
“Un roman doit rassembler à une rue pleine d’inconnus où passent deux ou trois êtres, pas davantage, que l’on connaît à fond. Regarde d’autres comme Proust, ils ont su utiliser les comparses. Ils s’en servent pour humilier, pour rapetisser leurs principaux personnages. Rien de plus salutaire dans un roman que cette leçon d’humilité donnée aux héros.”
Irène Némirovsky a Suite française, una mica com Mercè Rodoreda al pròleg de Mirall trencat…