Cataluña fácil, para hispano hablantes.

Reflexiones de Ignasi de Yzaguirre +Vilaweb

5 de juny de 2024
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L’amnistie est déjà là, mais le génocide de la minorité nationale catalane continue.

Le terme génocide est apparu défini pour la première fois dans le livre Axis Rule in Occupied Europe, publié aux États-Unis en 1944. (Wikipédia, voir « génocide »)
Raphael Lemkin, le « père » du concept, le définit ainsi :

“La mise en œuvre d’actions coordonnées tendant à la destruction des éléments décisifs de la vie des groupes nationaux, en vue de leur annihilation.”

Déclaration : la langue fait de nous, Catalans, un « groupe objectivement identifiable », qui vit sur la côte occidentale de la Méditerranée, dans les Pyrénées orientales et dans les plaines au nord de celles-ci, ainsi que sur les îles occidentales de la Méditerranée. Notre langage est donc un « élément décisif » de ce dont parle Lemkin, le créateur du concept de génocide.

Quelques exemples réels de génocide en terres catalanes…….

Cas 1 : Une famille qui agit en coordination avec les partis politiques espagnols et le pouvoir judiciaire pour réduire la présence du catalan dans son école.

Cas 2 : Un parti politique créé en Catalogne pour faire disparaître la présence du catalan dans la société en général (appelé C’s et actuellement en voie de disparition).

Cas 3 : Les partis de gauche espagnols qui détournent le regard lorsque le catalan est persécuté, « l’élément décisif » qui définit la minorité nationale catalane.

Cas 4 : Juges qui mettent constamment des obstacles à l’utilisation du catalan par les utilisateurs ou les victimes dans le cadre des procédures judiciaires.

Cas 5 : Mesures administratives contre les magazines pour enfants en catalan : cas du magazine Camacuc et autres.

Cas 6 : Ministre espagnol qui conçoit des politiques visant à « hispaniser » les enfants catalans.

Cas 7 : Un président du club de football de Barcelone (M. Sandro Rosell) passe deux ans en prison préventive pour avoir laissé passer la “Via Catalana” par le stade du Barça.

Cas 8 : En application de la loi d’amnistie de 2024, le nombre de sanctions économiques appliquées en vertu de la loi Gag est connu. Elles touchent des dizaines de milliers de citoyens de la minorité nationale catalane au cours des dix dernières années.

Cas 9 : L’ONG « Plataforma per la llengua » a reçu près de 2 500 plaintes de personnes agressées en 2023, de diverses manières, parce qu’elles parlaient catalan.

Conclusion : La coexistence avec les Castillans-Espagnols n’est pas possible, même dans le domaine du football.

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