Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

7 de març de 2010
3 comentaris

Le meilleur des mondes (2006-2008)

Le meilleur des mondes” fou una revista de pensament polític, nascuda l’any 2006 a França, impulsada per una colla d’intel·lectuals com Mohamed Abdi, Pascal Bruckner, André Gluksmann o Pierre-André Taguieff que publicà un total de 9 números abans de desaparèixer, dissortadament, l’any 2008.

Els eixos ideològics eren la denúncia dels totalitarismes, passats i presents, especialment de l’antisionisme que equiparaven a l’antisemitisme, i la crítica als dogmes de l’esquerra estatista occidental. Aquest era el seu lema: “Le courage, c’est d’aller vers l’idéal et de comprendre le réel”, i aquesta era la seva carta de presentació:

 

“Le meilleur des mondes” est né de l’ennui, de la solitude et du malaise croissant de quelques-uns face à une vie publique française qui semble se complaire dans le ressassement de mythes intellectuels usés et de rancoeurs politiques impuissantes. Parce que les attentats du 11 septembre ont résonné pour certains  comme un signal d’alarme en direction de l’Occident et de ce qu’il a produit de meilleur et d’universel: la démocratie, les droits de l’homme, l’égalité entre hommes et femmes. Parce que la crise politique et institutionelle qui s’est révelée dans la sillage du 21 avril, et au travers des émeutes de l’automne 2005, est aussi une crise intellectuelle: le mal d’un pays qui n’arrive pas à faire le dueil de vieux clivages pour mieux affronter la complexité du monde. Parce que, ici et là, des voix critiques s’élèvent pour s’opposer aux caricatures antilibérales et à l’unanimisme antiaméricain brandis, à gauche comma à droite, par trop de responsables politiques.

Pour toutes ces raisons, nous avons créé “Le meilleur des mondes”: une nouvelle revue qui propose une autre réflexion -tant politique que littéraire- sur l’actualité, et dans laquelle nous avons souhaité faire une place la plus large possible à l’image. Nous souhaitons ainsi vous proposer un rendez-vous trimestrel qui offre une autre vision du monde. Cette revue réunit les textes de journalistes, écrivains, philosophes, cherceurs, qui partagent un certain regard sur la réalité contemporaine. Ce même  regard -résolument antiutopique- qui valut en leurs temps à Panaït Istrati, George Orwell, Arthur Koestler et d’autres l’abathème des bien-pensants. C’est pourquoi, dans son titre et ses colonnes, “Le meilleur des mondes” tente de formuler à la fois son ambition et sa modestie: antiutopique, contre tous les meilleurs des mondes imposés, à l’écoute du meilleur des mondes possibles -le seul qui soit.”

Post Scriptum, 28 d’agost del 2018.

El bloc d’Olivier Berruyer, “Les crises”, ofereix l’accés als sumaris dels nou números de Le meilleur des mondes, tot criticant-ne els continguts i els autors..

  1. Ça va le mieux dans les meilleurs des mondes.

    Siempre que los mejores mundos no sean los de Antonio Elorza, colaborador de la revista de Gluksmann & Co., o, por lo menos, miembro de su consejo editorial.

    Una abraçada, Jaume 

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