Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

12 de juliol de 2016
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La guerra del 2006 entre Israel i Hizbol·là al Líban deu anys després

Avui s’escau el desè aniversari del començament de la guerra (12 de juliol al 14 d’agost) entre Israel i Hizbol·là del qual el diari de Beirut L’Orient-Le Jour ofereix un dossier complet molt ben ponderat.

Post Scriptum, 14 de juliol del 2016.

Avui, un dels analistes de la geopolítica del Pròxim Orient de The Times of israel, Avi Issacharoff, publica aqueix article panoràmic sobre la creixent potencialitat militar d’Hizbol·là adquirida arran de la seva implicació a la guerra multidimensional siriana en previsió d’un probable enfrontament amb les Forces de Defensa d’Israel.

Post Scriptum, 11 d’agost del 2016.

Avui, la pàgina oficial de les Forces de Defensa d’Israel publiquen en versió francesa un resum de les violacions per part d’Hisbol·là de la Resolució 1701 del Consell de Seguretat de les Nacions Unides que deixen en evidència la passivitat d’aqueix organisme a l’hora de fer complir els seus acords:

Le 12 juillet 2006, le Hezbollah a tué huit soldats israéliens et enlevé deux autres. Cetteattaque, qui marque le paroxysme d’années de terrorisme par le Hezbollah à la frontière entre Israël et le Liban, a déclenché la deuxième guerre du Liban. Depuis son fief au sud-Liban, le Hezbollah a tiré près de 4000 missiles sur Israël pendant toute la durée de la guerre, menaçant ainsi la vie de deux millions de civils israéliens.

Le 11 août 2006, un cessez-le-feu a été proclamé par les deux belligérants. Afin de veiller au maintien de la paix à la frontière Israélo-Libanaise, le Conseil de Sécurité des Nations Unis à voté et promulgué la Résolution 1701. Celle-ci :

“Lance un appel à Israël et au Liban pour qu’ils appuient un cessez-le-feu permanent et une solution à long terme fondés sur les principes et éléments suivants : strict respect par les deux parties de la Ligne bleue; adoption d’un dispositif de sécurité qui empêche la reprise des hostilités, notamment établissement, entre la Ligne bleue et le Litani, d’une zone d’exclusion de tous personnels armés, biens et armes autres que ceux déployés dans la zone par le Gouvernement libanais.”

Cette résolution appelait au désarmement du Hezbollah et à son retrait du sud-Liban. Le Hezbollah continue de violer cette résolution. L’organisation terroriste a de façon continue renforcé ses capacités offensives et déstabilisé une région déjà instable. Dix ans après la promulgation de la Résolution 1701, le Hezbollah l’a violée plus de 8000 fois.

Bien que la résolution appelle au désarmement du Hezbollah, celui-ci continue d’augmenter ses capacités balistiques. On estime que l’organisation terroriste possède aujourd’hui plus de 100000 missiles de courte, moyenne et longue portée, ce qui est plus de 5 fois le nombre qu’il en possédait pendant la deuxième guerre du Liban. Loin de faire profil bas, le Hezbollah se vante de ses actions, et reconnaît publiquement violer la Résolution. Hassan Nasrallah, le leader de l’organisation, a déclaré sur Al-Manar TV en novembre 2012, “Si Israël a été choqué par le missile Fajr-5 qui a frappé Tel Aviv, comment vont-ils réagir aux milliers de missiles qui vont pleuvoir sur Tel Aviv et le reste du pays s’ils envahissent le Liban ?”

L’Iran et la Syrie, frères d’armes

L’organisation terroriste reçoit la plupart de ses missiles de l’Iran et de la Syrie, ses alliés dans la région. Avec leur aide, le Hezbollah fait entrer en secret des armes au Liban. Le 4 novembre 2009, la Marine israélienne a saisi 500 tonnes d’armes illégales, de roquettes et de missiles cachés à bord du navire “Francop”. Les armes, qui provenaient d’Iran, étaient destinées aux terroristes du Hezbollah.

Le paragraphe 15 de la résolution 1701 stipule que : “Tous les États devront prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher, de la part de leurs ressortissants ou à partir de leurs territoires ou au moyen de navires de leur pavillon ou d’aéronefs de leur nationalité : a) La vente ou la fourniture à toute entité ou individu situé au Liban d’armes et de matériel connexe de tous types, y compris les armes et leurs munitions, les véhicules et le matériel militaires, le matériel paramilitaire et leurs pièces de rechange, que ce matériel provienne ou non de leur territoire…”

Attaques contre les forces et les civils israéliens

Le Hezbollah a toujours eu recours à la terreur afin d’atteindre ses objectifs, et il continue à le faire. En août 2013, quatre roquettes ont été tirées depuis le sud-Liban, mettant en danger la vie des civils israéliens. Une autre violation de la Résolution 1701 a eu lieu en janvier 2015, quand le Hezbollah a attaqué un véhicule de Tsahal, tuant deux soldats israéliens et blessant sept autres. Depuis sa création, les principaux objectifs du Hezbollah sont de détruire Israël et d’établir une théocratie chiite au Liban.

Dix ans après le cessez-le-feu unanime et la promulgation de la Résolution 1701, le Hezbollah a montré qu’il est plus attaché à la destruction d’Israël qu’au maintien de la paix à la frontière. Il continue de violer la résolution et d’utiliser tous les moyens possibles pour développer et améliorer ses capacités offensives. Tsahal est prêt à faire face à n’importe quelle menace du Hezbollah à sa frontière nord.

Post Scriptum, 16 d’agost del 2016.

Article panegíric del corresponsal de La Vanguardia al Líban, Tomás Alcoverro, un antisionista militant que no posa mai els peus a Israel per contrastar les seves cròniques sectàries, tot un referent per a Joan Roura i TV(E)3: “La consagración de Hizbulah“.

Post Scriptum, 23 de setembre del 2016.

Fred Maroun publicà el proppassat 18 de setembre d’enguany al Gatestone Institute aqueix article titulat originalment “Lebanon’s hatred of Israel”  que ha estat traduït al castellà amb el títol “El odio del Líbano a Israel, símbolo de una disfunción”:

“El Líbano tiene muchos problemas, como las divisiones sectarias, la influencia iraní, los efectos colaterales de la guerra civil siria, la debilidad de su Ejército, la ineficacia de sus políticos o la propia existencia de Hezbolá; pero la existencia del vecino Israel no es uno de ellos. La animadversión del Líbano a Israel persiste hoy sólo porque sirve de oportuna excusa a Hezbolá para mantener un abundante arsenal que utiliza para controlar el país y ayudar a sus aliados en Siria.

El Líbano tiene una ley que prohíbe a sus ciudadanos interactuar con ciudadanos israelíes. Como escribió Michael J. Totten: “Los ciudadanos libaneses tienen prohibida cualquier comunicación de cualquier tipo con los israelíes, en cualquier lugar del mundo. Si unos ciudadanos de los dos países se encuentran, pongamos, en una playa de Chipre o en un bar de Nueva York, el libanés se arriesga a ir a la cárcel simplemente por saludar”. Las web libanesa de noticias Now explica esa ley con detalle. Incluso una persona que tenga doble nacionalidad (libanesa y canadiense, por ejemplo) podría ser encarcelada por interactuar de la manera más inocente con un israelí.

Sólo un caso más de mezquindad e intolerancia

La delegación libanesa se negó a compartir autobús con la delegación israelí en los Juegos Olímpicos de Río, lo que llevó a la ministra israelí de Cultura y Deporte a describir el incidente como “puro y simple antisemitismo, y racismo de la peor clase”. Este incidente, sin embargo, no es tan extraño si se tiene en cuenta el historial de animadversión libanesa contra Israel.

Se pueden encontrar igualmente incidentes en la industria del entretenimiento. En 2005, el único intento libanés de participar en Eurovisión, su representante, Aline Lahud, tuvo que retirarse después de que Beirut no permitiera la emisión del programa porque incluía la actuación de una israelí. A pesar de su enorme popularidad en el Líbano, el comediante judío franco-marroquí Gad Elmaleh tuvo que cancelar sus actuaciones en un festival local en 2009 a causa de lo que Reina Sarkis, una psicoanalista libanesa que vive en Francia, llamó “terrorismo intelectual” de Hezbolá. En junio de 2010, un boicot contra la banda británica de rock Placebo, que actuaba en el Líbano, llevó al promotor local del concierto a demandar a los grupos que habían organizado el boicot. La popular cantante belga-italiana Lara Fabiancanceló un concierto en el Líbano en 2012 tras haber sido víctima de amenazas por su apoyo a Israel.

Incidentes así también se han producido en el ámbito académico. En marzo de 2010, el investigador palestino Sari Hanafi, profesor en la Universidad Americana de Beirut, fue agredido verbalmente en la propia universidad por una muchedumbre de unas 300 personas por haber trabajado en un libro con dos investigadores israelíes, a pesar de que el libro era crítico con Israel.

Incluso Miss Líbano 2014, Saly Greige, se vio envuelta en un incidente de este tipo en 2015 cuando le hicieron una foto junto a Miss Israel, Miss Japón y Miss Eslovenia. El ministro de Turismo libanés, Michael Pharaon, inició una investigación sobre lo que se consideraba un incidente de relevancia nacional. Greige sólo pudo conservar su corona después de que alegara –inverosímilmente– que le hicieron la foto contra su voluntad.

Las autoridades religiosas tampoco son inmunes. En mayo de 2014, el patriarca Bechara al Rahi, de la Iglesia maronita, se enfrentó a las duras críticas de los políticos, y a las amenazasde los medios afines de Hezbolá, por su decisión de acompañar al papa a Jerusalén. No importó el hecho de que el clero maronita tiene permiso legal para viajar a Israel en el ejercicio de sus funciones ministeriales.

Un odio injustificado

El Líbano no tiene una justificación válida para su odio a Israel. Se suele citar como motivo las diminutas Granjas de la Shebaa –de tan sólo 22 kilómetros cuadrados–, en la frontera con Israel, pero Siria también reivindica ese mismo pedazo de tierra. Además, se sabe que Israel está dispuesto a evacuarlo si pasara a estar controlado por los pacificadores de la ONU. Las Granjas de la Shebaa son una excusa, no una razón.

El Líbano ha sufrido importantes pérdidas humanas y materiales a consecuencia de sus dos guerras con Israel, tras 1949; eso sí sería ciertamente un motivo para su animosidad, si no fuera porque el Líbano fue el principal responsable de ambas.

La primera guerra (1982-1985) fue un intento por parte de Israel de detener los ataquescontra sus ciudadanos de la Organización para la Liberación de Palestina (OLP) de Yaser Arafat. Si el Líbano se hubiese dedicado a vigilar las acciones de la OLP en su propio territorio, jamás se habría producido. La segunda (2006) fue un intento por parte de Israel de detener los ataques contra sus ciudadanos de la milicia chií libanesa Hezbolá. Si el Líbano hubiese desarmado a Hezbolá cuando desarmó a otras milicias, tras la guerra civil de 1975-1990, tampoco habría tenido lugar.

El Líbano, que tiene un Ejército débil, se podría considerar víctima de circunstancias ajenas a su control, pero no es el caso. El Líbano ha contribuido enormemente a sus circunstancias. El Líbano eligió ser parte de la coalición árabe que rechazó el Plan de Partición de la ONU de 1947 y atacó a Israel en 1948, creando así el problema de los refugiados palestinos. El Líbano sigue eligiendo mantener a los palestinos en campos con derechos limitados, en vez de integrarlos en la sociedad libanesa, propiciando así las protestas y los deseos de venganza de los palestinos. El Líbano también eligió permitir que los palestinos del país formaran sus propias milicias armadas, que fueron un catalizador para la guerra civil libanesa y dieron lugar a los ataques de la OLP contra Israel.

El Líbano todavía no ha intentado alcanzar una paz definitiva con Israel. Israel esperaba firmar un tratado de paz con Bashir Guemayel, que fue elegido presidente del Líbano en 1982, pero nunca llegó a ejercer porque fue asesinado poco después de ganar los comicios. Su hermano mayor, Amín Guemayel, que fue elegido en su lugar, llegó a un acuerdo limitado con Israel, en mayo de 1983, que estaba muy lejos de ser un acuerdo de paz, y que obviamente no terminó con los ataques de Hezbolá contra Israel.

Provocaciones libanesas

No sólo es que los sucesivos Gobiernos libaneses no hayan impedido los ataques, sino que además han fomentado el odio y la violencia contra Israel. En mayo de 2008, el recién electo presidente Michel Suleimán alabó la lucha de Hezbolácontra Israel. En julio de ese mismo año, el Gobierno libanés recibió como un héroe a Samir Kuntar, el asesino que mató a sangre fría a un padre israelí y a sus tres hijos pequeños. Kuntar fue recibido personalmente por los tres funcionarios más importantes del régimen libanés: el presidente, Michel Suleimán, el primer ministro, Fuad Siniora, y el presidente del Parlamento, Nabih Berri. Kuntar se convirtió en comandante de Hezbolá y fue eliminado más tarde en Siria, en una operación de las Fuerzas de Defensa de Israel.

Los Gobiernos libaneses han mantenido incluso una política de agresión contra Israel. En 2009, el Gabinete declaró oficialmente que reconocía el “derecho” de Hezbolá a “emplear las armas contra Israel”, a pesar de las objeciones de algunos ministros, que insistían en que “el considerable arsenal” de Hezbolá “debilita la autoridad del Estado”. En 2014, de nuevo, el Gobierno libanés declaró oficialmente: “Los ciudadanos libaneses tienen el derecho de resistir contra la ocupación israelí y repeler cualquier ataque de Israel”.

La retórica antiisraelí también ha calado en el funcionariado no electo. En 2013, en el marco del debate sobre el influjo de refugiados sirios al Líbano provocado por el régimen asesino sirio y los terroristas del ISIS, Abás Ibrahim, director general del Departamento de Seguridad General, insistió en que “el único enemigo del Líbano es Israel”.

Incluso algunos políticos cristianos participan de ese abominable discurso. En 2015 Emile Lahud, expresidente del Líbano, apareció en la iraní Press TV, donde declaró: “Todos nuestros problemas provienen de Israel a través de EEUU”. El día anterior, Michel Aún, excomandante del Ejército libanés, expresó en el mismo programa su apoyo a Hezbolá y se refirió a Israel como “el enemigo”.

Un Líbano dividido, sin verdadera autonomía

A pesar de que el Líbano promueve oficialmente a Hezbolá, muchos políticos libaneses querrían el desarme de Hezbolá, y llevan mucho tiempo diciéndolo. No obstante, suelenreafirmar también el derecho de Hezbolá a combatir a Israel, lo que quita credibilidad a su mensaje.

Antes de convertirse en el primer ministro libanés en 2009, tras el asesinato de su padre, Saad Hariri expresó su preocupación por el arsenal de Hezbolá. Entonces se sospechaba que su padre, Rafik Hariri, había sido asesinado por Hezbolá, sospecha después confirmada por un tribunal respaldado por la ONU. La legislatura del joven Hariri terminó en enero de 2011 a causa de las presiones de Hezbolá. En marzo de 2011, decenas de miles de manifestantes libaneses exigieron el desarme de Hezbolá, coreando: “El pueblo quiere el fin de las armas”; pero en junio se anunció un nuevo Gobierno dominado por Hezbolá.

Los políticos libaneses volvieron a discutir sobre el arsenal de Hezbolá en 2012, porque a algunos les parecía que “muchos libaneses sospechaban cada vez más de las armas de Hezbolá”. En marzo de 2013, y de nuevo en junio de 2013, Ziad al Kadri, joven diputado del partido suní de Hariri, criticó a Hezbolá y le acusó de “querer convertir el Líbano en un campo de liquidación para ajustar cuentas regionales”. En agosto de 2013 el líder libanés cristiano Samir Geagea, presidente de las Fuerzas Libanesas (organización otrora dirigida por Bashir Guemayel), reaccionó al discurso antiisraelí del líder de Hezbolá acusándolo de “arrastrar el país a la guerra contra los deseos de sus líderes”.

El Líbano había tenido un Gobierno de unidad nacional desde febrero de 2014, con miembros de Hezbolá y del partido de Hariri, pero en enero de 2016 el entonces ministro de Justicia, Ashraf Rifi, miembro del partido de Hariri, dimitió. Esto se produjo después de que Arabia Saudí cancelara un acuerdo valorado en 4.000 millones de dólares en ayudas al Ejército libanés por la falta de apoyo del Líbano a Arabia Saudí contra Irán, el patrocinador de Hezbolá. Rifi dijo que Hezbolá es “un partido armado que domina sobre las decisiones del Gobierno”.

En febrero de 2016, Saad Hariri, que ya no vive en el Líbano, acusó a Hezbolá de querer convertir el Líbano en una “provincia iraní”. La condición del Líbano como carne de cañón para Irán se confirmó en julio, cuando Hosein Salami, el segundo al mando en los Cuerpos de la Guardia Revolucionaria Islámica (CGRI), declaró: “En el Líbano hay más de 100.000 misiles Qasam listos para su lanzamiento, (…) listos para borrar para siempre del mapa ese punto negro y maligno de la geografía política [Israel]”.

La falta de autonomía del Líbano también la confirmó el exministro Marwan Hamade, aliado de Rafik Harari, que dijo que el Líbano había querido negociar la paz con Israel pero que Siria bloqueó todo el diálogo. Hamade declaró: “Aunque Hariri y su bloque deseaban normalizar y desmilitarizar el Líbano tras la retirada de Israel del sur del Líbano, en 2000, Hezbolá y Siria querían lo contrario”.

Los verdaderos problemas del Líbano

La fractura entre las facciones pro Hezbolá y anti Hezbolá está creciendo y está desgarrando el Líbano. El Parlamento ha sido incapaz de pactar un nuevo presidente después de que se agotara la legislatura de Michel Suleimán, en mayo de 2014. Puesto que las tres posiciones más altas de la política libanesa están divididas constitucionalmente entre un presidente cristiano, un primer ministro suní y un presidente del Parlamentario chií, este punto muerto significa que durante dos años los cristianos no han tenido ningún representante a ningún nivel.

Sin embargo, la disfunción política del Líbano va mucho más allá de una crisis constitucional, y afecta a la vida diaria de la población. Según informó The New York Times:”con un nuevo Gobierno dominado por los aliados de Hezbolá (…) la censura ha ido en aumento. Los ministros suníes del Líbano –tradicionalmente moderados– se han visto cada vez más confrontados por los extremistas, como los mulás salafistas en Sidón y Al Qaeda en la ciudad septentrional de Trípoli. (…) Los grupos cristianos también se han unido a las peticiones de censura”. Esto ha dado lugar a que “un desfile de artistas abandonara el país”. La disfunción afecta incluso a la salubridad pública: en el Líbano no se recogió la basura durante casi un año, desde julio de 2015 hasta marzo de 2016, cuando por fin se aplicó una solución temporal.

En mayo de 2016, el popular periodista Nadim Koteich declaró su apoyo a que Israel se anexionara los Altos del Golán tuiteando que la ciudad siria de Alepo, devastada por la guerra, habría estado mejor bajo ocupación israelí. El atrevido tuit de Koteich (posteriormente borrado) demuestra que, a pesar del dominio de Hezbolá sobre la política libanesa, muchos ciudadanos se oponen a la irracional posición antiisraelí.

Es muy probable que algunos de los nueve atletas de la delegación olímpica libanesa no fuesen antisemitas, y que hubiesen acogido de buen grado la interacción con los atletas israelíes. Sin embargo, también son conscientes del poder de Hezbolá y de las consecuencias de enfrentase a su autoridad.

Las dificultades del Líbano son más profundas que la cuestión de si sus atletas deben o no evitar a los israelíes. La ocupación israelí de un trozo de tierra disputado, las Granjas de la Shebaa, que suponen el 0,2 % del territorio, difícilmente justifica la existencia de una milicia independiente que es más poderosa que el Ejército libanés y que tiene una desmedida e indebida influencia sobre el país.

Si los Estados árabes, entre ellos el Líbano, no hubiesen atacado el nuevo Estado independiente judío en 1948, y si el Líbano hubiese prevenido los ataques terroristas contra Israel lanzados desde su territorio, los dos países no se habrían cruzado ni una sola bala. Hoy, el Líbano estaría disfrutando de unas relaciones diplomáticas con Israel y de los beneficios de un fructífero comercio.

Post Scriptum, 24 de maig del 2020.

Abans d’ahir, Efraim Karsh i Gershon Hacohen, publiquen als Perspectives Papers número 1577, editats pel BESA Center, aqueix report titulat “Israel’s Flight from South Lebanon 20 Years On” que fa balanç dels efectes adversos per Israel de la retirada del Sud del Líban i el subsegüent creixement de l’amenaça d’Hisbol·là. Avui, quan s’escau el vintè aniversari d’aqueixa fallida militar de l’exèrcit jueu, el general retirat Gershon Hacohen publica, també al BESA Center aqueixa punyent reflexió: “The Abandonment of the South Lebanon Army: A Moral and a Strategic Failure”.

Post Scriptum, 12 d’octubre del 2022.

Sal Emergui publicà ahir a “El Mundo” aqueixa anàlisi: “Líbano e Israel alcanzan un estratégico acuerdo sobre la frontera marítima y los yacimientos de gas”. El Líban està arruïnat arran d’haver-se convertit en un protectorat iranià, no té capacitat per sostenir una nova guerra amb Israel, l’estat hebreu demostra capacitat de diàleg i preserva els seus interessos estratègics, els EUA recuperen iniciativa diplomàtica a l’Orient Mitjà.

Post Scriptum, 17 de gener del 2024.

El proppassat 31 de desembre Freddy Eytan es demanava al CAPE de Jerusalem: La guerre contre le Hezbollah est-elle inévitable ?  Avui, Orna Mizrahi i Yoram Schweitzer publiquen a l’INSS aqueix report:  “100 Days of Fighting Against Hezbollah: An Interim Assessment. Casualties, tens of thousands of evacuees, and serious property damage – since October 8, in parallel to the war in Gaza, there has been ongoing fighting along the northern border. The fighting has been at high intensity, but has remained under the threshold of an all-out war. Despite the heavy price exacted of Hezbollah so far, an end to the organization’s belligerence does not appear on the horizon. How should Israel act?

 

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