Hölderlin amoureux de la lumière a vu la forme qu’elle prenait dans le monde de l’homme, ce feu frais dans les herbes, ce feu brûlant sur le ciel, ces passages éblouissants à quoi, finalement, peuvent admirablement s’assimiler ses propres poèmes. Ici, la poésie surgit donc au moment où le monde extérieur est reconnu comme le miroir de ce qu’il y a en nous de plus caché et de plus personnel, le révélateur d’une réalité invisible
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