Jaume Renyer

per l'esquerra de la llibertat

18 de gener de 2015
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Anotacions a David Horovitz: “Un culte a la mort que la France préfère ne pas nommer”

Aqueix article del periodista David Horovitz aparegut al The Times of Israel el proppassat dia 13, analitza les reaccions a Franca després de les manifestacions de diumenge passat:

“Bien sûr qu’Hollande ne voulait pas de Netanyahu à Paris. Le Premier ministre israélien insiste de manière gênante pour parler des dangers du djihad islamiste, l’idéologie meurtrière dont beaucoup de ces 3,5 millions de manifestants ne veulent désespérément pas entendre parler. La France a manifesté dimanche comme si sa vie en dépendait. Près de 4 millions de personnes sont descendues dans les rues dans une démonstration de solidarité sans précédent avec les 17 victimes assassinées par trois islamistes mercredi, jeudi et vendredi dernier.

« Je suis Charlie », « Je suis un officier de police », « Je suis juif », pouvait-on lire sur les pancartes, s’identifiant à tour de rôle avec chaque catégorie de victime : les journalistes, les policiers, les Juifs. « Nous ne serons pas divisés », « Nous ne serons pas terrorisés », « Nous n’abandonnerons pas notre liberté », ont-ils déclaré. “Nous combattrons le terrorisme islamiste avec chaque partie de notre corps, afin d’assurer la protection des libertés que nous chérissons et qu’il cherche à détruire. Ça, ils ne l’ont pas dit.

Dans la communauté juive, les émotions sont partagées. Bouleversés comme jamais depuis la Seconde Guerre mondiale par l’accumulation d’attaques meurtrières et violentes au cours des récentes années, certains jugeaient avec scepticisme la démonstration du public français.

Des millions n’auraient pas marché en France si seul le supermarché casher de Paris avait été ciblé, et seuls des juifs tués, disaient-ils. Il n’y a pas eu une telle expression de préoccupation et d’empathie, par exemple, après l’assassinat des enfants juifs à Toulouse il y a trois ans, notaient-ils. Regardez le petit nombre d’affiches « Je suis Juif », soulignaient-ils, comparé à tous les pancartes « Je suis Charlie ». Mais d’autres ont été impressionnés et sincèrement émus par ce qui s’est révélé être une démonstration de force d’une envergure bien plus grande que ce qui avait été anticipé à Paris et dans la nation, et par la dignité et la détermination affichées. Peut-être que le gens de bien de France sont inquiets pour leurs Juifs, concluaient certains. Peut-être y a-t-il encore un futur pour la communauté.

Vu d’Israël, la discussion se concentre autour de deux questions. Les Juifs français devraient-ils maintenant accélérer leur installation vers l’Etat juif ? Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a-t-il géré sa participation aux événements de la journée de manière convenable ? En ce qui concerne l’immigration, les chiffres, qui sont déjà à des niveaux records, vont continuer à augmenter. Un nombre croissant de Juifs français avait décidé avant vendredi que s’il faut être la cible de terroristes islamistes, autant être ciblé dans un pays où l’on peut au moins garder sa kippa et son étoile de David.

Avoir été délibérément ciblés à nouveau vendredi, par un homme armé qui avait apparemment aussi planifié d’attaquer une ou plusieurs écoles primaires juives, peut seulement avoir persuadé plus de Juifs français de sauter le pas.

« Nous ne devrions pas fuir, mais nous devrions calmement nous préparer à partir », a déclaré Lorine dans un entretien à la Radio de l’Armée, lundi matin. Ce n’est pas comme s’il y a des groupes de meurtriers à chaque coin de rue, a nuancé une autre personne interrogée dans le même programme, mais la norme est que les hommes ne sont pas à l’aise pour porter la kippa en public et que l’on ne lit pas en hébreu dans le métro. Des synagogues, des institutions juives et des magasins sont attaqués par intermittence. Et ensuite, de temps en temps, on en arrive aux actes de terrorisme meurtrier.

Un obstacle majeur à l’immigration, ont noté des membres de la communauté, est une simple question économique. Tous les Juifs de France ne sont pas aisés, et ils ont besoin d’emplois et de logement abordables. Aucun de ces deux éléments ne sont facilement disponibles dans le foyer juif que les dirigeants les ont exhorté si gaiement à rejoindre ces derniers jours.

Netanyahu et son ministre des Affaires étrangères Avidgor Liberman ont participé à la marche de solidarité dans Paris dimanche. Netanyahu a ensuite fait un discours sur l’alyah. Il y a pourtant un réel travail préparatoire à faire, si les milliers d’immigrants français (annuel) actuels devaient devenir des dizaines de milliers, afin de les accueillir a

Étant donné qu’Israël est simplement à deux mois d’élections nationales, beaucoup de commentateurs israéliens ont été obsédés par les actions du Premier ministre en France. Aussi improbable que cela puisse paraître, il semble clair que le Président François Hollande ne voulait pas que le Premier ministre du seul État juif dans le monde assiste à la manifestation organisée, en partie au moins, en solidarité avec une communauté juive qui vient de voir quatre de ses membres assassinés. Tandis que le bureau du Premier ministre, sans surprise, n’a pas formellement confirmé que c’était le cas, des détails d’échanges de samedi entre Jacques Audibert, le conseiller à la sécurité nationale d’Hollande, et son homologue israélien Yossi Cohen ont fuité, et pas de Paris.

Hollande avait peur que la présence de Netanyahu ne divise, déplaçant l’attention de la solidarité en France et avec la France vers des questions complexes comme le conflit israélo-palestinien et les relations entre Juifs et Musulmans d’une manière plus large. Il valait bien mieux garder Netanyahu et le Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas loin de Paris. Hollande a apparemment eu peur que Netanyahu ne cherche à utiliser les cérémonies de la journée pour dynamiser sa campagne électorale, comme on dit que le président français s’est plaint de Netanyahu en 2012.

Netanyahu avait apparemment accepté initialement de rester à la maison, mais a changé d’avis lorsqu’il a compris que des rivaux intérieurs Avidgor Liberman et Naftali Bennett participeraient à la cérémonie, une volte-face qui a rendu furieux les Français qui ont menacé de conséquences sérieuses. (On peut penser qu’ils voteront en faveur d’une résolution palestinienne au Conseil de Sécurité des Nations Unies cherchant à imposer un retrait total d’Israël au lignes d’avant 1967).

Quelles qu’aient été les tractations en coulisses, le monde a vu dimanche, lors de la marche de solidarité, Netanyahu se frayer du coude un passage depuis le second rang des personnalités vers le premier rang, avec seulement le président du Mali entre lui et Hollande, et Abbas juste un peu plus loin. Le monde a vu Netanyahu faire signe à la foule, tandis que d’autres hommes d’État (et Angela Merkel) s’étaient retenus de le faire. Le monde a vu Hollande et d’autres personnalités françaises sortir de la Grande synagogue avant le discours du Premier ministre dimanche. Il a vu Netanyahu encourager les Juifs français à l’émigration, d’un ton doux. Et le monde l’a vu conclure avec une déclaration que « Am Yisrael Chai », le Peuple d’Israël vit.

L’obsession sur les mots et les gestes de Netanyahu à Paris, et sur ce qu’Hollande voulait ou ne voulait pas, pourrait sembler triviale dans le contexte d’une grande journée de résistance face au terrorisme. La question de savoir si la France se serait mobilisée de cette manière seulement pour les victimes juives pourrait sembler aigre et peu ouverte d’esprit après une journée de manifestation tellement majeure.

Mais maintenant que les 3,5 millions de manifestants sont rentrés à la maison, quelles questions restent-elles sur le tapis : Que vont vraiment faire les Français pour contrer la menace grandissante du terrorisme islamiste ? Plus de sécurité ? Évidemment, oui. Plus de vigilance ? Sans doute, au moins pendant un certain temps. Plus d’action réelle, visant à éliminer le danger ? Ne comptez pas là dessus.

La France a promis le monde à sa communauté juive après les attaques meurtrières de Toulouse. Hollande a promis à de nombreuses reprises que la France ferait tout ce qu’elle peut pour contrer l’antisémitisme, pour combattre la haine, et « pour arracher tous les masques, tous les prétextes ». Cette fois-ci, il a promis l’unité et la vigilance dans les batailles contre le racisme et l’antisémitisme. Ce qu’il n’a pas promis, avant ou maintenant, c’est de traiter la question de l’islamisme radical. Vendredi, en effet, il a assuré dans une allocution à la nation que « ces terroristes et ces fanatiques n’ont rien à voir avec la religion islamique ».

On aimerait être d’accord. Mais il y a une interprétation perverse de cette religion que les islamistes invoquent en perpétrant leurs actes de terreur et de fanatisme. Et c’est la résonance croissante brutale de leur idéologie de « tuer et être tué », et l’échec du courant principal de l’islam à combattre efficacement cette idéologie, qui a conduit le Président de l’Egypte Abdel-Fattah El-Sissi à appeler le clergé musulman, dans un discours remarquable tenu le 1er janvier, à promouvoir une interprétation plus « éclairée » des textes islamiques. Avec l’évolution actuelle des choses, a averti El-Sissi, le monde islamique « se fait des ennemis dans le monde entier. Alors 1,6 milliard de personnes (dans le monde musulman) vont-ils tuer le monde entier ? C’est impossible… Nous avons besoin d’une révolution religieuse ».

Le jihad islamiste ne peut pas et ne sera pas vaincu si l’on reste dans le déni. Les ennemis de la liberté ne seront pas attrapés aux croisements des frontières, traqués sur internet, ciblés, contrecarrés et, finalement, marginalisés si un politiquement correct persistant et trompeur implique que ces ennemis ne sont pas même nommés.

Quelqu’un croit-il sérieusement, par exemple, que la France va lancer une répression sur les groupes islamistes dans l’éducation supérieure, ou consacrer des ressources sérieuses pour enquêter sur l’incitation potentielle dans certaines mosquées ? La France et le reste de l’Europe sont-ils sur le point d’introduire un contrôle des passagers aux points d’entrée de l’UE – comme le fait Israël ? L’UE va-t-elle sanctionner la Turquie pour faciliter le transit d’un flot de musulmans européens radicalisés vers et depuis le groupe terroriste de l’Etat islamique en Syrie et en Irak ?

Ce n’est pas très probable, alors que le président français déclare que « ces terroristes et fanatiques n’ont rien à voir avec la religion islamique ».

C’est peu probable, alors que le président français aurait préféré que son jour d’identification digne avec les victimes du terrorisme ne soit gâché par la présence de ceux, comme Netanyahu, qui auraient perturber l’harmonie solennelle et accorder une attention à la cause spécifique : l’islam extrémiste ?

3,5 millions de personnes sont sortis dans les rues de France, dimanche, pour une démonstration de solidarité avec les dernières victimes d’une idéologie impitoyable. Mais ils ne sont pas parvenus à appeler ce culte de la mort par son nom.

Les derniers jours de massacre islamiste en France constituent-ils un moment charnière pour une des plus grandes communautés de la diaspora ? Le début de la fin ? Je crois que oui.

Un moment charnière du combat de l’Occident contre l’islam extrémiste ? J’ai bien peur que non.”

Post Scriptum, 3 de gener del 2016.

Aqueix article de David Horovitz el trobo confirmat pels fets un any després dels atemptats de Charlie Hebdo i del 13 de novembre a París, França es resisteix a reconèixer el totalitarisme islàmic com el seu enemic declarat i malgrat l’evidència dels fets hom cerca a trovar causes exculpatòries als qui perpetren atacs en nom de l’islam.

Així ha succeït amb la versió políticament correcta donada per les autoritats i divulgada pels mitjans de comunicació sobre la naturalesa no terrorista de l’atropellament de quatre soldats francesos davant la mesquita de Valence: tot i que va cridar “Al·là akbar” i li han trobat a casa propaganda gihadista BMFtv afirma que no són imatges de guerra, que era un bon home que estava sense feina, que va actuar per un impuls sobtat.

Post Scriptum 21 de juny del 2016.

Enllaço aqueix article del sociòleg francès Shmuel Trigano publicat ahir a Le Figaro titulat “Magnanville, Rennes, Tel Aviv: trois versions d’un même déni“, on analitza la persistent negació de François Hollande, Barack Obama i la intel·lectualitat progressista occidental en general a identificar el culte a la mort que predica l’islamisme com a causant i responsable de les matances de civils. Les accions gihadistes s’intensifiquen però la passivitat a l’hora de defensar les societats obertes és la resposta -suïcida- d’Occident.

En la mateix línia, ahir també i al mateix diari, un altre intel·lectual jueu francès, Gilles-William Goldanel publicava aqueix article titulat explícitament “Islam radical, ces mots qui font peur“, al·ludint també a la mateixa actitud negacionista davant el gihadisme que adopta el president del Parlament Europeu Martin Schulz.

Post Scriptum, 31 d’agost del 2017.

Nicolas Dhuicq, psiquiatre i antic diputat de Les Republicains, publicà abans d’ahir al digital Causeur un breu però punyent article titulat “Djihad: pensons l’ennemi pour mieux la combattre” amb un enfoc de la realitat del jihadisme que no eludeix dir les coses pel seu nom. Les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur français, convoquant la psychiatrie dans la lutte contre le terrorisme, montrent le désarroi intellectuel dans lequel se trouvent nos gouvernants face au terrorisme islamiste. En effet, nous devons avoir à l’esprit que les dits terroristes se vivent comme des combattants, au service d’une cause. Ils poursuivent un but politico-théologique clair : l’instauration d’un califat salafiste, c’est-à-dire wahhabite, sur les terres actuellement islamisées, ou qui le furent un temps, comme l’Espagne avant la Reconquista, ou la Narbonnaise en France.

Perversion n’est pas synonyme de maladie

En premier lieu, l’attitude du ministre se heurte à deux écueils principaux au plan de la branche de la médecine qu’est la psychiatrie.

Tout d’abord les couples normal/pathologique et bonne santé/maladie ne se recouvrent pas toujours dans cette discipline. En médecine somatique, c’est-à-dire du corps, je puis avoir une maladie, comme une angine, qui signe un état pathologique de ma gorge. Mais si je prends l’exemple d’un grand pervers, il peut être considéré comme pathologique, mais sa perversion n’est pas une maladie au sens propre du terme, c’est en effet sa structure mentale, sa construction psychique, qui est ainsi faite. D’où la grande difficulté à concevoir des soins pour de tels individus, on ne change pas la nature même d’une personne en quelque sorte.

Tous les délinquants ne deviennent pas terroristes

Le deuxième écueil est celui des critères discriminants qui indiqueraient un risque de passage à l’acte de type terroriste. Si le profil du délinquant qui trouve une cause et une justification à ses actes de violence dans l’islamisme est fréquent, les auteurs des attaques de septembre 2001 à New-York étaient loin d’un tel profil. Même si j’avais alerté l’ensemble de mes collègues députés du groupe UMP en 2012 sur l’islamisme en prison, tous les délinquants ne deviennent pas terroristes. Quant aux patients, ils sont majoritairement pacifiques et le risque majeur des maladies de l’esprit reste le suicide et non pas l’hétéroagressivité1.

Le précédent wahhabite

Il serait souhaitable que nos dirigeants aient un peu plus de connaissances historiques. Le wahhabisme est né dans la péninsule arabique, plus exactement dans le Nejd, au XVIIIème siècle comme une vision encore plus rigoriste de l’école juridique dite hanbalite dans le sunnisme. Les massacres perpétrés alors et les destructions de tombeaux de saints n’ont rien à envier, dans l’horreur, aux exactions de Daech ou d’Al-Nosra au Levant aujourd’hui. Les jeux de la CIA et de feu Brezinski, associés à celui des Saoud, puis du Qatar, ont financé le monstre contre l’armée rouge en Afghanistan, puis en Europe, où l’ex-Yougoslavie se souvient bien des exactions des unités islamistes. Sans rappeler ici le rôle du grand mufti de Jérusalem et des Frères musulmans pendant la deuxième guerre mondiale dans le Caucase et les Balkans.

Un terrorisme redoutablement efficace

Ils devraient également intégrer un élément essentiel qu’ils ne veulent pas entendre. À savoir que l’humain peut agir de manière irrationnelle au nom d’un endoctrinement ou d’une foi dévoyée. Pour cela, dans une Europe sécularisée, au point de perdre toute transcendance, le wahhabisme a répandu depuis vingt années, grâce aux pétro-dollars, peut donner une explication simpliste mais efficace du monde, et un but dans l’existence aux âmes fragiles ou incultes. Le terrorisme islamiste est plus efficace que celui qui se prétendait marxiste, comme en Italie lors des années de plomb, car il s’adresse à l’humanité entière et non pas, in fine, pour le bien du prolétariat seul. Il est aussi plus redoutable que le localisme basque d’ETA, puisque le but est international et non pas régional.

L’économisme n’explique pas tout

Les dirigeants européens doivent faire le deuil d’une explication du monde où seul l’économisme compte. La mort, le mal, la maladie restent des questions structurantes quel que soit notre niveau de vie, même avec les courants transhumanistes. Si la catastrophe de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 et la vision des néo-conservateurs, sont une cause majeure, tout comme les questions du développement économique, elles n’expliquent pas tout.

Non, monsieur le ministre, le terroriste n’est pas un malade, ou alors, il faut admettre que Che Guevara, Trotsky, Pol Pot ou la Fraction armée rouge, pour ne citer qu’eux, étaient tous des malades au sens médical du terme. S’il peut y avoir, comme dans toute communauté humaine, des personnes qui souffriraient de troubles mentaux parmi ceux que l’on nomme terroristes, ils doivent être considérés, dans leur ensemble, comme responsables de leurs actes et comme des ennemis. C’est ce que nous devons aux victimes et à la civilisation humaine qu’ils veulent détruire. Pour avoir personnellement constaté en Syrie, dans le village de Maaloula, l’œuvre des rebelles dits modérés d’Al-Nosra, ceux qui faisaient « du bon boulot » pour l’un de nos ministres des Affaires étrangères, cette déclaration est de même nature : l’incapacité à nommer et à penser l’ennemi.

Post Scriptum, 13 d’octubre del 2020.

El jihadisme és innombrable com a enemic a abatre per molt que el president Macron anunciï una llei per combatre el separatisme islamista, com ho demostra el fet que la placa a la memòria del miitar assassinat fa dos anys en un atac terrorista digui que fou “víctima del seu heroïsme”, avui explica aqueix article d’Olivier Babeau a Le Figaro: «Le colonel Beltrame a succombé sous les coups de l’islamisme radical».

Post Scriptum, 5 de juny del 2021.

Article d’Erwan Seznec aparegut abans d’ahir a Causeur: Dorothée Moureaux, sanctionnée pour son bien.
Elle avait écrit sur Twitter “il est temps de mettre au pas les #musulmans qui sont les premiers à insulter les juifs…”

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