Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

8 de setembre de 2016
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La Conferència Mundial contra el Racisme a Durban quinze anys després

Avui s’escau el quinzè aniversari de la clausura de la Conferència  Mundial contra el Racisme organitzada a Durban, Sudàfrica, per les Nacions Unides on s’hi aprovà una declaració i un programa d’acció que ha donat com a únic resultat la legitimació global de l’antisemitisme i l’apartheid contra l’Estat d’israel.

Aprofitant que l’estat amfitrió havia sigut el símbol de la segregació racial a la segona meitat del segle XX, la transició cap a un sistema constitucional igualitari i la projecció mundial de la figura de Nelson Mandela foren els ingredients a partir de la tergiversació dels qual sorgí el nou antisemitisme del segle XXI que encertadament ha perfilat Bernard-Henri Lévy en una intervenció, l’any passat, a la seu de les Nacions Unides.

Les conferències de seguiment dels acords no han alterat pas les línies tortes -i a la fi ineficients- sorgides de Durban: les màximes expressions del racisme provenen del món musulmà envers les minories ètniques que practiquen altres creences, i no són abordades ni molt menys amb la mateixa intensitat que hom esmerça a deslegitimar Israel. El supremacisme xinès, contra indis i negres tot i ésser ben patent passa desapercebut als ulls dels antiracistes oficials, sovint europeus amb complex de culpabilitat pel passat colonial.

Les conclusions de Durban no foren assumides per molts estats occidentals, els mateixos que han optat per organitzar una conferència mundial contra l’antisemitisme que s’ha fet aqueixa setmana a Nova York.  

Des d’Europa estant, el Conseil Representatif des Institutions Juives de France (CRIF) va publicar el proppassat 31 d’agost un dossier titulat “Durban, 15 ans après“, amb aqueixa introducció del president Francis Kalifat:

Après Genève en 1978 et 1983 c’est à Durban, en Afrique du Sud, que s’est tenue du 31 août au 07 septembre 2001 la troisième Conférence Mondiale contre le Racisme, la Discrimination, la Xénophobie et l’Intolérance qui y est associée.

Mary Robinson, Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme des Nations Unies définissait ce que devrait être cette Conférence internationale :”La Conférence mondiale revêt une grande importance pour la communauté internationale parce que les questions qui y seront examinées sont des maux que nous devons combattre de toutes nos forces; parce que le racisme et la xénophobie- qui se manifestent à travers la discrimination et toutes les formes d’intolérance sont à la base de nombreux conflits dans le monde, qu’ils constituent un élément essentiel du cercle vicieux de la pauvreté et de l’exclusion sociale; et parce que ces forces vont directement à l’encontre du message fondamental que véhiculent les droits de l’Homme, à savoir que tout membre de la famille humaine a des droits égaux et inaliénables”.

Malheureusement, à l’initiative des pays arabes la Conférence mondiale et plus particulièrement le Forum des ONG ont très rapidement sombrés dans la rhétorique anti-juive et anti-israélienne conduisant Israël et les Etats Unis à retirer leurs délégations d’une conférence polluée par de graves altercations autour du conflit au Proche-Orient et au sujet de la reconnaissance de dette envers l’esclavage et le colonialisme.

C’était la confirmation que l’antisionisme moderne, né au confluent des luttes anticoloniales, antimondialisation, antiracistes et tiers-mondistes n’est pas la simple critique d’une politique, mais bien la délégimisation de l’Etat d’Israël par la remise en cause de ses fondements. La conférence de Durban a révélé la mutation de l’idéologie antisémite. Des pamphlets et d’autres documents contenant des propos clairement antisémites ont été distribués, des représentants d’ONG israéliennes ont été chahutés, ennuyés, agressés et interdits de participation à certaines séances, et le Club juif de Durban a dû être évacué  et protégé par la police suite à une manifestation pro-palestinienne. La Déclaration des ONG, adoptée par les quelques organisations encore présentes, contenait des tirades haineuses à l’encontre d’Israël et face à la publication de ce document, une grande partie des ONG a pris ses distances. Au final, Durban a officialisé et légitimé l’antisémitisme.

Quelques années plus tard, la Conférence internationale de l’ONU sur le racisme (“Durban II”) devait se tenir à Genève du lundi 20 avril au vendredi 24 avril 2009. Mais l’incertitude continuait à planer, sur la participation de nombreux pays occidentaux, malgré l’adoption, d’un projet de document final consensuel qui se voulait acceptable. Boycottée par Israël, le Canada et l’Italie… cette réunion devait évaluer les progrès réalisés depuis la première conférence onusienne qui s’était tenue, en 2001, à Durban. Un état des lieux essentiel pour les victimes du racisme.

Malheureusement huit ans après, le souvenir des dérapages antisémites qui avaient émaillé “Durban I”, continuait à parasiter “Durban II”. C’est toute cette problématique que vous retrouverez dans cette newsletter spéciale, à travers des articles, sonores et vidéo qui retracent les différentes péripéties de Durban I et de Durban II. Se souvenir de ces événements, c’est pointer du doigt l’esprit criminel qui régnait lors de cette conférence, et qui a prévalu depuis, faisant d’Israël le juif des nations, et rendant les Juifs et les sionistes, responsables de tous les maux de l’Humanité.

Post Scriptum, 26 de juny del 2020.

Segons publica avui Le Figaro, Afrique du Sud : un haut magistrat étrillé pour des propos pro-Israël. Mogoeng Mogoeng, el president de la Cort Constitucional sud-africana ha causat sorpresa en un país que és el paradigma de l’antiracisme políticament correcte per haver expressat opinions favorables a Israel quan el suport a la causa palestina és dogma entre la classe política. Entre altres veritats va dir: «Je ne peux faire autrement, en tant que chrétien, que d’aimer et de prier pour Israël car je sais que ma haine ou celle de ma nation pour Israël ne pourrait qu’attirer de graves calamités sur ma nation», y a-t-il déclaré. Mogoeng Mogoeng a également regretté le soutien viscéral de son pays aux Palestiniens depuis la chute officielle du régime sud-africain de l’apartheid en 1994.”

Post Scriptum, 28 de juny del 2021.

Avui, a Jewish Forum: La conférence de la honte..20e anniversaire de la Conférence de Durban.

C’est le 22 septembre prochain que l’Onu organisera le vingtième anniversaire de la tristement célèbre conférence de Durban de 2021 (Afrique du Sud) qui devait être consacrée à « la lutte contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l’intolérance ». Or cette conférence fut détournée de ses objectifs par une kyrielle de pays et ONG qui se livrèrent à un déballage immonde d’antisionisme et d’antisémitisme. L’une des « vedettes » de cette conférence avait été le président iranien de l’époque, Mahmoud Ahmadinejad, qui avait notamment juré de « rayer Israël de la carte ».

Un premier projet de résolution adopté lors de la conférence gouvernementale de Durban assimilait le sionisme au racisme, ce qui a conduit les États-Unis et Israël à se retirer de la conférence. Le projet final ne condamnait pas le sionisme comme raciste, mais le conflit israélo-palestinien est le seul répertorié spécifiquement dans la section sur les « victimes du racisme, de la discrimination raciale, de la xénophobie et de l’intolérance qui y est associée ».

Le Forum des ONG à Durban a approuvé une résolution qualifiant Israël d’« État raciste d’apartheid » et l’accusant de génocide. Des documents antisémites, dont Les Protocoles des Sages de Sion, ont été distribués lors de l’événement.

La Hongrie prend la tête de l’UE en annonçant le boycott de la prochaine conférence de Durban. Israël, le Canada, l’Italie, l’Australie, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Pologne ont boycotté les conférences passées. En 2011, 14 pays ont boycotté le rassemblement.

La Hongrie est devenue le premier pays de l’UE à annoncer qu’elle ne participera pas cette année à l’événement de l’ONU marquant le 20e anniversaire de la Conférence mondiale sur le racisme à Durban , qui comportait des messages antisémites. « Le gouvernement hongrois a déclaré une politique de tolérance zéro contre l’antisémitisme et s’est pleinement engagé à garantir la sécurité du peuple juif que nous représentons également de manière constante dans les forums internationaux », a écrit le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjártó dans une lettre à Mark Weitzman, directeur de affaires gouvernementales au Simon Wiesenthal Center de Los Angeles. Dans cet esprit, la Hongrie ne soutient pas le processus de Durban et a voté contre la résolution adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 31 décembre 2020 décidant la convocation d’une réunion de haut niveau à l’occasion du vingtième anniversaire de l’adoption de la Déclaration et programme d’action de Durban », a-t-il écrit.

Les États-Unis n’ont pas participé aux conférences de suivi de Durban II et III en 2009 et 2011, respectivement, parce que la conférence d’origine « est devenue une session au cours de laquelle les gens ont exprimé leur antagonisme envers Israël d’une manière souvent complètement hypocrite et contre-productive », le président Barack Obama a déclaré en 2009.

La semaine dernière, le Royaume-Uni a déclaré qu’il se joignait aux États-Unis, au Canada et à l’Australie pour boycotter Durban IV en septembre, « à la suite de préoccupations historiques concernant l’antisémitisme ». La France devrait également se retirer, a déclaré une source diplomatique le mois dernier, mais elle n’a pas encore publié de communiqué officiel. Un responsable du ministère allemand des Affaires étrangères a déclaré que Berlin n’avait pas encore pris de décision sur la question.

Plus tôt ce mois-ci, l’ambassadeur auprès de l’ONU Gilad Erdan a déclaré qu’il prévoyait d’organiser un événement alternatif à la conférence de Durban qui traitera de la lutte contre le racisme, y compris l’antisémitisme.

Post Scriptum, 3 de setembre del 2021.

Les 35 députés européens qui exigent le boycott de Durban IV: Appel de membres de Parlement concernant l’antisémitisme et l’anniversaire de la conférence de Durban de l’ONU.

Post Scriptum, 22 de setembre del 2021.

Avui ha començat a Nova York la conferència commemorativa del vintè aniversari de la cimera contra el racisme de Durban de la qual han estat absents trenta quatre estats a la demanda d’Israel tot denunciant el biaix antisemita de l’esdeveniment que va equiparar el sionisme a les ideologies racistes.

El 10 de setembre del 2001, Jacques Tarnero va publicar a Le Monde aqueix article premonitori de les conseqüències d’aquella impostura, De Jérusalem à Durban, les jouisseurs de haine, que ha estat reproduït per Tribune Juive:

Quel est cet acharnement à ne vouloir voir du conflit israélo-palestinien que la culpabilité d’Israël alors que la vérité de ce conflit a explosé au grand jour à Durban ? Quel est cet acharnement à refuser de lier ces informations qui, de Kaboul à Alger, d’Islamabad au Caire, alimentent la tragédie qui se joue tous les jours à Jérusalem sous nos yeux ouverts et aveugles ?

L’appel de Théo Klein dans la page Débats du Monde (6 septembre) est noble et généreux. Il se fonde sur le pari que l’intelligence et la générosité irriguent le cœur et l’esprit des hommes. L’honneur d’Israël résiderait dans le geste qui aiderait et saluerait la naissance de l’Etat de Palestine. Soit. Mais ces gestes symboliques n’ont-ils pas déjà été faits à Camp David, à Taba il y a un peu plus d’un an ? Aujourd’hui, est-ce cela le fond du problème ? Est-ce le manque de Palestine qui fonde l’ivresse meurtrière et haineuse qui fait tituber le monde arabe et le monde musulman dans une stupéfiante régression ? Celui qui s’est fait exploser avec sa bombe dans une pizzéria à Jérusalem l’a-t-il fait pour que la Palestine voie le jour ou pour tuer du Juif ?

Théo Klein parle de paix, d’Etat, de peuple en lutte pour reconquérir une dignité nationale. Il semble que ces catégories ne soient pas celles qui ont été utilisées à Durban lors de la Conférence mondiale des Nations unies sur le racisme. Il semble que les passions qui agitent le monde arabo-musulman se situent ailleurs, dans un autre registre que celui du politique. Pourquoi est-ce en Egypte, pays qui a signé la paix politique avec Israël, que se développent les mouvements négationnistes les plus radicaux (ceux qui mettent en cause la réalité de la Shoah) ? L’Egypte n’a-t-elle pas récupéré la totalité de ses territoires ? Le Liban, dont Israël s’est retiré, manifeste-t-il une volonté de paix, alors qu’il est sous domination syrienne ?

On peut parler de paix avec un ennemi qui partage un minimum commun. L’épuisement réciproque peut être fondateur d’un même langage. L’illusion serait de croire que l’on peut parler de paix avec celui qui fonde son projet de vie sur l’anéantissement de l’autre. L’OLP a-t-elle abandonné sa charte pour mieux adopter celle du Hamas ?

Tant que le conflit israélo-palestinien était resté dans les catégories politiques d’un conflit national – deux peuples pour une même terre -, il pouvait trouver une solution, celle que Théo Klein propose, le partage et la création de deux Etats. Faut-il rabâcher que cette idée a déjà été par trois fois repoussée par la partie arabe, en 1948, en 1970 à Karthoumet, l’été 2000 à Camp David ? On peut, on doit, comme le propose Théo Klein, forcer l’idée pour qu’enfin la chimère palestinienne donne corps à un Etat adulte et responsable.

Mais est-ce cela l’essentiel ? La folie qui nourrit les passions arabes se résorbera-t-elle avec cette création ? N’y a-t-il pas là une majestueuse illusion à penser qu’aujourd’hui c’est par ce biais qu’elle reculera ?

Que lisons-nous sur la carte de ce monde ? Nous apprenons qu’en Egypte, ce sont des homosexuels qui sont pourchassés non seulement au nom des codes de la vertu islamique mais surtout parce que la confirmation de leur satanisme viendrait de leurs liens avec des “agents sionistes”. Ce procès moyenâgeux a des antécédents dont le caractère obsessionnel phobique “sionisto-sexuel” pourrait faire rire s’il n’avait pas d’effets tragiques. Il y a trois ans, un supposé aphrodisiaque corrupteur de la vertu des femmes de haute Egypte était identifié, après enquête, dans un chewing-gum importé d’Israël. Le “complot sioniste” a ceci de commun avec les femmes, dans l’imaginaire islamiste, qu’il partage le statut de victime expiatoire, de causalité démoniaque du malheur arabe.

Que se passe-t-il chez les talibans afghans ? Un procès est fait à des Occidentaux représentant des ONG humanitaires accusées de prosélytisme chrétien. Les employés afghans seraient passibles de la peine capitale, coupables d’apostasie.

Que se passe-t-il en Algérie ? Des femmes célibataires sont bastonnées par des bandes de furieux, traitées de prostituées parce que célibataires. C’est aussi au Pakistan que des femmes sont vitriolées au nom des mêmes exigences de vertu. Faut-il rappeler les dizaines de morts, les familles assassinées, les jeunes égorgés, les filles kidnappées toutes les semaines en Algérie ?

Faut-il faire l’inventaire du monde arabe qui s’est posé à Durban en porte-parole de l’antiracisme ? De quel côté se trouve aujourd’hui le totalitarisme ? Où se trouve le fascisme ? Qui a fait de la haine de l’autre la matrice de son système éducatif ? Qui remet au goût du jour le mythe des crimes rituels commis par les juifs ? Qui fait réciter à des enfants une forme renouvelée des Protocoles des Sages de Sion ?

Quel rapport cela a-t-il avec Durban et la Palestine ? Cela met en évidence l’absence de démocratie dans le monde arabo-musulman qui regroupe la quasi-totalité des Etats terroristes. C’est pourtant ce même ensemble qui s’est retrouvé uni à Durban pour condamner Israël au nom des droits de l’homme. Peut-on en rire ? L’Europe va sans doute hausser les épaules et considérer que Durban ne relevait que du folklore d’un Orient excessif…

Il y a bientôt une année, la mort en direct d’un enfant palestinien avait désigné aux opinions publiques la culpabilité des soldats d’Israël. En plein moment d’examen de conscience sur le passé algérien autant que vichyste, il y avait là une aubaine à peu de frais : pouvoir transférer sur ce juif israélien les culpabilités additionnées de Papon et d’Aussaresses. Quelle chance ! Ces juifs, éternels emmerdeurs, brandissant leur Shoah, enfin pris la main dans le sac de leurs propres crimes ! José Bové, qui a tout compris de la situation en trois jours de visite, est déjà allé proposer du roquefort aux Palestiniens. Nous avons même eu droit, dans le feu croisé haineux, au succès d’un livre concluant à l’illégitimité d’Israël, pour la raison que “l’industrie de l’Holocauste” serait pire que la Shoah elle-même.

Le malheur palestinien est réel. La détresse des jeunes Palestiniens est réelle. La catastrophe pour les Palestiniens est réelle. Personne ne la conteste même si son instrumentation destinée à la mettre en balance avec la Shoah relève de la propagande. La revendication palestinienne est légitime. Les Palestiniens ont droit à ce que les juifs réclamaient pour eux-mêmes : le droit de vivre libres à l’intérieur de leur Etat. Mais ce droit ne saurait se fonder sur la négation du droit de l’autre. Il ne saurait se bâtir sur le projet d’anéantissement de l’autre.

En cultivant cette chimère, en signifiant aux Israéliens qu’ils doivent devenir minoritaires dans leur propre Etat, au nom du “droit au retour”, la revendication palestinienne trahit la volonté ultime de destruction de l’Etat juif. En prétendant que Jérusalem serait dépourvue de toute identité juive, c’est à un négationnisme identitaire que se prêtent certains discours.

Mais à qui incombe la faute de ce malheur palestinien, de cette “humiliation arabe” ? Au “complot sioniste” ou à la corruption dénoncée par certains Palestiniens ? Cette incapacité à porter un regard critique sur leur propre histoire interdit aux peuples arabes de penser la stagnation ou la régression politique qui sont le lot commun des Etats qui les rassemblent.

Israël n’est pas un Etat au-dessus de tout soupçon. La politique de ses dirigeants n’est pas au-dessus de la critique. Ce à quoi Israël est confronté depuis sa naissance ne relève pas de la critique de sa politique. Aucun autre Etat au monde n’a été et n’est à ce point victime du déni répété et reformulé de son droit à être.

Il aura fallu plus de cinquante ans à des esprits éclairés pour percevoir la réalité de l’avenir radieux proposé par le stalinisme, dissimulée sous le sympathique manteau des mots du progressisme. Combien de temps faudra-t-il pour voir la réalité politique de l’antisionisme ? Ce progressisme des imbéciles aura été aussi émancipateur pour les masses arabes que le communisme le fut pour l’imaginaire occidental, soviétique, africain, chinois ou vietnamien.

L’espoir de Théo Klein se fonde sur ce qu’il y a de commun dans l’idée d’humanité. Au regard de l’Histoire, on demande à vérifier car c’est d’abord un immense sentiment de solitude qui unit aujourd’hui le peuple juif. Et si à Durban, comme jadis à Nuremberg ou à Moscou, c’était une nouvelle barbarie qui se levait ?

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