EN EL CERVELL DE L’ESTIU. SEMPRE EM QUEDARÀ LA SAGAN (XII)
QUAND J’AVAIS UN MOMENT SANS CLARINETTE OU SANS DISCUSSIONS INTELLECTUELLES, CELLES-CI AVEC FLORENCE MALRAUX, MA CONDISCIPLE À LA SORBONNE (DISCUSSIONS QUE NOUS POURSUIVONS TOUJOURS), JE RENTRAI DANS UN BISTROT OÙ UN PATRON DÉBONNAIRE ME LAISSAIT SIROTER INTERMINABLEMENT UN CAFÉ IMBUVABLE. DÉSOEUVRÉE MAIS EXALTÉE, J’ECRIVAIS DES SORNETTES ET LES RÉÉCRIVAIS SANS CESSE. JE COMMENÇAI, AU FIL