques, militaires ou éditoriaux s’adressent à la population iranienne qui, en général, est désignée comme “le peuple iranien”.

C’est justement là le problème. Ce peuple n’existe pas. Ce qui existe en Iran, c’est une population dont la moitié est perse, et l’autre moitié un grand nombre de “peuples non perses” : Azéris (dans la partie nord, au sud de l’Azerbaïdjan), Arabes (à Al-Ahwaz donnant sur le Golfe Persique à l’est et au nord), Kurdes (au nord-ouest), Turkmans (au nord-est) et de nombreux autres groupes plus petits : Lurs, Kashkais, Caspiens, Mazendaranis, Gilyaks et autres….

Bien que tous soient citoyens iraniens et que tous soient tenus d’étudier le persan à l’école, la citoyenneté et la connaissance du persan n’ont pas fait d’eux des Perses, de la même manière que la citoyenneté israélienne et la connaissance de l’hébreu n’ont pas fait des Arabes israéliens des Juifs.

Certains de ces groupes ont subi un processus d’intégration dans les organismes gouvernementaux. L’exemple le plus marquant est le fait que le leader suprême actuel, l’ayatollah Khamenei, est azéri et non persan. Ce fait ne convainc cependant pas beaucoup des vingt millions d’Azéris de l’État que l’Iran est bien leur lieu de prédilection. Au contraire, nombre d’entre eux attendent avec impatience le jour où ils obtiendront leur indépendance et rejoindront leurs frères d’Azerbaïdjan, libérés de l’occupation russe il y a plus de 30 ans, lors du démantèlement de l’URSS en États ethniques.

L’État iranien, déjà à l’époque du Shah et après le Khomeini, a exploité les ressources naturelles dans les régions où vivent les groupes non perses. C’est le cas, par exemple, du pétrole et du gaz pillés sur la terre d’Al-Ahwaz, alors que ce qui reste aux habitants de la région, ce sont les toxines dans l’air qu’ils respirent, l’eau qu’ils boivent et le sol qui leur fournit leur nourriture. L’été dernier, l’Iran a détourné plusieurs rivières d’al-Ahwaz, privant ainsi les Ahwazis de leur eau et provoquant la mort de centaines de milliers de troupeaux de bovins et de moutons qui faisaient vivre les habitants de la région. Dernièrement, l’Iran a commencé à déraciner plusieurs milliers de palmiers fruitiers des terres ahwazies pour les transférer au Qatar. Faut-il s’étonner alors que les Ahwazis cherchent désespérément à se libérer de l’occupation iranienne qui a commencé en 1925 ?

Les Balouchis et les Kurdes sont des musulmans sunnites et eux aussi luttent depuis des décennies pour se libérer de l’État iranien.

Le régime iranien réprime brutalement toute forme d’opposition à ses politiques et à sa gouvernance sur les peuples non perses. Son approche standard pour traiter les rebelles consiste à les pendre à des grues dans les rues de la ville afin que tous les passants les voient et les craignent. Le régime recrute également des collaborateurs parmi ces groupes ethniques, afin de repérer tout élément rebelle et incitatif.

Les peuples non perses souffrent de plusieurs problèmes qui entravent leurs efforts pour s’unir contre l’État. Le premier est celui des conflits idéologiques, partisans, tribaux et personnels entre les groupes d’opposition ; le deuxième est le fait que ces minorités, à ce jour, ne se sont pas donné la main dans la lutte contre l’État ; le troisième problème est que leurs établissements sont enracinés dans les services de renseignements iraniens et le quatrième problème est que beaucoup de leurs dirigeants vivent en exil : Irak, Turquie, Europe, États-Unis et autres, et le simple fait qu’ils vivent librement hors du pays constitue un défi à leur légitimité aux yeux des personnes qui sont restées sous le régime perse oppressif dans leur patrie.

Au cours des derniers mois, on peut noter un mouvement par rapport à ces problèmes : certains partis et organisations Ahwazi ont décidé de mettre de côté leurs différences et de reporter leur résolution, jusqu’après la libération et l’indépendance. De plus, ces derniers temps, une nouvelle forme de communication entre les dirigeants des différents groupes ethniques a vu le jour. Ils se sont rendu compte que si un seul groupe se rebelle, les forces iraniennes pourraient facilement le supprimer en peu de temps et que si toutes les nations non perses se rebellent ensemble, au même moment, elles ont plus de chances de réussir.

Contrairement au passé, les dirigeants de la rébellion disposent aujourd’hui de moyens de communication modernes : des conférences par zoom entre les dirigeants en exil ont lieu, Whatsapp donne une image actuelle de ce qui se passe sur le terrain et permet de donner des instructions, Facebook et Twitter servent de plateforme pour diffuser les idées qui trouvent leur chemin vers le grand public par le biais de graffitis peints dans la nuit noire. Trois Israéliens participent également à cet effort de communication, le Dr Edi Cohen, Guy Maayan et l’auteur de ces lignes.

La question qui se pose aux leaders de la rébellion est de savoir quelle est la meilleure date pour son commencement. Finalement, on s’est mis d’accord sur la veille du 16 mars 2022. Ce jour a été choisi car c’est le jour où l’Iran célèbre le “mercredi du feu” (Cheharshanbe Suri), qui s’accompagne de beaucoup de désordre sur la place publique, d’incendies, de célébrations et, malheureusement, de nombreux blessés et morts. Les chefs de la rébellion prévoient, cette nuit-là, de brûler les postes de police, d’attaquer les centres de contrôle et de communication, de détruire les institutions gouvernementales, de s’attaquer aux infrastructures d’électricité et de communication, d’attaquer les dirigeants politiques et les collaborateurs.

Ils partent du principe qu’une révolte générale et planifiée, qui englobe tous les districts des peuples non persans, imposera aux forces de sécurité iraniennes (police, bassidjis, armée et gardes révolutionnaires) une mission impossible en raison de son ampleur, ce qui incitera de nombreux membres des peuples non persans qui servent dans les forces de sécurité à faire défection et à rejoindre les rebelles de leurs peuples respectifs.

Les chefs de la rébellion et les activistes publics de la région sont conscients du prix élevé qu’ils devront peut-être payer de leur vie et de leur liberté, mais ils savent aussi très bien que la liberté n’est pas donnée de bonne volonté mais qu’elle est arrachée de force des ongles de ceux qui la détiennent vigoureusement.

La publicité du soulèvement a commencé cette semaine et des avis concernant le “mercredi du feu” sont déjà apparus sur des maisons au Baloutchistan et à Al-Ahwaz. Les forces armées iraniennes sont déjà au courant du plan et les questions s’accumulent : toutes les organisations vont-elles effectivement se donner la main et se rebeller ce soir-là ? Tous les peuples non perses s’y engageront-ils ou certains préféreront-ils “rester sur la touche” afin de voir où souffle le vent et qui gagne ? Les rebelles pourront-ils s’armer, s’entraîner, s’approvisionner et s’organiser au cours des quatre mois précédant le déclenchement de la rébellion ? Les pays étrangers seront-ils aux côtés des rebelles avant, pendant et après le soulèvement ? Que dira le président américain aux dirigeants iraniens alors qu’il assiste à la répression des masses dans les rues ? Quelle sera la réaction des dirigeants européens qui ont investi des milliards en Iran ? Et de la Chine ? Et de la Russie ? Toutes ces questions planent au-dessus du soulèvement prévu et sont toujours sans réponse.

Le point de vue juif

À ceux qui lisent ces mots et qui n’ont toujours pas consulté leur agenda, permettez-moi de révéler : le soir où la rébellion est censée commencer est la veille de Pourim et lorsque les feux brûleront dans les rues d’Iran et enflammeront – inshallah – l’État, les grilleurs sonneront en entendant le nom du méchant Haman, le maléfique. Si, en effet, le soulèvement réussit – et cela devrait être notre espoir à tous – il n’y aura pas de Pourim plus joyeux que celui qui s’annonce. Et le “salut et le sauvetage” dont bénéficieront les Juifs et l’État d’Israël grâce à lui ne disparaîtront pas de la mémoire d’Am Yisrael pour les générations à venir.

Le démantèlement de l’Iran en groupes ethniques ne sera, pour le Moyen-Orient, pas moins significatif qu’un effondrement similaire de l’URSS pour le système mondial. A partir de ce post, je souhaite de tout mon cœur et de toute ma force un grand succès aux groupes ethniques non perses en Iran avec leur rébellion planifiée. Leur succès ouvrira une page nouvelle et optimiste dans leurs annales comme dans celles de l’histoire d’Israël et du Moyen-Orient dans son ensemble.

Post Scriptum, 9 d’abril del 2023.

Raz Zimmt, analista de l’INSS,  hi va publicar aqueix report al No. 1674, December 28, 2022, “Three Months of Protest in Iran: A Revolutionary Situation, Sans Revolution“. The wave of protests that broke out in the Islamic Republic this past September has ebbed somewhat, and at present there seems little threat to the regime. However, this does not mean that the regime of the ayatollahs can rest easy – revolutionary winds continue to blow, and without changes, the gaps between the regime and the civilian population will continue to widen”

 

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