Aqueix vespre hi ha convocades a París dues manifestacions contraposades: la primera, promoguda per un seguit de partits que volen denunciar l’augment d’actes antisemites, és a dir contra jueus, i la segona, la que aplegarà col·lectius pro-palestins, indigenistes i islamo-gauchistes.
Aqueixes mobilitzacions coincideixen amb el debat encetat per un grup de parlamentaris favorables a considerar l’antisionisme com una variant de l’antisemitisme. Els antisionistes insisteixen a diferenciar-se del racisme antijueu d’arrel feixista tot afirmant que impugnar les polítiques del govern d’Israel és ben legítim, cosa que és certa, però la impostura rau en el fet que realment el que neguen és el dret del poble jueu a l’autodeterminació, a tenir un estat propi sobre la seva terra ancestral. I això sí que és essencialment antisemita. Elisabeth Lévy, directora de Causeur, hi publica avui aqueix punyent article: “Antisémitisme: peste plus rouge que brune“.
Per la seva part, l’historiador Thierry Wolton publica avui a Le Figaro aqueixa constatació: “Les racines anciennes et occultées de l’antisémitisme d’extrême gauche”:
Que certaines personnalités se réclamant de la gauche et de l’extrême gauche minimisent la portée des insultes antisémites proférées contre Alain Finkielkraut, lors de la manifestation de samedi à Paris, ne saurait étonner. Dans l’inconscient progressiste, le Juif a longtemps représenté le ploutocrate que la lutte des classes devait se charger d’éliminer.
L’antisémitisme d’extrême gauche est beaucoup moins évoqué que l’antisémitisme d’extrême droite (ce qui ne diminue naturellement en rien la gravité de ce dernier). Or, initialement, la gauche fut à l’avant-garde de la propagation du mal, car elle a embouché la première les canons d’un nouvel antisémitisme né avec la révolution industrielle du XIXe. La haine moderne du Juif s’est développée partout en Europe avec le triomphe du capitalisme. Cet antisémitisme s’alimente à la fois aux sources du ressentiment (la réussite sociale prêtée aux Juifs) et des exclusives nationalistes, par réaction au cosmopolitisme supposé des israélites, comme on disait alors. Le Juif finit par incarner le «pur» bourgeois, celui à qui profite le développement du capitalisme mais qui serait coupé de ses racines nationales, une sorte de capitaliste apatride.
Contempteur de ce mode de production, Karl Marx stigmatise le Juif. «Quel est le fond profane du judaïsme? demande-t-il dans La Question juive (1843). Le besoin pratique, l’utilité personnelle. Quel est le culte profane du Juif? Le trafic. Quel est son dieu profane? L’argent. […]Quelle est en soi la base de la religion juive? Le besoin pratique, l’égoïsme. […]L’argent est le dieu jaloux d’Israël devant qui nul autre dieu ne doit subsister.» Dans Le Capital(1867), il estime que «toutes les marchandises sont de l’argent pour les Juifs intérieurement circoncis». Dans sa correspondance avec son ami Engels, Marx use de mots tels que «petit-juif»,«youpin», «négro-juif». La propagande nazie ne s’est pas privée d’utiliser des citations de l’auteur du Capital pour justifier l’antisémitisme du pouvoir hitlérien.
D’autres penseurs révolutionnaires du XIXe n’ont pas été en reste. Pour l’anarchiste Proudhon, le Juif est un «entremetteur», un «parasite» qui «opère, en affaires comme en philosophie, par la fabrication, le maquignonnage». Bakounine, un des pères de l’anarchisme, voit dans les Juifs «une secte exploitante, un peuple sangsue, un unique parasite dévorant».
Au XXe siècle, le communisme au pouvoir étatise l’antisémitisme. La mention «Juif» était inscrite sur les passeports soviétiques. À la libération d’Auschwitz par l’Armée rouge, en février 1945, Moscou n’a pas parlé de camp de la mort, obligeant les Alliés à forcer la main à Staline pour savoir ce que les troupes soviétiques avaient découvert sur place. La mémoire communiste de la Seconde Guerre mondiale, pour sa part, a privilégié la dimension patriotique, le combattant héroïque et le résistant plutôt que le déporté victime.
Les communistes français ont aidé, à leur manière, à banaliser l’antisémitisme. Faut-il rappeler que le PCF a souvent insisté sur les racines juives de Léon Blum, son ennemi social-démocrate? Que le parti s’est livré, à la fin des années 1940, à une virulente campagne antisémite sous prétexte que Jules Moch, ministre de l’Intérieur, briseur de grèves en 1947, était juif?
Se souvient-on de l’hallali de la presse communiste contre les Juifs au moment du procès des blouses blanches en URSS, point culminant de la campagne antisémite de Staline en 1953? Un sondage de l’Ifop, datant de 1966, sur «Les Français et le problème juif», indiquait que les militants du PCF étaient plus nombreux (28 %) que la moyenne des personnes interrogées (19 %) à considérer que les Juifs ne sont pas «des Français comme les autres».
De l’histoire ancienne, mais c’est dans les plis du passé que naissent les plaies à venir. Aujourd’hui, dans le vocabulaire politique de la gauche et de l’extrême gauche, le Juif n’est plus appelé comme tel, le sioniste a pris sa place. Le phénomène n’est pas proprement français. Les accusations d’antisémitisme portées de nos jours contre le parti travailliste britannique, singulièrement contre son leader Jeremy Corbyn, sous couvert d’antisionisme et de prises de position pro-palestiniennes, indiquent combien les vieux réflexes antijuifs perdurent.
«L’antisionisme est une introuvable aubaine, a remarqué Vladimir Jankélévitch dans son livre L’Imprescriptible (1986), car il nous donne la permission et même le droit et même le devoir d’être antisémite au nom de la démocratie! L’antisionisme est l’antisémitisme justifié, mis enfin à la portée de tous. Il est la permission d’être démocratiquement antisémite.» Le philosophe poursuit: «Et si les Juifs étaient eux-mêmes des nazis? Ce serait merveilleux. Il ne serait plus nécessaire de les plaindre: ils auraient mérité leur sort.» Nous y sommes, quand les territoires occupés sont comparés aux camps de la mort, les Israéliens accusés de «génocide» et les Palestiniens présentés comme les nouveaux «damnés de la terre», victimes du racisme juif, comme le proclament haut et fort nombre d’antisionistes amateurs de déclarations de cet ordre.
Post Scriptum, 20 de febrer del 2019.
Molts membres de la comunitat jueva es van negar ahir a manifestar-se: com Pierre Weil ho explica avui a Le Figaro. Abans d’ahir, Shamuel Trigano ja avançava que aqueixes manifestacions serveixen de ben poc i fins i tot resulten contraproduents: “Plus il y a de manifestations, plus l’antisémitisme s’aggrave”. Un cop acabades les mobilitzacions de París i altres ciutats franceses The Times of Israel n’ha fet un exhaustiu resum que permet calcular que van sortir al carrer contra l’antisemitisme trenta mil persones aproximadament.
Post Scriptum, 25 de febrer del 2019.
L’historiador Georges Bensoussan (sovint esmentat en aqueix bloc) ha estat entrevistat avui per La Petit Hebdo sobre el creixement de la judeofòbia a França i el moviment de les armiulles grogues: “France, le pays du déni”.
Post Scriptum, 28 de febrer del 2019.
Tsilla Hershco publica avui aqueix report als Perspectives Paper del BESA Center: “The Yellow Vsts in France: Social Protest, Violence and Antisemitism“. I també avui Libération publica un manifest amb quatre-cents signants titulat: “L’antisionisme est une opinion, pas un crime“.
Post Scriptum, 5 de març del 2019.
André Senik, historiador especialitzat en l’estudi del pensament polític contemporani, publica a L’Express aqueix article: “Comment riposter à l’antisionisme“.
Post Scriptum, 2 d’abril del 2019.
Pierre Lurçat publica avui al seu bloc “Vu de Jerusalem” aqueix punyent apunt: “Migration du discours antijuif radical dans les grands médias français: un cas d’école”.
Post Scriptum, 6 de maig del 2019.
El digital Le Nouvel Observateur publica avui una carta oberta d’un seguit de personalitats franceses titulada “Heureux comme un antisémite en France” arran del fet que l’assagista d’extrema dreta Alain Soral, condamnat per negacionisme, evita de moment, l’ingrés a presó i denuncien un « Munich judiciaire “. Les signataires : Mario Stasi, président de la LICRA ; Dominique Sopo, président de Sos Racisme ; Sacha Ghozlan, président de l’UEJF ; Pierre Mairat, coprésident du MRAP ; Marc Knobel, président de « J’accuse ! » ; Alain Jakubowicz, président d’honneur de la LICRA ; Michael Ghnassia, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de Cassation ; Patrick Klugman, avocat ; Stéphane Lilti, avocat ; Jean-Louis Lagarde, avocat ; Ilana Soskin, avocate ; Stéphane Nivet, délégué général de la LICRA.
Post Scriptum, 25 de juny del 2019.-
Avui, The Times of Israel publica una extensa ressenya del llibre de Marc Weitzmann sobre l’antisemitisme a França: “Les juifs de France subissent la haine de gauche, de droite et des islamistes”.
Post Scriptum, 3 de setembre del 2019.
JForum publica avui una reflexió de Shamuel Trigano arran del reconeixement per part d’un antic responsable del govern Mitterrand d’un pacte amb les organitzacions terroristes palestines: “La trahison de la République. L’agrément de la France à la terreur palestinienne“:
Post Scriptum, 24 d’octubre del 2020.
Philippe Karsenty publica avui a Causeur assenyalant els vincles entre palestinisme i jihadisme arran de la degolla del professor d’hsitòria que ensenyava als alumnes la llibertat d’expressió i les caricatures de Mahoma: Dissolution du collectif « Cheikh Yassine », il n’y a pas de hasard. C’est aussi le propalestinisme qui a tué Samuel Paty.
Post SCriptum, 19 de febrer del 2021.
El proppassat 1 de novembre, Didier Lemaire, professeur de philosophie à Trappes (Yvelines), després de l‘assassinat de Samuel Paty, va fer una a la resistència front a l’amenaça islamista que li ha costat viure assetjat fins i tot per l’alcalde de la localitat. El seu escrit publicat a L’OBS és dissortadament vigent: Trappes : « Comment pallier l’absence de stratégie de l’État pour vaincre l’islamisme ? ».
Post Scriptum, 16 de maig del 2021.
Jean Szlamowicz publica avui al digital jueu francòfon Menora aqueix punyent article, “Le discours anti-israélien en France, la fabrique de la haine“.
Post Scriptum, 7 de maig del 2023.
L’Assemblea Nacional francesa va rebutjar el proppassat 4 d’aqueix mes declarar Israel un estat racista, com va fer per vergonya nostra el Parlament de Catalunya: Analyse du scrutin n° 1456 du 4 mai 2023: Israël État d’apartheid?
Post Scriptum, 26 d’octubre del 2023.
Georges Bensoussan és entrevistat per Le Point el proppassat 20: “Les Juifs de France se sont sentis trahis, et ils l’ont été”.
Post Scriptum, 7 de desembre del 2023.
Malgrat la pressió mediàtica i les manifestacions contra Israel, ahir Le Figaro informa d’aqueix sondatge: “Près de deux tiers des Français considèrent toujours que l’objectif d’Israël d’éliminer le Hamas est justifié”.
Post Scriptum, 14 de setembre del 2024.
Ahir, Tibune Juive publicava aqueix escrit satíric però verídic d’un autor anònim que mereix ser reproduït, “Afficionados de la “cause”: comprendre les raisons.
Il faut comprendre pour quelles raisons les “Palestiniens” ainsi que tous ceux qui ont fait de ce problème leur principale et unique source d’indignation, n’ont ni aucun intérêt ni aucunement l’intention de promouvoir, malgré leur sémantique parfois policée, une quelconque paix avec Israël.
Il en va de leur survie en tant qu’individu, tellement ils se sont identifiés à cette cause, étant même, pour certains d’entre eux, devenus plus palestiniens que les Palestiniens, c’est dire.
Le concept de “peuple” palestinien fut inventé de toutes pièces, à une époque où la “libération des peuples opprimés” était en vogue, et où libération signifiait instauration d’un régime dictatorial aligné sur l’ex-URSS, et où opprimé signifiait aligné, mais sur les USA. Un tyran pouvait se permettre de massacrer ses voisins, son propre peuple, menacer la terre entière de ses diatribes enflammées, promouvoir et financer le terrorisme de masse, l’appartenance au bloc des “non alignés alignés sur Moscou”, lui tenait lieu de blanc-seing. Du moment que son discours parlait de “révolution”, toutes les légions de trots, mao, stalino, anarcho, … sans oublier les fameux “intellectuels de gauche”, étaient soudain pris de vertige.
Je me rappelle avoir dansé dans la rue à l’arrivée des khmers rouges et du camarade Pol Pot (à cette époque, je militais chez Krivine, erreur de jeunesse…). On connait le résultat, mais qu’importe, c’était la “révolution” khmère.
Et quid de la “révolution palestinienne”, chantée et glorifiée par Arafat et ses sicaires dans les 70’, et remplacée au pied levé par le “jihad”, plus porteur dans l’imaginaire arabe. Mais gare à l’autocrate ou même au régime réformateur qui n’était pas dans cette norme, il était systématiquement balayé par un courant extrémiste agissant sous le couvert d’un pseudo verbiage gauchisant et droit de l’hommiste et qui, bien entendu recevait la bénédiction de tous les bien-pensants de l’époque. A y regarder d’un peu plus près, la situation est identique, mais la sempiternelle “révolution” s’est muée en jihad, les “non alignés” se sont alignés sur l’Iran, la Chine et sur la Ligue arabe, et les mêmes décervelés islamo-gauchisto-wokes sont toujours là pour les encenser.
Donc, pour en revenir à nos moutons, que se passerait-il en cas de paix entre les Israéliens et les Palestiniens ? Je parle bien entendu d’une vraie paix, avec échanges culturels, économiques, tourisme, etc.… et avant tout, avec reconnaissance mutuelle de chacun.
On en est loin, je sais, mais on peut toujours fantasmer, non ? Si un tel cas de figure survenait, que deviendraient les Palestiniens ? Dans la mesure où ils n’ont jamais été, ni un peuple, ni un état, mais simplement une arme de destruction du peuple Juif, conçue comme telle et uniquement dans ce but, comment une telle paix n’est ne serait-ce qu’imaginable ?
On le voit bien avec les manœuvres menées à l’ONU, au TPI et à l’Unesco, dont les “Palestiniens” se fichent totalement, mais dont ils se servent comme arme contre les Juifs. C’est ce qu’ils ne cessent de répéter sur toutes les ondes en y déversant leur tsunami de mensonges haineux et racistes. Leur seule et unique préoccupation est d’occuper l’espace diplomatique et médiatique, en se faisant passer, en anglais pour des pauvres victimes d’un nouveau nazisme devant nos médias lobotomisés, et devant les médias arabes, au contraire, apparaitre comme le fer de lance qui les conduira à la victoire, c’est-à-dire à l’anéantissement d’Israël et du peuple Juif.
Leur pire cauchemar est donc de ne plus exister au plan médiatique, et de passer dans les oubliettes de l’information (qui se souvient encore du Timor oriental ?), ce qui arriverait inéluctablement en cas de paix, et qui les mettrait face à leur destin. Il en va de même de toute les hordes glapissantes des adorateurs de la “Palestine”, la paix signifierait leur disparition, plus de subventions, plus de caméras braquées sur eux, plus de manifs hebdomadaires, plus de tweets rageurs, plus de “flottille de la paix”, plus de centaines de “reporters” agglutinés comme des mouches à m… devant une gamine de huit ans payée pour aller provoquer les soldats sous l’œil des caméras de ces ordures, plus de saccages de rayons “sionistes” dans les supermarchés par des nazillons à keffieh et des retraités nostalgiques du führer ou de Staline, qui n’auraient plus rien à faire de leur temps… plus possible de masquer leur haine des Juifs derrière la “lutte contre l’impérialisme sioniste et sa politique génocidaire”.
D’ailleurs, il est évident, pour tout observateur un peu éclairé et honnête sur cette région, que la violence chez les Palestiniens est inversement proportionnelle à leur audience médiatique. Moins le monde s’intéresse à eux, plus leur violence explose. Cette flambée de haine, voulue, orchestrée et surmédiatisée que l’on constate aujourd’hui est directement liée à la situation internationale. Des évènements infiniment plus graves et mortifères se déroulent, et le monde semblait commencer à se désintéresser des “palestiniens”, il fallait bien remettre la “cause” au centre des débats… C’est fait ! Et encore une fois, ça marche ! Pourquoi s’en priveraient-ils ? Tant qu’il y aura des gens pour colporter leurs mensonges…
Qui peut dire quels sont les apports du “peuple palestinien”, à la culture, à l’éducation et aux sciences ? Leur seule et unique culture est celle de la mort, leur seule éducation est celle de la haine, et leur seul apport à la science est d’avoir inventé et promu le terrorisme de masse contre les civils. Quel beau bilan qui méritait certainement de figurer en bonne place dans une officine comme l’Unesco. Mais encore une fois, tous ces organismes ont été phagocytés par les Palestiniens et leurs alliés à croire que sur cette terre, ce sont les seules personnes qui mériteraient notre attention.
Un “peuple” qui se construit, non autour d’un projet national, mais sur la haine et la volonté de destruction d’un autre peuple n’a pas d’avenir. Un pseudo peuple inventé de toutes pièces pour voler l’histoire d’un autre, et qui dénie à l’autre peuple vieux de plus de cinq milles ans ne serait-ce que le droit d’exister, et même d’avoir un jour existé, un tel “peuple” n’apportera jamais autre chose que la mort et la désolation, et sera une tumeur cancéreuse pour toute la planète. Un “peuple” qui danse dans la rue quand le sang Juif coule est une monstruosité abjecte qui ne devrait même pas exister en cauchemar. Ils sont tellement enfermés dans leur schizophrénie haineuse, qu’ils sont prêts à appeler le perse à balancer sa bombe A sur Israël sans même se rendre compte que dans un tel cas, ils disparaitraient en même temps que leur délire de “Palestine”, réduite en cendre radio actives. Mais qu’importe, on n’est pas à ça près, qu’est-ce que la vie de millions d’arabes si c’est pour tuer un seul Juif ?
En créant les “Palestiniens” de toutes pièces, la ligue arabe a enfanté un monstre, et ce golem leur a échappé et les détruira en même temps qu’il se détruira lui-même. Quant au peuple Juif et à Israël, on ne parlera plus de “palestinien” depuis des siècles, qu’ils continueront à apporter à l’Homme son génie, sa culture immense, et la lumière qui tant fait défaut.
N’en déplaise à tous les afficionados de la “cause”, à tous les assassins fanatiques barbus ou moustachus. L’Histoire est remplie de ces empires, tyrans, rois, religieux, … qui ont voulu détruire le peuple Juif. Ils sont morts, leurs empires, leur Reich, leur califat ont disparus dans les chiottes de l’histoire, et c’est ce qui attend pour bientôt ceux qui de nouveaux, rêvent de rallumer les fours.
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