Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

6 de març de 2020
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Derivades del coronavirus: el malson xinès i les opcions de l’altermundialisme

El efectes multidimensionals de la pandèmia en curs, coneguda com Covid-19, hores d’ara només els podem entrellucar, però n’hi alguns que ja són perceptibles.

En primer lloc, l’origen xinès del virus sembla inqüestionable però no n’estan aclarides les veritables causes. Un centre d’estudis estratègics internacionalment acreditat com el Begin-Sadat de la Universitat Bar-Ilan, publicava el proppassat 29 de gener un report del tinent coronel a la reserva de les FDI, Danny Shoham, titulat “China and Viruses: the case of Dr. Xiangguo Qiu”.

En aqueix article el militar i doctor especialitzat en microbiologia i expert en guerra química i biològica recomanava als serveis d’intel·ligènia canadencs: “It is still possible that Qiu and her husband will return to work at the NML, but a good deal of intelligence analysis and assessment will be required. The Canadian Security Intelligence Service has a serious challenge on its hands.”

Mentre aqueixes interrogants no s’aclareixen, és una possibilitat que les aspiracions xineses d’esdevenir la primera potència mundial l’any 2049 se’n vagin en orris pel descredit del règim comunista a l’hora de fer front a l’emergència sanitària. La censura informativa i la repressió policial consubstancials als sistemes totalitaris encobreixen també, en el cas xinès, una economia ineficient i contaminant (l’aturada de la producció ha fet evident la pol·lució que genera) i artificialment sobredimensionada.

En segon lloc, Vicent Partal ha escrit avui un editorial molt encertat a Vilaweb que assenyala els termes en els que hom pot qüestionar la continuïtat del capitalisme globalitzat actual en el qual la Xina comunista juga un paper cabdal: “El coronavirus remarca els defectes d’una certa globalització”.

Per la seva part, l’analista interdisciplinar Dov Zerah, publica al seu Newsletter número 203, corresponent al proppassat 3 d’aqueix mes, la prospectiva següent, “Le Coronavirus, acteur de la Démondialisation ?“:

Depuis plusieurs semaines, jour après jour, nous suivons la progression du coronavirus avec sa propagation de par le monde, les mesures de mise en quarantaine de villes ou régions, de fermetures des frontières. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’aurait pas encore atteint l’Afrique sub-saharienne. La survenance d’une telle perspective peut légitimement inquiéter compte tenu de l’état des systèmes médicaux et hospitaliers au-delà du Maghreb.

Nous commençons à avoir les effets économiques de cette crise sanitaire. Tout d’abord, il ne faut pas hésiter à dire que cette situation est un des effets collatéraux inéluctables du modèle économique chinois. Depuis trente ans, nous avons beaucoup accepté des Chinois pour leur vendre nos productions, voire nos technologies… dumping social, dumping environnemental et dumping monétaire… Ne fermons plus les yeux. Les « trente glorieuses chinoises » s’appuient sur un modèle économique peu soucieux de l’environnement et acceptant pollutions, déchets tant liquides que solides…Aussi, ne nous étonnons pas de l’apparition d’épidémies plus ou moins fortes comme le SRAS ou le Coronavirus…Victimes collatérales, pouvons-nous rester silencieux ?

Les conséquences économiques commencent à apparaître, même s’il est encore prématuré d’en percevoir l’amplitude. Avec la fermeture d’usines en Chine, le Monde a découvert notre degré de dépendance vis-à-vis de l’Empire du milieu. Nous pourrions manquer de médicaments, l’industrie automobile de pièces détachées…La désorganisation des flux logistiques, et parfois l’impossibilité de fournir crée une crise de l’offre. Parallèlement, la chute de la demande accompagne automatiquement les fermetures de lieux publics ou suppressions de manifestation, la diminution des mouvements des consommateurs potentiels.

Á plus ou moins brève échéance, de nombreuses entreprises vont connaître des difficultés de trésorerie, voire vont être obligées de fermer leurs portes. Des licenciements sont d’ores et déjà annoncés dans des secteurs comme les transports aériens. Après certains pans du secteur productif, la sphère bancaire et financière va immanquablement être touchée. Apparait le spectre de la stagnation, peut-être de la récession si l’épidémie n’est pas rapidement endiguée. Les marchés boursiers ne cessent de dévisser, et ont perdu près de 15 % depuis le début de l’année ; corrélativement, l’or flambe en franchissant un nouveau sommet à plus de 1 650 $ l’once, et le pétrole est en repli en deçà des 50 $ le baril. Des milliards de dollars de plus-values potentielles se sont envolés, toute diminution de la capitalisation boursière, à plus forte raison d’une telle ampleur, crée des anticipations négatives. Tout est en place pour que le cercle négatif de la crise s’auto alimente…

Le 4 février dernier, j’écrivais : « Les économistes ont déjà estimé que la croissance baisserait de 0,5 à 1,2 %, mais ces premières estimations paraissent en deçà de la réalité, ne serait-ce que parce que l’épidémie de SRAS de 2003 avait entrainé une baisse de 2 % du PIB chinois. Il faudrait actualiser l’estimation faite par la Banque mondiale en 2008 selon laquelle une épidémie grave pourrait amputer jusqu’à 5 % du PIB mondial. » Nous serions d’ores et déjà à 2 % du PIB mondial.

Premier pays européen à être durement touché, l’Italie pourrait voir son PIB réduire de 1 à 3 % au premier semestre 2020 ; près de 4 Md€ ont été débloqués pour aider les entreprises, et éviter que les banques, déjà considérées comme fragiles, ne soient durablement affectées. Nous avons un nouvel exemple de l’absence de réactivité collective des Européens.

Nombreux sont les responsables qui demandent une intervention des Banques centrales. La Banque centrale européenne (BCE) a, en termes de taux d’intérêt des marges de manœuvre moins importantes que celle de la FED américaine. Cette situation permet de mesurer que l’absence de sortie des politiques d’assouplissement monétaire atténue les marges de manœuvre, et complique la gestion d’une grave imprévue. La FED et la BCE auraient été en meilleure position si elles avaient respectivement poursuivi et amorcé l’atterrissage du « quantitative easing ».

Néanmoins, des mesures, tant en termes de taux que de liquidités, seront, très prochainement prises. Si elles sont indispensables pour assurer la liquidité des banques et assurances, seront-elles suffisantes pour endiguer une crise systémique ? Á plus ou moins brève échéance, c’est l’organisation de la production et des flux qui va probablement être repensée. Va-t-on vers la fin de la politique du « zéro stock » ? Les entreprises européennes vont-elles organiser des relocalisations sur leurs bases nationales ou sur des pays plus proches que ceux asiatiques ? Elles arbitreront entre la réduction du risque de non approvisionnement et le coût entrainé par le recours à une main d’œuvre plus chère.

Le coronavirus va-t-il être plus efficace que toutes les manifestations d’alter mondialistes pour détricoter la globalisation de notre monde ? Les partisans du repli sur soi et de l’érection de barrières et frontières y voient une opportunité de « démondialisation ». Il est fort probable que toutes les entreprises implantées de par le monde revisiteront leurs stratégies. Néanmoins les réorientations sont lentes et qu’elles sont tributaires du coût. Allons-nous assister à un regain de l’inflation ? Les ruptures d’approvisionnement y contribueront, tout comme, à moyen terme, les perspectives de relocalisation ; le mouvement sera contrarié par l’atonie de la demande, et la faiblesse des prix des matières premières, pétrole en tête.

Post Scriptum, 16 de març del 2020.

La Xina comunista intenta vantar-se d’haver estroncat ràpidament la Covid-19, obviant la responsabilitat pel que fa a la causa de la pandèmia, menyspreant les societats obertes occidentals pels escrúpols a l’hora d’adoptar mesures que afecten a la vida i la llibertat de les persones. Corea del Sud i Israel, són dos estats democràtics que estan aturant el coronavirus sense sacrificar els drets individuals.

El politòleg francès Olivier Babeau publica avui a Le Figaro un breu però contundent article titulat: “Coronavirus: techno-dictature chinoise ou démocratie libérale occidentale, le guerre des modèles”:

La guerre froide des blocs soviétique et américain s’est achevée avec le siècle dernier. Elle a laissé place à une opposition d’un genre nouveau. D’un côté, le communisme chinois converti au libre-marché mais devenu dans le même temps une techno-dictature développant un contrôle absolu de ses populations, de l’autre des démocraties ouvertes reposant sur le respect des droits humains individuels. Deux modèles qui s’affrontent pour prouver leur supériorité.

Le camp des régimes autoritaires n’a cessé de marquer des points au cours de la dernière décennie. Dans la course à l’intelligence artificielle, à la recherche scientifique, à la rapidité de modernisation, la Chine a démontré d’indéniables atouts. Côté occidental, le tableau est plus sombre. Les régimes démocratiques tiraient leur force de cette liberté qu’ils garantissaient à chacun et qui les rendait attractifs. Ils fondaient leur stabilité sur l’art difficile du consensus issu du jeu des institutions. Ces dernières permettaient l’alternance politique, donnant au corps social des outils d’expression suscitant une adhésion forte des populations. Aujourd’hui, la machine à produire le consensus s’est grippée. La croyance en la légitimité du système est au plus bas. La liberté n’attire plus.

L’épisode du coronavirus, dont il est évidement encore trop tôt pour établir tout le bilan, ne marque-t-il pas une fois de plus la supériorité des régimes forts? Avec seulement 80 000 malades pour 1,4 milliard d’habitants, le bilan actuel est très limité. Ce résultat a été obtenu au prix de mesures particulièrement drastiques de confinement général tirant partie de toutes les ressources de son réseau très dense de surveillance des populations (utilisant par exemple des drones pour contrôler la température des gens à distance). Une méthode que les pays européens n’ont choisie qu’avec beaucoup de retard, et en restant toujours nettement en dessous du niveau de confinement chinois. Face à un autoritarisme chinois qui n’a été au fond que le prolongement d’un contrôle des populations qui préexistait, les pays tels que la France incarnent un autre modèle. Ils ont certes fermé les écoles, les commerces et interdit les rassemblements, mais ils ont voulu d’abord tout miser sur l’autodiscipline des citoyens exhortés à respecter les mesures de distanciation, éviter les contacts, améliorer leur hygiène et limiter leurs déplacements. Sachant qu’elles ne peuvent espérer égaler l’efficacité des techno-dictatures, les démocraties ont choisi une autre méthode: elles cherchent à atteindre, à un rythme ralenti, le point «d’immunité de groupe» à partir duquel le virus ne parviendra plus à circuler. Une méthode plus subie que choisie, puisque l’alternative exigerait un autoritarisme liberticide qu’elles ne peuvent se permettre.

Cela signe-t-il réellement une fois de plus la faiblesse du modèle démocratique? Non, si l’on considère d’abord que la méthode chinoise n’est peut-être qu’une victoire en trompe-l’œil: un rebond de l’épidémie restera possible puisqu’une grande partie de la population n’aura pas été confrontée au virus.

De plus, la Corée du Sud, quatrième pays le plus touché par l’épidémie, mais où la diffusion du virus a été particulièrement limitée, pourrait bien indiquer la solution alternative à l’autoritarisme chinois. Sa méthode: information du public, appel à la participation de chacun et campagne de dépistage massif. La technologie joue un rôle central dans le succès coréen: les personnes ayant été en contact avec celles qui ont été contaminées sont retrouvées grâce aux images de télésurveillance, aux relevés de carte bancaire et aux données transmises par le téléphone portable. Pas certain que le message soit très rassurant pour ceux qui craignent la progression insidieuse d’un contrôle permanent dans nos sociétés. En fin de compte, la crise sanitaire du coronavirus ne fera probablement que poursuivre la lente métamorphose de notre État-providence en un État-surveillance se proposant, pour venir répondre à nos besoins, de régenter nos existences. La guerre des modèles politiques ne s’achèvera pas par une victoire de l’une d’eux, mais par leur fusion.

Post Scriptum, 15 d’abril del 2020.

La decisió del president dels EUA Donald Trump de suspendre provisionalment la seva contribució econòmica a l’Organització Mundial de la Salut posa en qúestió el paper d’aqueixa organització internacional en la prevenció i combat de la Covid-19. Tres politòlegs francesos, Cyrille Bret, Emmanuel Lincot i Stéphane Gayet són entrevistats avui pel digital Atlantico: “Comment la Chine a embrouillé l’OMS (et l’Occident”).

Post Scriptum, 4 d’agost del 2021.

El Tinent Coronel ( a la res.¡erva de les FDI) Dr. Dany Shoham, publicà ahir un altre report al BESA Center sobre la possible responsabilitat de la Xina en l’origen del coronavirus: Too Many Coincidences: The Likelihood That a Lab Leak in Wuhan Led to the COVID-19 Outbreak.

More than a year and a half after the outbreak of the COVID-19 pandemic, the way in which its causative virus first emanated remains unclear. While new viruses appearing within humans usually derive from animal viruses, a series of exceptional coincidences in Wuhan, China prior to and during the onset of the pandemic strongly support the laboratory leak theory.

In principle, when a new virus appears in humans that has a genomic similarity to a virus existing in non-laboratory animals, it is plausible to assume that it originated from those animals. This absolutely applies to coronaviruses, and it is for this reason that SARS-CoV-2 was widely postulated to have emerged that way as well.

All that needs to be done to confirm such a hypothesis is to locate the concrete mechanism and conditions that enabled the emergence of the human virus. This kind of a priori approach inevitably endows the natural contagion theory with supremacy over any alternative unnatural contagion concept.

But in the case of SARS-CoV-2, its numerous particularities are such that other possibilities ought to be investigated independently of (and in parallel with) the natural contagion theory. In practical terms, this means that as long as there is no indisputable proof of natural contagion, the unnatural contagion theory—primarily, in this case, the theory of a lab-derived contagion—has to be pursued and soberly evaluated, regardless of any intermediary findings that are published in support of the natural contagion theory.

Such intermediary findings do not in any way affect the intrinsic rationale and likelihood of the unnatural contagion theory. Even if the scientific credibility of the natural contagion idea seems to increase at times, this has nothing to do with the possible validity of an unnatural contagion. Such a possibility in the case of SARS-CoV-2 is wholly autonomous, residing within the intelligence sphere as well as the scientific sphere. The two concepts are not just contradictory in terms of content; they are distinct from one other in both substance and essence.

The possibility that SARS-CoV-2 originated in an unnatural contagion stems from a series of exceptional coincidental events that preceded its emergence in Wuhan, China in 2019. In combination, these multiple convergent coincidences take on a weighty complexity. In other words, there is more to be understood than the fact of the coincidences themselves. Their clustering, just prior to and during the emergence of the virus, is highly suggestive unto itself and should be tackled thoroughly.

Here are some of these coincidental events:

The Wuhan Institute of Virology (WIV) is affiliated with the Chinese Academy of Sciences. Shortly after the pandemic started in Wuhan, Maj. Gen. Prof. Wei Chen, a prominent Chinese biological warfare expert affiliated with the military’s Beijing Institute of Biotechnology, was appointed head of the WIV P4 biosafety level (the highest biosafety level) wing, where various SARS-like viruses are held.
The P4 biosafety level wing was constructed under the supervision of a knowledgeable French company. China arbitrarily put an end to the collaboration with the French when construction was completed in 2017.
The year 2017 also prefigured an upgrade and increased momentum within the scientific sphere at WIV regarding SARS-like coronaviruses. That year, a PhD thesis was completed at WIV on the “Reverse genetic system of bat SARS-like coronaviruses and function of ORFX,” one main achievement of which was the establishment of “a scheme to replace the S (spike) gene without traces.”
The Wuhan Institute of Biological Products has worked with SARS-like viruses at its National Engineering Technology Research Center for Combined Vaccines, in collaboration with WIV, since 2017, and continuing into 2019. During the period of the construction of the WIV P4 wing, the center was relocated 200 meters away from it. The two facilities essentially became one.
On February 24, 2020, a patent for a vaccine against SARS-CoV-2 was filed by principal investigator Yusen Zhou, a PLA (People’s Liberation Army) scientist who worked on it with WIV. Zhou died three months later in undisclosed circumstances.
SARS-CoV-2was found extensively pre-adapted to humans (especially in terms of transmissibility) from the beginning of the pandemic. Specific gain of function experimentation potentially leading to a comparable pre-adapted virus was attempted and mastered at WIV in recent years, including 2019.
A primordial, naturally man-adapted SARS-resembling virus was transmitted from bats to humans in 2012, infecting and killing miners in southwest China. That virus was subsequently “adopted” by WIV, together with related viruses isolated from the same mine. The identity and fate of those viruses have been blurred, despite the fact that they were examined and experimented on up to 2019.
Months before the declared COVID-19 outbreak, the WIV P4 wing requested bids for major renovations to air safety and waste treatment systems in research facilities that had been operational for less than two years.
On September 12, 2019, a vital database regarding viruses collected by WIV was removed from the institute. The removal was explained (much later) by a WIV senior scientist as a step taken “during the COVID-19 pandemic… to prevent cyber security attacks.”
Chinese authorities claim that Patient Zero (the first infected person of the pandemic) appeared in Wuhan on December 8, 2019—yet intelligence reports and scientific findings point to some time between early October to mid-November 2019 as the real onset of the pandemic.
This partial list of coincidences should be evaluated in the context of the January 2021 US State Department Fact Sheet, which discussed a covert collaboration between WIV and the PLA that has been ongoing since at least 2017. According to the Fact Sheet, this collaboration “includ[ed] laboratory animal experiments” (i.e., mice with “humanized” lungs). During this period, WIV was supplied with rhesus monkeys from the Macaque Breeding Base in Suizhou City.

The full list of peculiar coincidences is much longer than what is listed here. The rest pertain largely to the intelligence sphere. They comprise informational (including open source) intelligence as well as estimative intelligence. The volume and substance of classified informational intelligence pertaining to the emergence of SARS-CoV-2 are mostly unknown, at least for the time being.

Estimative intelligence might prove an essential, perhaps even crucial tool for deciphering and confirming the explanation for this remarkable clustering of events. However, we can also make common sense deductions based on circumstantial evidence. Sound deductions often serve, in fact, as force multipliers that can amplify the validity of conclusions reached by intelligence estimates.

There appears to be one logical way to comprehensively explain the described clustering of coincidences prior to and during the outbreak of the global COVID-19 pandemic: a lab leak from China’s WIV. A variety of other peculiar coincidences concerning WIV that have been published in recent months accord with the same logic.

Brett Giroir, a former four-star admiral in the US Public Health Service Commissioned Corps, said: “I believe it’s just too much of a coincidence that a worldwide pandemic caused by a novel bat coronavirus that cannot be found in nature started just a few miles away from a secretive laboratory doing potentially dangerous research on bat coronaviruses. Sometimes, the most obvious explanation is indeed the correct one.”

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