Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

17 d'abril de 2018
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Freddy Eytan: “Les lignes rouges d’Israël et des occidentaux”

Freddy Eytan (esmentat sovint en aqueix bloc) és el director del CAPE (Centre des Affaires Publiques et de l’État) de Jerusalem, va publicar-hi el proppassat 14 d’aqueix mes, aqueix article aclaridor on distingeix les línies vermelles d’Israel respecte de les dels països occidentals que han menat una sèrie d’atacs aeris limitats sobre l’arsenal químic del règim d’Al-Assad:

La dernière frappe des Occidentaux était prévue mais elle n’a pas ébranlé le régime criminel de Bachar el-Assad, ni stoppé l’Iran de poursuive ses intentions hégémoniques dans la région, ni non plus dissuadé les Russes de quitter la Syrie. Certes, ces raids ponctuels sont importants pour prouver que les Occidentaux ont des lignes rouges et qu’ils ne permettront à aucune armée d’utiliser des armes chimiques contre une population civile innocente. Cet avertissement et ces raids sont-ils vraiment dissuasifs ?

Nous le saurons dans les jours et semaines à venir. Rappelons que l’une des cibles atteintes, le centre chargé du programme militaire chimique (CERS), a été déjà frappée par l’aviation israélienne en 2013. Dans l’attente, les actions entreprises par les Occidentaux contre les capacités chimiques militaires syriennes pourraient susciter des réactions à l’encontre de leurs ressortissants et de leurs intérêts, dont de nouveaux attentats terroristes à Paris et à Londres.

Contrairement à la doctrine de Tsahal de frapper l’ennemi le temps voulu et par surprise, les Occidentaux, eux, demeurent perplexes et hésitent avant chaque représailles, même quand il s’agit de massacre de population civile par des armes chimiques. Quand la décision est prise enfin, ils annoncent à l’avance quelles seront les cibles qui vont être visées et même avertissent certains acteurs de la région.

Depuis sa création, Israël adopte une stratégie différente et ne peut se permettre de suivre tous les consignes et les intérêts des Occidentaux. Hier comme aujourd’hui, nous constatons que leurs réactions demeurent lentes et timides, tandis que les consultations avant de réagir par la force sont complexes et bien longues et passent toujours par le Conseil de Sécurité de l’ONU. Les états-majors des armées planifient et cherchent des cibles pour pouvoir frapper et dissuader, mais dans l’expectatif, l’ennemi poursuit ses crimes, prend ses précautions, dissimule ses secrets et son arsenal militaire, et se cache peureusement contre toute attaque.

Le peuple juif a connu dans sa longue et pénible Histoire cette valse-hésitation, cette indifférence mortelle de la communauté internationale face aux pogromes et au génocide. Depuis 70 ans nous sommes enfin maîtres de notre destin. Dans notre région, deux conceptions politico-militaires s’affrontent, l’une dirigée par la Russie de Poutine, de la Turquie et de l’Iran et ses satellites, qui justifie tous les moyens et notamment des bombardements massifs et non conventionnels contre une population « rebelle » et civile, dans le but de pouvoir récupérer les territoires perdus. L’autre, celle des Etats-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne, qui pour des raisons morales et stratégiques ne peuvent sans impunité laisser le boucher de Damas massacrer lâchement sa propre population.

La question est de savoir pourquoi depuis le déclenchement de la guerre civile en Syrie en 2011 n’ont-ils pas réagi fortement ? Pourquoi depuis plus de 7 ans, aucun Etat occidental, y compris les Etats-Unis et la France, n’a pas renversé ce régime criminel ? Comment la superpuissance de la planète n’a-t-elle pas réussi à imposer sa doctrine et à chasser les Russes et les Iraniens de la région ? Pourquoi, aujourd’hui encore, le Président Macron ne souhaite-t-il pas frapper le régime alaouite de Bachar el-Assad et ne préfère frapper que sur Daesh et sur les capacités chimiques ? Comment aussi la Russie a-t-elle pu imposer systématiquement, et à six reprises, son veto au Conseil de Sécurité ? Et pourquoi les Occidentaux n’ont-ils pas réagi avant sans avoir besoin de l’aval de l’ONU ? Dans cette affaire précise, le droit international n’est nullement violé contrairement aux accusations russes.

Pour faire tomber le régime d’Assad, le prétexte que l’administration Obama n’a pas voulu envoyer des troupes sur le sol syrien n’est plus un argument valable car voilà plus d’un an que Donald Trump est installé à la Maison Blanche. Ne poursuit-il pas en sorte la même politique de son prédécesseur concernant ce régime ?

Ce n’est pas non plus par des messages laconiques et parfois arrogants sur Twitter que la politique étrangère américaine devrait être dirigée. La Guerre froide est bien déclenchée et la détente entre les deux puissances n’est plus d’actualité. Les relations actuelles entre Washington et Moscou sont graves car les deux leaders demeurent imprévisibles et les acteurs dans la région sont nombreux. Chaque incident risque de déstabiliser toute la région et de plonger le Moyen-Orient dans une guerre d’usure interminable. Soulignons que les chars turcs foncent toujours sans contrainte sur « les terroristes kurdes » et qu’aucune puissance ne réussit à stopper le fougueux Erdogan.

Les Iraniens, eux, renforcent leur présence en Syrie et au Liban. Sur le terrain, plus de 82 000 combattants libano-syriens sont sous les ordres de 3 000 Gardiens de la révolution islamique. Israël et ses services du Renseignement suivent avec vigilance et à la loupe chaque mouvement de troupes et les intentions de chaque acteur sur le terrain. Toutefois, il est clair qu’Israël ne pourra jamais tolérer une présence militaire iranienne en Syrie et particulièrement aux portes du Golan. Il s’agit de lignes rouges claires et nettes que l’Iran ne pourra franchir.

Certes, Israël ne souhaite pas une troisième guerre au Liban ni intervenir directement contre le régime d’Assad. Jusqu’à ce jour, chaque livraison d’armes acheminée au Hezbollah a été détruite préalablement par des frappes ponctuelles. Grâce à un mécanisme efficace de coordination entre les services et les armées, il n’y a pas eu, à ce jour, d’incident avec l’aviation russe. Toutefois, un seul accrochage pourrait tout faire basculer vers l’escalade.

Dernièrement, suite à la dernière attaque contre la base T4 de Palmyre, la Russie a été la première à condamner et à dénoncer Israël, mais Poutine qui n’a pas réagi aux centaines de raids effectués depuis le déclenchement de la guerre civile en Syrie n’a pas non plus cessé le dialogue avec Benjamin Nétanyahou.

A ce jour, Assad n’est pas capable de réagir tout seul et ne se contente que de menaces. Quant à l’Iran, sa stratégie est transparente avec le dernier lancement du drone, et donc il faudrait s’attendre tôt ou tard à des représailles, sans exclure des attentats contre des cibles israéliennes et juives à l’étranger.

Même après cette dernière frappe occidentale, la Russie demeure maîtresse du jeu en Syrie, elle détient tous les leviers diplomatiques et militaires jusqu’au jour où les Américains décideront enfin de redevenir les gendarmes du monde et de dicter avec fermeté l’ordre du jour international. Jusqu’alors, Poutine est le seul à pouvoir éviter une implantation permanente de l’Iran au nord de nos frontières. Poutine est conscient des lignes rouges à ne pas franchir et sait parfaitement que ses intérêts stratégiques sont aussi vulnérables.

Israël tient toujours responsable les gouvernements libanais et syrien pour toute attaque contre son propre territoire. Toute violation sera suivie par des raids massifs de Tsahal contre des infrastructures stratégiques civiles, et les populations en souffriront profondément. C’est clair, l’Iran est directement responsable de l’instabilité au Moyen-Orient. Il est bien temps de mettre un terme à cette grave situation et chasser les dangereux Gardiens de la révolution des pays arabes installés en Syrie comme au Yémen. Enfin, devant l’escalade au Nord et au Sud dans la bande de Gaza, et au moment où nous nous préparons à fêter notre 70ième anniversaire, nous réaffirmons une fois encore que nous pouvons compter que sur notre foi inébranlable et sur la puissance de Tsahal.

Post Scriptum, 1 de setembre del 2019.

Avui, la milicia xiïta libanesa al servei de l’Iran ha atacat amb míssils una base d’Israel que ha respost amb foc d’artilleria. Un episodi més d’un conflicte de llarg abast, que com analitza aqueix vespre Freddy Eytan a l’editorial del CAPE, no és percebut d’igual manera per Israel que s’hi juga la supervivència que pels estats europeus que fan costat a la via diplomàtica d’apaivagament front al règim islamista iranià.

Post Scriptum, 30 de novembre del 2020.

Els antics assessors d’Obama i la diplomàcia europea s’exclamen per la liquidació del cap del programa nuclear iranià, fan saber que estan disposats a claudicar davant les seves pretensions, mentre Israel lluita per la seva supervivència.

Post Scriptum, 13 d’abril del 2021.

Article de Freddy Eytan abans d’ahir al CAPE de Jerusalem, Le combat inachevé d’Israël devant l’illusion des Occidentaux:

Au moment où l’Etat Juif commémore la Shoah et célèbre son 73ième anniversaire de son indépendance, le combat pour aboutir à la paix avec tous les voisins arabo-musulmans est loin d’être achevé. La lutte contre nos ennemis se poursuit sur tous les fronts et particulièrement face à l’Iran et ses satellites. Pourtant, le monde occidental et l’Amérique en tête, semble ignorer les menaces de ce régime abject. Ne souhaite-il-pas anéantir l’Etat Juif par l’arme atomique ? Le rayer de la carte du Moyen-Orient par tous les moyens.

En ouvrant à Vienne un nouveau dialogue sans conditions préalables, en envisageant de lever les sanctions contre cet Etat voyou, sans attendre la fin des pourparlers, les Iraniens peuvent donc sourire et crier victoire. Ils viennent d’annoncer la mise en service de nouvelles cascades de centrifugeuses sophistiquées permettant d’enrichir plus rapidement l’uranium dont l’utilisation lui est interdite depuis 2015.

Pourquoi les Iraniens sont-ils si satisfaits s’ils ne pensent pas que le pari a déjà été gagné et que les sanctions seront levées comme ils le désirent ? Pourquoi l’Arabie saoudite et les pays du Golfe sont-ils plus inquiets que jamais ? Comment ignorer les intentions hégémoniques des pasdarans ? Le gangrène du fanatisme des Ayatollahs ? Cet Etat terroriste qui exporte une révolution islamique obscure, celle du Moyen âge. Un régime théocratique rigoriste, dont les violations systématiques des droits de l’Homme, des libertés et des égalités sociales sont devenues monnaie courante.

Plus de 250 milliards de dollars ont été déjà investis dans le projet nucléaire iranien et dans le programme des missiles balistiques. Une fois que tous les sanctions seront levées, le budget militaire augmentera de plus belle, et l’Iran pourra à la fois recevoir un nouvel armement sophistiqué de la Chine- grâce au pacte stratégique signé récemment avec elle- et ainsi exporter ce précieux arsenal à ses satellites tout en poursuivant ses expansions en Irak, au Liban, en Syrie et au Yémen.

Le dégel des avoirs bancaires sera ainsi destiné au financement du terrorisme, à la recherche tranquille du nucléaire, et au développement des missiles balistiques capables de transporter des ogives chimiques et nucléaires. Ces jours-ci des manœuvres et des essais de lancement sont en cours. Soulignons que ces missiles ne font pas partie des discussions actuelles à Vienne bien que les Occidentaux avaient exigé au départ de discuter de ce grave sujet. Le niet iranien est clair sur ce point aussi.

La première illusion diplomatique des Occidentaux a déjà vu le jour en signant un premier traité le 14 juillet 2015. Ce mauvais accord est inscrit dans les annales comme un jour sombre pour le monde libre car les Ayatollahs sont entrés triomphalement dans le club fermé des pays capables de devenir un jour une puissance atomique.

En amorçant un nouveau dialogue en position de faiblesse, l’Occident abandonne ses principes et ses valeurs universelles et surtout isole Israël et ses fidèles alliés arabes. Une fois encore, les Occidentaux perdent la face devant une diplomatie iranienne bien huilée et très habile. L’Amérique de Biden a-t-elle renoncé à lever l’étendard de la solidarité avec ses alliés comme l’avait faite l’administration Obama ?

En se précipitant pour effacer à tout prix la politique de Donald Trump, sans coordonner minutieusement les pas avec ses alliés, l’administration Biden et les Européens pourraient aboutir à un accord plus dangereux, encourager la prolifération nucléaire et le terrorisme et plonger toute la région dans une instabilité permanente. Soulignons que l’Iran se moque éperdument de toutes les conventions internationales. Téhéran n’a jamais appliqué à la lettre les accords signés et sans le combat inlassable de l’Etat d’Israël contre le projet nucléaire, l’Iran aurait pu avoir sa première bombe atomique.

L’opération spectaculaire du Mossad en mai 2018 pour récupérer des archives nucléaires, les attentats contre des savants iraniens dont Mohsen Fakhrizadeh, cerveau de la bombe atomique iranienne, comme le raid audacieux des Américains contre le général Qasem Soleimani, ont retardé la mise en œuvre du projet atomique et les activités terroristes des Gardiens de la Révolution.

Pour gommer la politique de son prédécesseur et redorer le blason de l’Amérique, Joe Biden est-il prêt à céder tous les atouts pour revenir sur un nouvel accord avec Téhéran ? Va-t-il suivre la politique d’Obama pour tomber une fois encore dans le piège des ayatollahs ? Pourquoi ignore-t-il les rivalités internes et profondes au sein de ce régime qui pourront bafouer du jour au lendemain les accords signés ? Pourquoi n’attend-t-il pas les résultats des prochaines élections en Iran pour savoir qui gagnera le scrutin et si les fanatiques conservateurs auront toujours la majorité absolue pour imposer leur loi au vénérable Guide spirituel ?

Une fois encore, les Occidentaux répètent les mêmes erreurs. Les pays concernés et les plus menacés au Moyen-Orient ne participent pas aux négociations. Rappelons que le président Macron avait déclaré que les nouvelles négociations sur le nucléaire iranien seraient très strictes et devraient inclure les puissances régionales dont l’Arabie Saoudite et Israël. Une promesse non tenue.

Pour l’heure, les pourparlers ne sont qu’à leur début et il est toujours possible d’adopter une ligne intransigeante face à la duperie iranienne. Espérons également que les visites du chef du Mossad à Washington comme celle du Secrétaire d’Etat à la Défense des Etats-Unis en Israël vont éclairer la position américaine, les engagements et tous les enjeux. Cependant, face à la menace existentielle, Israël devrait redoubler de vigilance et ne compter que sur lui-même. Il a déjà renforcé considérablement sa puissance technologique et son savoir-faire dans le domaine du Renseignement.

Le dernier raid contre un navire militaire iranien en mer Rouge prouve qu’Israël est bien déterminé à interrompre toutes les livraisons d’armes au Hezbollah et aux autres organisations terroristes. Il ne s’agit pas de provocation, comme certains observateurs le notent, mais de légitime défense et de dissuasion. Devant le désarroi de l’Occident face à la supercherie qui se dessine par les Ayatollahs, Israël n’est pas tenu à accepter un mauvais accord et agira toujours selon ses propres intérêts. Dans ce contexte, il est temps de mettre un terme à nos querelles internes, et former rapidement un gouvernement cohérent et stable. 73 ans après la guerre de l’Indépendance la rude bataille contre nos ennemis n’est pas encore achevée.

Post Scriptum, 4 de juny del 2021.

Freddy Eytan, expert diplomàtic israelià, publicà el proppassat 31 de maig al CAPE de Jerusalem que ara dirigeix aqueix breu article il·lustratiu de les actituds de fons en les relacions internacionals a l’Orient Mitjà: Code de conduite dans la jungle du Moyen-Orient.

Dans l’Histoire contemporaine de la diplomatie deux notions servaient de base dans la vision de l’ordre international : détente et Realpolitik. Toutefois, sans l’application d’un code de conduite, le rapprochement entre l’Est et l’Ouest pendant la guerre froide devenait quasiment impossible.

En 1969, Henry Kissinger a voulu mettre un terme à la sanglante guerre du Viêtnam. Il a mis en œuvre une nouvelle vision de l’ordre international en amenant l’Union soviétique et la Chine à devenir des partenaires et non des ennemis. Pour briser le boycottage de la Chine de Mao, Kissinger se rendit secrètement à Pékin et jeta les bases pour la visite historique de Nixon en Chine. Parallèlement, il entama un rapprochement avec l’Union Soviétique et entreprit des négociations sur la limitation des missiles balistiques aboutissant enfin à la signature du Traité Salt1. Cependant, Moscou avait voulu étendre ses opérations militaires dans le Tiers monde ; en Angola, dans la corne de l’Afrique et dans le sud Est de l’Asie. Comment donc appliquer un dégel entre les deux Superpuissances ? Kissinger proposa un code de conduite. Selon lui, si Moscou agissait selon ce code de conduite, Washington pourrait examiner au fur à mesure ses intentions réelles au rythme des progrès accomplis et ainsi la Détente entre les deux superpuissances serait établie.

Pourra-t-on appliquer au Proche-Orient l’idée du code de conduite élaboré par Kissinger ? Aujourd’hui, la donne géopolitique a changé avec les nouvelles technologies. Le monde n’est plus bipolaire, la Chine est devenue une superpuissance incontournable, et les puissances régionales dictent l’ordre du jour international avec les diverses organisations terroristes. Différemment de l’époque Kissinger, l’Etat d’Israël entretient de bonnes relations avec Pékin et Moscou.

Dans ce contexte, nous pouvons donc formuler un ensemble de règles avec les Palestiniens. Lors des négociations de paix en 1996 nous avons adopté en effet un code de conduite élaboré par le Directeur général du Ministère des Affaires étrangères, Eytan Bentsour, et le conseiller diplomatique du Premier ministre Dore Gold, actuellement président du JCPA-CAPE. Pourquoi ne pas relancer le code de conduite et même l’élargir pour l’Iran, le Liban et la Syrie.

Nous pouvons ainsi savoir en temps réel si l’Autorité palestinienne et le Hamas violent leurs engagements. Nous pourrions également suivre des questions particulières telles que l’incitation à la haine et à la violence, le soutien aux organisations terroristes et leur hébergement, le contact avec des institutions internationales pour entreprendre des initiatives anti- israéliennes telles que les plaintes à la Cour Pénale de Justice.

Pour pouvoir établir un code de conduite au Moyen-Orient, il est impératif d’obtenir un soutien inconditionnel de Washington qui servirait d’arbitre entre les parties. Certes, ce ne sera pas une partie de plaisir car dans la jungle du Moyen-Orient, les dirigeants ne répondent pas aux normes internationales minimales, et leur politique accélère un processus négatif risquant toujours de déclencher un nouveau conflit armé. De ce fait, et pour maitriser leur comportement et imposer des sanctions, plus que jamais le code de conduite est nécessaire. Suite à la dernière opération militaire à Gaza, et en raison des menaces permanentes de l’Iran et ses milices de détruire l’Etat Juif, de robustes règles devraient être établies avec le Hamas et le Hezbollah.

Pour pouvoir dissuader les Etats voyous et les organisations terroristes, il est donc important d’établir des critères à un code de conduite acceptable et soigneusement planifié, nous pourrions ainsi suivre de près l’évolution des évènements. Il pourrait servir d’outil efficace pour distinguer entre les différents dirigeants, entre ceux qui obéissent à ses principes et tous les autres qui l’ignorent. Dans ce contexte, les “bons” seront autorisés à bénéficier du commerce international, d’une aide humanitaire et du transfert technologique. Dans la jungle du Moyen-Orient, seul le plus fort est roi.

Post Scriptum, 8 de novembre del 2021.

Freddy Eytan, publica avui al CAPE de Jerusalem: “Nucléaire iranien. Vers un nouvel accord au détriment d’Israël.”

Post Scriptum, 7 de desembre del 22021.

Freddy Eytan, ahir a Te Times of Israel, punyent com sempre, “Nucléaire iranien : seule l’option militaire est dissuasive”.

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