Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

4 d'agost de 2021
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L’Observatoire de l’immigration et de la démographie

Les qüestions que plantegen els desplaçaments de població a les societats occidentals són a la cruïlla d’una munió multidimensional de reptes (polítics, econòmics, identitaris, de seguretat) que cal tractar-los amb rigor jurídic i polític. En aqueix bloc he recomanat els estudis del CAPE de Jerusalem, i ara enllaço amb un centre d’estudis privat francès dedicat a l’anàlisi de la problemàtica i a la divulgació de dossiers específics a l’abast dels agents polític i ciutadans.

L’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) a été fondé en 2020 par un groupe de hauts fonctionnaires et de membres de la société civile (entrepreneurs ou simples citoyens). Il se veut une structure d’étude et d’information relative aux évolutions migratoires et démographiques de la France, destinée aux décideurs ainsi qu’à l’ensemble des citoyens intéressés par ce sujet.

Occupant une place centrale dans le débat national depuis bientôt quarante ans, les flux migratoires et les questions de population nourrissent illusions, inquiétudes et invectives au sein de la société française. Autant de réactions qui ont trop souvent tendance à faire abstraction des faits.

Notre objectif est clair : donner une vision rationnelle et dépassionnée de ces sujets. Il s’agit à la fois d’éclairer et d’apaiser la nécessaire discussion démocratique, en puisant aux meilleures sources disponibles : statistiques publiques, ouvrages de chercheurs spécialisés, analyses juridiques.

Rejetant absolument toute hostilité ethnique ou religieuse, nous souscrivons à la nécessité de contrôler les flux migratoires pour préserver la cohésion sociale et la soutenabilité des finances publiques, ainsi qu’à l’objectif d’une natalité dynamique. Ces convictions se veulent ancrées dans les réalités — et non l’inverse. Voilà tout l’objet de l’OID.

Em semblen especialment punyents els reports dedicats a L’immigration des Algériens i sobre Les Turcs en France : un « isolat » séparatiste ?.

Post Scriptum, 25 d’agost del 2021.

Punyent report d’avui mateix, Immigration et démographie urbaine: ce que nous apprennent les cartes de France Stratégie.

Post Scriptum, 13 de juny del 2022.

El proppassat 9 d’aqueix mes a Le Figaro: “L’essayiste Max-Erwann Gastineau analyse la «tripartition» partisane qui structure le débat autour de l’intégration culturelle des populations immigrées. L’apparition des termes «créolisation», «inclusion» et «assimilation» révèle le poids pris par la question de l’immigration. «Créolisation, inclusion, assimilation: comment réussir l’intégration culturelle des populations immigrées ?».

Post Scriptum, 17 de novembre del 2022.

Ahir, Le Figaro publicava aqueixa reflexió: “Le Juge des Libertés et de la détention a annulé pour vice de procédure le maintien dans la zone d’attente temporaire de quatre migrants secourus par l’Ocean Viking. Pour Laurent Lemasson, le cadre légal empêche le gouvernement de contrôler les entrées sur son territoire de façon souveraine: «Que révèle la décision des juges au sujet des vices de procédure ?», del qual val la pena extreure’n aqueixos paràgrafs:

“La réalité est donc la suivante: ceux qui violent nos lois en entrant clandestinement sur notre sol ont ensuite toutes chances d’y demeurer en invoquant les protections que leur offrent nos lois. La situation est d’autant plus ubuesque que, comme le rappelle Didier Leschi, directeur de l’OFII, «Dès que la police contraint un étranger à intégrer un centre de rétention afin de préparer son départ, elle le présente immédiatement à une association subventionnée par l’État censée l’aider à faire valoir des droits qui auraient échappé à l’administration. Nous subventionnons ainsi une activité dont le but avoué est d’éviter que la reconduite à la frontière puisse être menée à son terme.»

Comment mettre fin à une situation aussi scandaleuse, qui provoque déjà de puissantes convulsions politiques et qui engendra à terme des tragédies sanglantes si nous ne faisons rien? Le problème n’est pas de modifier telle ou telle disposition du droit de l’entrée et du séjour des étrangers, mais d’en changer radicalement l’esprit. Tout ajustement à la marge ne changera rien à l’impuissance actuelle. L’esprit du droit existant est que tout individu possède un droit subjectif à être admis dans le pays de son choix, droit opposable au gouvernement de ce pays et dont il n’est possible de le priver que pour des motifs très graves et au terme d’un procès équitable.

C’est cet esprit qui doit être dénoncé comme contraire aux principes républicains les plus élémentaires. Aux termes du contrat social qui est censé fonder notre régime, un étranger n’a pas plus le droit d’exiger d’être intégré à un peuple déjà existant qu’il n’a le droit d’imposer sa présence dans une maison où il n’a pas été invité. Toute communauté politique est libre d’accepter qui elle veut et selon les critères de son choix. Certes, nul ne peut reprocher aux migrants de se présenter là où ils estiment que leur vie sera meilleure, mais il n’en reste pas moins que ceux-ci ne peuvent se prévaloir d’aucun droit à être acceptés. Le gouvernement de la communauté particulière aux frontières de laquelle ils se présentent est chargé de protéger la vie, la liberté et la propriété des individus qui la composent. Il n’est en aucune façon chargé de protéger les droits de ceux qui n’appartiennent pas à cette communauté.

Procéder comme si les migrants avaient un droit subjectif à être accueillis là où ils le désirent revient à dire que le gouvernement d’un pays a l’obligation de garantir les droits de n’importe quelle personne dans le monde qui en ferait la demande. Une telle obligation est à la fois impossible à remplir et injuste. Elle est une violation des termes du contrat initial d’association. À l’encontre de cette approche à la fois injuste et porteuse de désastres, il faut réaffirmer que l’entrée et le séjour ne sont pas des droits mais des faveurs. Par conséquent l’octroi ou le retrait d’un titre de séjour, pour quelques motifs que ce soit, devrait être déjudiciarisé au maximum. Une grâce n’est jamais un dû. Tant que notre droit et nos obligations internationales n’auront pas été entièrement révisés à la lumière de ce principe, il y aura des Ocean Viking et la maîtrise de l’immigration restera une chimère.”

Post Scriptum, 18 de desembre del 2022.

Philippe d’Iribarne, signa aqueix article punyent ahir a Causeur: L’immigré, objet sacré. L’accueil inconditionnel des immigrés est devenu une religion. Quand les prophètes du camp du Bien prêchent la belle «ouverture à l’Autre» face au vilain «repli sur soi», d’autres dévots nourrissent une haine de la France, éternellement coupable de son passé, et dont la rédemption passe par les nouveaux venus”.

Post Scriptum, 28 de setembre del 2023.

Ahir, Tribune Juive reproduia aqueixa reflexió del jurista Jean-Éric Schoettl. “Interdiction de refouler les migrants : Entre les intérêts de la France et la jurisprudence européenne, il faut choisir”. Les décisions successives de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) et, plus récemment, de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), entravent la capacité des États à endiguer les flux migratoires, analyse l’ancien secrétaire général du Conseil Constitutionnel.

Post Scriptum, 22 de desembre del 2023.

El proppassat dimarts hom va aprovar a França una nova legislació sobre el dret d’asil i la immigració que segons aqueix article publicat ahir per La Figaro “Pour le docteur en droit public Laurent Lemasson, la loi sur l’immigration adoptée ce mardi par le Parlement ne remet pas en cause l’esprit de la législation actuelle sur l’exécution des OQTF : «Beaucoup de bruit pour (presque) rien».

Post Scriptum, 31 de desembre del 2023.

demana el proppassat 27 des de Le Figaro a l’esquerra pro-immigracionista (sense límits) aqueixa reflexió: «Et si la gauche se tirait une balle dans le pied ?» Alors que plusieurs départements dirigés par la gauche ont affirmé qu’ils n’appliqueraient pas certaines mesures de la loi immigration, la politologue Renée Fregosi, passée par le PS, juge cette attitude contre-productive. Selon elle, la gauche devrait plutôt prendre exemple sur ses camarades danois”.

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