Aqueixa setmana s’inauguren els Jocs Olímpics de París, marcats per la desconstrucció del sistema polític francès i l‘islamo-gauchisme galopant que malda per aprofitar l’ocasió per exhibir el palestinisme més fanàtic i l’antisionisme més foll. En aqueix ambient hostil els actes commemoratius a la memòria dels atletes israelians assassinats a Munic s’ha de fer a porta tancada: “À Paris, la commémoration du massacre des JO de 1972 se tiendra en secret suite à des menaces. Selon le Comité olympique israélien, la décision est due à la logistique ; le ministre de l’AP demande aux athlètes de faire preuve de “résistance” lors des Jeux”.
Els mateixos que clamen per Palestina i pel boicot a Israel callen per la presència de règims genocides com el sirià, el turc i les dictadures teocràtiques d’Afganistan i Iran. Els Jocs de Berlín foren els de l’apologia del nazisme, els de París seran -dissortadament- els de l’antisionisme on convergeixen tots els totalitarismes. L’any 1936 els jueus no tenien un estat per defensar-se, avui sí que el tenen, i malgrat massacres com les perpetrades pels gihadistes palestins als Jocs de Munic l’any 1972 i al 7 d’octubre de l’any passat contra la població israeliana, Israel està determinat a sobreviure i evitar un segon holocaust.
Post Scriptum, 23 de juliol del 2024.
Avui, a The Times of Israel: “L’Iran et le Comité olympique palestinien réclament l’exclusion d’Israël des JO“.
Post Scriptum, 24 de juliol del 2024.
L’analista de Desk Russie David Colon adverteix -ja abans d’ahir- de l’autoria russa del fals video palestí amenaçant els Jocs de París: “En résumé, il quasi-certain que la fausse vidéo de menaces du Hamas provient du réseau de désinformation russe CopyCop, et que le but recherché est à la fois d’amplifier la perception de la psychose terroriste et de faire passer la vidéo pour un #False #Flag israélien”.
Els islamo-gauchistes de la France Insoumise criden al boicot d’Israel, mentre que el president Macron que els ha propulsat al capdavant del parlament ara els critica. L’insupportable hypocrisie de ceux qui s’indignent des propos d’un député LFI après avoir fait alliance avec le NFP aux législatives».
se n’exclama ahir Le Figaro: «Paris, capitale du monde ! Réussite exceptionnelle ! Fierté française ! Admiration internationale ! Les superlatifs concernant les JO de Paris 2024 ne manquèrent pas dans la bouche et les écrits des journalistes et dans les propos des Français sur internet ou ailleurs, et ce, malgré une désastreuse cérémonie d’ouverture qui obligea le comité d’organisation à s’excuser de la piteuse prestation woke d’un mauvais goût jamais vu dans l’histoire des Jeux Olympiques.
Mais, grâce au pouvoir de la performativité, la suite fut tout simplement – à les en croire – magique ! Les « grincheux anti-Jeux » furent dénoncés par les cyber-harceleurs et la “réussite” de ces JO fut saluée – de gré ou de force – par la majorité des personnalités françaises.
Comme par enchantement, les actes de délinquance et les crimes « disparurent » des rues de France (selon les médias vassaux du pouvoir et le ministre démissionnaire de l’Intérieur), et ce, pendant les deux semaines que durèrent les JO. On se crut en Union soviétique du temps où Staline rejetait même l’idée qu’il puisse y avoir des criminels de droit commun dans la patrie de Lénine puisque, au dire du Père des peuples : « Les crimes n’existent pas au paradis ». Alors pendant les JO de Paris ! N’y pensez même pas !
Je ne veux pas gâcher les souvenirs glorieux de cette fête populaire aux allures de Ludi Romani, mais j’aimerais rappeler ici quelques faits graves qui ont entaché ces JO. Évidemment, comme les exactions commises furent dirigées contre les Juifs et Israël, l’écho médiatique de ces actes fut quasiment inaudible. Nous sommes là pour les dénoncer.
Commençons par parler du chef de la pathétique délégation de l’État imaginaire de « Palestine », et surtout de son responsable, Jibril Rajoub. Ce dernier, bien que « Président du Comité olympique palestinien » mais aussi celui de la « Fédération palestinienne de football », n’a pourtant rien d’un amoureux du sport.
En fait, Jibril Rajoub n’est autre que l’ancien patron du Service de Sécurité Préventive (Al-‘amn al-wiqa’i) de « l’Autorité palestinienne » pour la Judée-Samarie (« Cisjordanie ») du temps où Yasser Arafat en était le Président. Jibril Rajoub est donc un chef terroriste qui organisa des attentats contre Israël lors de la très sanglante Seconde Intifada (2000-2005).
Rajoub fut d’ailleurs aussi condamné par un tribunal israélien pour avoir – à l’âge de 17 ans – lancé une grenade contre un véhicule ! Bel exemple de l’esprit olympique !
Il est vrai que la charte des JO a oublié de spécifier que les terroristes n’avaient pas le droit de participer aux Jeux… Le CIO n’a donc vu aucune objection à admettre en son sein un chef terroriste avec du sang sur les mains !
Comble du cynisme ! Ce criminel patenté – membre du Fatah – n’a cessé d’exiger des instances du CIO qu’elles interdisent la participation des athlètes israéliens aux Jeux. Questions :
Pourquoi Israël n’a-t-il pas entrepris la même démarche à l’encontre de ce terroriste (et de sa délégation) ?
Pourquoi l’État hébreu ne réplique-t-il jamais aux attaques des propagandistes antisionistes/antisémites ?
N’a-t-il toujours rien appris ?
La suite ne fit que corroborer le fait que ces JO de la honte se déroulèrent sous le signe de l’antisémitisme le plus débridé. En effet, lors du match de football qui opposa Israël au Paraguay, des « braillards antisémites » (Nietzsche) brandirent des drapeaux « palestiniens » en criant « Heil Hitler » (information rapportée par The Jerusalem Post, The New York Sun, Times of India, etc…), tout en faisant le salut nazi pour l’un d’entre eux. Ces faits gravissimes filtrèrent dans certains médias français mais évidemment de façon fort discrète, et sans que la classe politique ne s’en émeuve…
Puis, nous apprîmes (une fois la compétition terminée, bien sûr ! ) que l’un des coureurs de l’équipe de France du relais 4×400 mètres, un dénommé Muhammad Abdallah Kunta, avait publié sur son compte X des propos antisémites et anti-chrétiens (tirés d’une sourate du Coran), mais aussi des diatribes anti-blancs et évidemment des insultes dirigées à l’encontre de la délégation israélienne. Muhammad Abdallah Kunta se fit aussi, on ne s’en étonnera guère, un chantre du Hamas sur les réseaux sociaux.
N’en jetez plus, la cour est pleine !
Alors, une réussite exemplaire ces Jeux ? Certainement pas dans la lutte contre l’antisémitisme !
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